Conditions de neige Massif du Forez

smile smile smile Oh le mec ! C'est des photos osées que tu nous poses mon bon N_75  … smile smile smile
Bon, sinon cet après-midi, je suis parti des Supeyres à 0 ° sous une petitime averse de neige qui a bien dû en poser 5 mm … Soyons sympa pour payer les gars d'en haut, 1 cm smile … Bien qu'ils ne le méritent pas trop car ils ont dû faire une sacré bringue les anges pour le nouvel An, avec tout ce qu'ils ont pissé  ensuite smile. Il paraît que ces galapians ont même coupé le bout de la barbe à Saint-Pierre et comme il est chauve ils lui l'ont collée sur la tête smile On s'étonnera après que le temps est tout fou smile
Bonne petite sortie par la piste de ski pour rejoindre la plantation, sous la neige puis dans le brouillard, avec des petits manques mais la neige tassée par la dameuse a bien résisté, ce qui est normal. De plus avec moins de pente sur le plateau des Allebasses, la pluie a traversé la neige sans trop l'entraîner, mis à part aux endroits très humides. Je suis allé au maxi en direction de la tête des téléskis de Prabouré, mais bien sûr après la cassure, il n'y a plus rien ou presque, car c'est très humide. Je suis remonté pour ensuite descendre par les éclaircies faites dans la plantation avec un bon enneigement, une neige pas trop rapide, mais c'est quand même technique à cause des arbres, souches et branches.
 Puis j'ai rejoint le bas du vallon qui tombe au pont de la Fayolle mais n'ai pu traverser le ruisseau à l'endroit habituel car il fait 4 m de large. J'ai dû remonter sur la piste de la plantation juste avant la sortie du bois où il a fallu déchausser. Puis à ski le pont de la Fayolle, une escapade en aller/retour sur les 300 m enneigés en direction de Prabouré juste avant la 1ère jasserie et je suis remonté sur le plat de Fayevie. Je suis allé voir jusqu'en haut du grand pré, vers la jasserie et suis remonté pour aller sur le suc de Montchaud. La descente était rapide, la neige moins molle que sous les arbres. 
Ensuite j'ai longé la lisière exposée EST de la forêt des Allebasses jusqu'au vallon de Malmotte. Comme je ne pouvais rejoindre la plantation car c'est entièrement déneigé, je suis revenu sur mes pas à l'endroit le plus resserré, la Pierre Bornale, le Channel forézien des Allebasses smile pour rejoindre la lisière exposée OUEST de la plantation des Allebasses et la longer pour rentrer aux Supeyres. Malgré qu'elle a été damée, l'exposition a fait qu'il y a des manques de neige. Le soleil a tenté une percé puis sur la fin a réussi son coup. J'ai pu distinguer les moutonnements des Volcans auvergnats smile 
J'ai vu les traces fraîches d'un raquettiste à plusieurs reprises et devant moi juste à la fin un patineur. 
Donc c'était bien, il y a de quoi faire un bon tour, même si la fonte fait que l'on est obligé de suivre la neige là où elle est en attendant la prochaine smile Soyons optimiste, même si, avec le paquet qu'il y avait (60 cm et 5 à 10 de sous-couche aux Pradeaux), nous pensions pourvoir voir venir un tant soit peu … smile
Ce mercredi après midi, de retour d'une sortie que je qualifierai "de reprise" après un arrêt forcé d'une dizaine de jours pendant lesquels la neige a en grande partie "fait la malle" smile. Le col des Supeyres bien dégarni, et mon intention malgré tout de voir en direction de Hte vallée par le haut du bois Balayoux..A dire vrai je suis arrivé en "jouant fin" sur les plaques de neige(bonne vu les circonstances) 2ou 3cm fraîchement tombés, jusqu'à un petit bois de pin avant le passage du ruisseau, et ce bois que je connais bien fût un régal car très bien enneigé. Je zigzagai pour faire durer le plaisir puis en sorti en débouchant sur la combe du ruisseau, où là, terminé pour la suite et adieu "Balayoux"..Il me fallut "piquer à droite en direction de la lisière de la plantation de Ceylar non sans faire un maximum de virages pour chercher la neige.. Arrivé sur le haut de la cassure de la piste de ski avant le haut des pistes de Prabouré, à droite toute, contournement de la lisière extrême de Ceylar, quelques dizaines de mètres sur 3cm de neige et de la neige à profusion pour rejoindre le fond des pistes bien enneigées. Je les empruntais en partie tout en en sortant lorsque se présentait une éclaircie intéressante (toutes bien enneigées). Finalement courte, mais bonne sortie de reprise..
J'ajoute, pour ceux qui connaissent un peu ces pistes que j'ai découvert en "remontant" la deuxième partie de la "grande" plantation en direction des Supeyres, qu'un déboisement (genre de coupe feu) parallèle à la piste initiale, à une dizaine de mètres, avait eu lieu. Serais ce les prémices d'une coupe plus importante ou simplement l'évitement d'une partie de bois humide??
Modifié il y a 5 ans
Encore une sortie à partir du croisement de Domas sous le col de Chansert. Par rapport à une semaine avant au même endroit, la neige a encore baissé, mais je dirais que l'on est arrivé à l'étiage de fonte smile
0 ° au départ, temps couvert, brume. Le pré sous la Grosse Font était passable grâce aux 3 cm tombés sur l'herbe. Plus haut sur la route il y a bien sûr des manques ainsi que juste après la barrière pour grimper sur la Pause, où j'ai dû déchausser à nouveau. Sinon neige extra qui collait même en montée, donc tout bon smile. En haut visibilité très réduite et 5 cm de fraîche qui donnent "l'ambiance blanche" comme disent les stations alpines, nettement plus agréable. Super descente sur la croix du Fossat en longeant bien le bois afin de profiter des meilleures conditions et voire un peu plus. Devant la croix, la "baignoire" est toujours là mais elle commence doucement à geler. 
Je suis descendu par la langue entre les deux bras du ruisseau du Vertolaye, côté vallée du Fossat. Cet endroit est bien skiable car assez large, après c'est le sentier étroit où un bon enneigement, voire très bon est nécessaire. Puis je suis remonté à peine par la piste allant à la ruine des Nerses, pour basculer à gauche et entamer la descente sur la vallée des Reblats. C'était très bon. Ca secouait juste un peu dans la pente plus forte juste avant le verrou du ruisseau, car la pluie a creusé des caniveaux qui faisaient autant de fausses traces.
Passage du verrou un peu délicat entre neige gelée et trafolée par la pluie et la fonte puis la vallée où là, la débâcle a fait du dégât, photos à l'appui smile En effet, le ruisseau est sortie de son lit est a bien creusé la neige. Plus bas dans la vallée, il faut même descendre en escalier dans des tranchés pour remonter de suite de l'autre côté. Mais mis à part ça c'était très bon avec cette fine couche de fraîche. Juste avant le croisement de la cave il a fallu déblayer de côté au mieux, un bouleau mort couché en plein travers. Je ne suis pas allé jusqu'à la cave car le chemin était déneigé, je suis directement remonté sur la montagne. Le chemin n'était pas facile entre creusement par l'eau, trou et boursouflures dus bien sûr à la fonte.
Sur le haut j'ai bien sûr longé le bois des Reblats puis j'ai coupé la piste entre la croix du Fossat et la ruine des Nerses, pour remonter par le chemin "d'été" directement sur le mont Thiallier et rebasculer dans le vallon de la Jacine par le chemin bien enneigé, mis à part quelques grosses pierres qui pointent la tête. Mais la pente étant faible ça va. J'ai rejoint ensuite la jasserie de l'Estive sans plonger dans le vallon, car la neige était présente. Il a juste fallu déchausser sur 10 m après la jasserie et ensuite c'était tout bon, la route très bien enneigée et la neige extra. Il faut juste éviter de passer sous les arbres par prudence, car c'est là bien sûr que les manques se forment. Il faut également être très attentif sur la dernière pente assez forte avant Chansert et ensuite juste après le col où ça passe sur des oeufs. Idem pour le pré de la Grosse Font en descente, ça passe sur les 3 cm de neige et compte tenu que l'on est dans l'herbe mais quand même y aller … léger. 
Donc voilà, ça skie encore, c'est pas bien sûr comme il y a 3 semaines mais si ça ne gagne pas comme l'on dit chez nous, ça débarrasse smile
Ce samedi après midi petite balade à partir du col du Béal.
Température +3° vent de O-S-O assez fort, neige de très bonne qualité avec quelques Cm de fraîche sur la vieille, en quantité là où je suis allé.
Départ du col dans la combe de Bayet, au nord est, en slalomant pour éviter la prise de vitesse mais aussi pour le plaisir. Franchissement de 2 "barbelés" pas trop difficiles et arrivée en fond (lieu dit:"cave" sur carte IGN). De là, montée dans le bois par un chemin d'abord que je quittai en arrivant au franchissement du ruisseau de "font noire" (trop large), donc montée du bois, une grande coupe(de bois) et débouché en lisière sud que je suivis au gré de ma fantaisie le long du chemin bien marqué qui descend sur le refuge de Chapouilloux; Comme à l'accoutumée je fis le tour de "loges" (expression de la Loire) du coté de "grande raie" pour assurer à des amis que tout allait bien chez eux. De là, toujours en allongeant le parcours au maximum dans les éclaircies j'arrivais à chalet Gauchon. Après une petite halte, chemin du retour plein ouest en zigzaguant à l'envie dans une neige excellente. Retour au col et boisson chaude à l'auberge où j'eus la surprise de rencontrer un ancien collègue de travail et son épouse que je n'avais pas vus depuis "des lustres"..
Ce dimanche matin direction le col des Supeyres pour changer un peu mais aussi pour (peut-être) rencontrer "Forez" de retour de bivouac du coté du suc de Montchaud.
Pas de rencontre mais une galère dans une neige collante à souhait, heureusement la veille, au col du Béal, elle était très bonne. Donc température 0°, neige tombante collant par alternance, quelques mètres passables, puis tout d'un coup, la botte, malgré un appui total sur les skis pour faire glisser..Une galère de 2h30 pour faire ce qu'on nomme le tour de la "plantation". Quelquefois, sortant de la piste damée, je trouvais meilleur sur les cotés mais ça ne durait pas et aussi bien le hors traces que la trace était soumis au même régime. J'ai expérimenté en skiant, quand cela était possible, la bruyère basse, les petites branches d'arbre à terre qui tenaient lieu de grattoir, c'était mieux. J'ajoute qu'un copain rencontré au départ, qui lui, avait sagement farté, (hé oui ça se fait encore) m'a prêté le morceau de paraffine que je n'avais pas, mais ça n'a pas duré. Il aurait fallu je pense, faute du fart adéquat une paraffine totale à chaud sur tout le ski et tant pis pour les pentes à grimper..
Dans ces conditions, les adducteurs en "prennent un coup". Heureusement, sans obligation de parcours, je fis au plus court. D'autres ont-il eu ce problème aujourd'hui?
Problème de botte sous les skis aujourd'hui, oh que oui ! smile C'est la première fois en ski de rando nordique et je crois la première fois tout court en à peut près 47 ans de ski nordique que ça m'arrive à ce point. Photo à l'appui en arrivant aux Supeyres.
Sinon hier après-midi c'était très bon. Fine couche de neige sur de la dure, vue sur le Mont Blanc, le Mezenc, un peu plus bouchée à l'OUEST. Un vent pas très chaud pourtant venait bien plein SUD. Est-ce l'explication du lendemain et de cette neige pourrie … ? smile
J'ai tourné un peu dans la plantation pour gagner le lieu du bivouac choisi, soit côté pente NORD/EST du suc de Montchaud, au ras d'une toute nouvelle coupe de bois et un peu au-dessus du chemin balisé VTT qui redescend sur la route des Allebasses d'Ambert et la vallée.
Installation et ballade semi puis nocturne (sans sac à dos, les descentes c'est du caviar smile) en allant par la piste forestière sur les Pradeaux. A la Clairière un 4X4 pickup Toyota Hilux blanc embourbé jusqu'aux essieux et un tracteur rouge qui arrivait pour le sortir de là smile.  Et encore était-il monté sur des pistes damées, donc une neige dure, mais le gugusse avait trouvé le moyen de se garer à côté smile. Je suis allé comme ça jusqu'au croisement de la Verte, lieu dit la Détourne. C'était très bon. Les 300 m encore visibles du plat pour aller aux Pradeaux aussi, mis à part 2 petits manques sous les arbres. Les pistes sur les Supeyres ne sont pas tracées (une boucle de 5 à 6 km serait largement envisageable avec juste 2 trous à boucher à la lame entre le col et la croix du Pialoux) car, paraît-il, ils ne peuvent pas monter la dameuse smile Elle y est montée d'autre fois dans des conditions bien pires … Mais là c'est une neuve ou presque à 120 000 € donc … Mais à quoi ça sert d'investir si ce n'est pas pour servir . Il faut dire que les cartes annuelles ayant été vendues pour Noël … Un domaine nordique ouvert mange de l'argent, fermé un peu moins … Donc c'est stratégique … Mais que fait le personnel ? 
Enfin bref, nous on s'en fout un peu, mis à part que tout ceci fonctionne avec notre argent smile Lorsque je suis remonté, le 4X4 était sur la piste tourné dans le bon sens et le gars chargeait des merdouilles de rondins  de bouleau dedans smile Ca vaut le coup de s'e….. comme ça pour un tel butin smile Ma ballade m'a amené jusque sur le plateau vers la Pierre Bornale.
Après repas et dodo, enfin dodo du bivouac, assez fragmenté quand même avec le vent, les petites boules de glace tombant des arbres sur la toile du tarp, un peu frais par moment, trop chaud à d'autres … Du bivouac quoi ! smilesmile
Ce matin, levé tranquille vers 8h et le temps de prendre son temps, de déjeuner et de plier le barda, je ne suis parti qu'à 10h. Il neigeait assez correctement, c'était prévu, mais ce qui l'était moins, c'est que cette belle neige, douce, ouatée, allait se révéler … smile Même dans le début des descentes il fallait faire attention, ça bloquait. Lorsque j'avais pris un peu de "glisse" j'essayais de rester en arrière car c'est surtout au niveau de la talonnette de la fixation que ça bottait, mais faire ça avec un gros sac à dos, c'est compliqué. Sinon, sortie raquette et tous les 10 m taper avec le bâton ou racler sur une branche les 3 cm de neige collés sous les skis. Pour aller sur le pont de la Fayolle, je suis passé dans le bois, ça allait à peine mieux, il fallait débotter tous les 15 mètres smile J'ai même raclé au couteau bien comme il faut mais rien à faire … Pour rentrer sur les Supeyres j'ai pris le bois plutôt que la piste mais même à la fin pour arriver au col alors que ça descend je marchais. 
Donc un conseil que je suis parfois, quand on va skier pour la demi journée et que les conditions sont difficile à définir, mettre dans la voiture une paire de raquettes ou des skis sans écailles, ça peut sauver une sortie … Ca ira mieux la prochaine fois et heureusement à l'arrivée une bonne potée auvergnate et le reste avant et après, aux Gentianes chez Karine et Guillaume, m'ont fait oublier tout cela smile
Modifié il y a 5 ans
Bonsoir,
Félicitations, c’était osé vu l’enneigement et  les changements de temps très rapide en cette période.
Samedi, j’étais dans le Mezenc, je viens d'ajouter des photos à mon CR,

jacou

forez
heureusement à l'arrivée une bonne potée auvergnate


Habituellement trône devant une potée un calice d'une couleur autrement plus sympathique ! Tout fout l'camp…smile
Modifié il y a 5 ans
Ah ! à force de parcourir vos récits, les Prabouré, Supeyres, Pradeaux, Reblats… me semble tellement familiers, j'en ai l'impression de connaitre le coin !! Merci smile
Forez, le tarp, c'est une volonté du minimalisme, histoire de dormir "au grand air" sur un bon tapis de branche de pin, ou un compromis confort/légèreté/encombrement ?
Que la fente soit avec vous !
Eh oui mon bon N_75 tout fout l'camp, la neige comme le contenu du contenant smilesmile
Le tarp est une volonté d'une part de gain de poids et de place car le sac à dos malgré tout doit faire dans les 12 kg. Cet été j'ai fait à pied le tour des Ecrins et de la Meije, avec la tente et le sac était également autour des 12 kg. Mais l'hiver on est obligé d'emmener plus de vêtements, des moufles, etc … donc le tarp compense à peu près la différence. 
Ma tente fait un peu plus de 2 kg, le tarp et la couverture de survie épaisse que je pose sur les branches environ 1 bon kg.
Il y a aussi le sur-sac que l'on ne prend pas sous une tente, mais il est compensé par le matelas qu'il faut prendre. On pourrait, bien sûr, reprendre sous la tente les branches de sapins, mais le tapis de sol n'y résisterait pas, même en prenant la précaution (ce que je fais) de les disposer avec la coupe de la branche à l'extérieur. Egalement il faut les disposer dans le sens de la courbure naturelle ou du flash pour parler en terme de bois, afin que ça fasse bien "ressort".
J'ai essayé l'an dernier la tente en hiver mais l'isolation d'un bon tas de branches de sapins est irremplaçable, de plus, même si le terrain n'est pas trop top, ça nivelle et le corps prend naturellement sa place. 
Là, j'ai un sur-sac, le sac de couchage donné à - 8/-14°, mais ça … smile et un sac à viande. Je garde les chaussettes, le pantalon, la chemise canadienne et j'avais une petite sous-veste type doudoune. Sur la tête une cagoule, le tour de cou bien sur et le bonnet. Je prend toujours également un masque sur les yeux, de ceux que l'on donne dans les avions. Ce n'est pas que la lumière du jour me gêne mais les légers souffles d'air sur les paupières oui. Lorsque des personnes s'en étonnent, je fais le test : je leur dis de fermer les yeux et je souffle tout doucement sur leur paupières, en leur disant que là c'est de l'air chaud, dans la réalité … smile
Après rien n'est parfait et la vérité est que de toute façon on ne dort pas comme dans un lit, rien qu'avec les bruits du vent et de la nuit smile Parfois un frisson me réveille et parfois j'ai trop chaud … smile
Le principal problème l'hiver est l'humidité, la condensation de la respiration. Et même si l'on prend bien la peine d'avoir la bouche et le nez bien en dehors, en s'endormant, parfois, la tête tourne un peu de côté et l'on respire un peu dans le duvet. Il n'y a rien de parfait. C'est sûr que d'un point de vu confort la tente pointe en tête.
Par contre l'été, je prend la tente. J'ai essayé de dormir sans rien, avec le tarp et même en hamac, mais souvent, on se fait bouffer par les moucherons 9 fois sur 10. C'est terrible ces bestioles smile
Notre ami Benbois, quant à lui, creuse son trou dans la neige et s'y met comme un animal smile Après, je ne sais pas au niveau humidité et condensation ce que ça donne. Il a un sur-sac et un sac d'après ce que j'ai compris.
 Et bien sûr ne jamais oublier un outil indispensable que j'ai toujours sur moi l'hiver et qui, en dehors des bivouacs, m'a très souvent servi, c'est la scie pliante à élaguer smile . A mon sens bien plus pratique, moins encombrant et moins lourd qu'une hachette, certes plus trappeur et grand nord mais … smile moins Forez smile
Voilà mon bon stofdefou, bon ski smile