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BernardF a écrit:
Quant au vrai ski de randonné ("alpinistico"smile, j'ai assisté avant-hier à un course nocture de qq centaines de coureurs, raaah, je ne vous dit pas le matos (les cuisses des gars et de filles aussi d'ailleurs…smile, ces skis ont l'air aussi légers que des skis de fond ! (Mais pas leur prix je suppose…smile

Le matériel ultra-léger des compétiteurs est évidemment hors de prix (et le prix au kilo, je n'en parle même pas !).

Par contre à niveau de gamme égal, le ski de randonnée "alpin", c'est pas plus cher que le ski de randonnée "nordique"…

D'ailleurs une compétition de "ski alpinisme" en nocturne, ça n'a pas grand chose à voir avec la ski de rando "alpin" tel qu'il est pratiqué par tout un chacun.
Modifié il y a 16 ans
Régis Cahn a écrit:
(…smile
Pourquoi le skieur back country n’utilise pas d’ARVA : il n’évolue pas sur des terrain avalancheux.
La pratique du ski de randonnée nordique se fait hors traces, mais loin des pentes de plus de 30% !
(…smile

30% c'est vraiment pas beaucoup.
Tu voulais dire 30° sans doute.
Il est vrai que les pentes les plus dangereuses sont celles entre 30° et 45°.
C'est a priori dans le domaine de la randonnée "alpine", mais de tels passages peuvent se présenter sur un itinéraire "nordique".

Il me paraît donc important de mar-te-ler que l’ARVA, la SONDE et la PELLE sont indispensables à toutes sorties en terrain enneigé….(a moins d’être sur que le parcours ne comporte aucuns risques : Ex. Corrençon – Jasse du Play…)

Je ne serais pas aussi catégorique :

D'abord, le risque 0 existe (sur certains itinéraires, dans certaines conditions…smile

Ensuite, chacun doit avant tout être responsable, c'est à dire capable d'estimer les risques qu'il prend et de les assumer.

Et finalement en ce qui concerne la sonde et la pelle, elles peuvent avoir d'autres utilitées en terrain enneigé que pour dégager une victime d'avalanche (localiser et dégager un point d'eau, déblayer devant la porte d'une cabane…smile
Modifié il y a 16 ans
Régis Cahn a écrit:
(le Charmant Som) c'est connu par coeur par certain

En ce qui me concerne quand l'enneigement le permet je complète la boucle en descendant jusqu'en bas du télésiège par la piste de ski alpin - mais c'est certainement trop long pour une sortie de soirée, et la descente de la piste rouge n'est pas donnée aux débutants.

Le moment venu, il faudra aussi se poser la question du covoiturage…

Régis : ça vaudrait le coup d'ouvrir un fil de discussion spécialement dédié à l'organisation de cette sortie, avec un titre plus explicite que "presentation", non ?
Modifié il y a 16 ans
Moi je serais partant pour la proposition de Robert…
(sauf tempête de neige ou autres conditions défavorables).
Modifié il y a 16 ans
Tu peux aussi louer à "Espace Montagne" à St Martin d'Hères
Modifié il y a 16 ans
Une chose est certaine : seuls les hibous et les chouettes "hululent" !

Pour skier au clair de lune -d'après mon experience- il vaut mieux viser 2 ou 3 jours avant la pleine lune. La lune se lève alors plus tôt, et culmine donc avant le milieu la nuit.
Ca permet de profiter de la soirée au clair de lune sans veiller trop tard.

Quant au principe d'une sortie collective, pourquoi pas…
Modifié il y a 16 ans
Concernant l'impact des pratiques "hors-pistes" sur la nature…

On ne peut pas comparer le niveau de l'impact du passage d'un skieur à celui d'un véhicule, et de toutes façons la circulation des engins à moteur en dehors des "voies ouvertes à la circulation" est interdite (au moins en France).

Mais il est vrai le problème de l'impact sur l'environnement existe aussi pour les pratiques "douces" (rando à pieds, à skis, à vélo…smile.

En particulier, en ce qui concerne le ski de rando nordique, notre impact principal est sans doute le dérangement de la faune -je pense en particulier aux zones d'hivernage des tétras- laquelle est extrémement sensible et fragile en période hivernale (voir la brochure "Chut !" du P.N. des Ecrins).

Personnellement je plaide pour qu'il reste le plus possible de zones de nature "non aménagés", sans sentier, sans balisage, sans piste, SANS TOPO, mais d'accès libre.

Et je suis prêt à accepter, si c'est nécessaire pour la sauvegarde de certaines espèces menacées, la création de "sanctuaires" interdits au public - comme il en existe déjà (réserves intégrales du Lauvitel, des Bauges…smile
Modifié il y a 16 ans
J'ai déjà vu deux ou trois trucs vers Lans, Corrençon, etc….

Si tu prépares tes randos sur carte, méfie-toi : beaucoup de secteurs du Vercors sont des sites de ski nordique avec des pistes damées (et d'accès payant) dans tous les sens.

La mésaventure est arrivée à un de mes copains qui s'est rendu compte en arrivant sur place que les itinéraires de rando (en raquettes) qu'il avait reperé sur carte étaient des pistes de ski tracées et interdites aux piétons.
Modifié il y a 16 ans
Le réseau de bus transisère peut t'emmener efficacement dans n'importe quelle autre village des "4 montagnes" pour faire une traversée en rando nordique.

Le must à mon avis : départ du Col de la Croix Perrin (atteint en bus ou en stop depuis Autrans), suivre la crête vers le nord jusqu'à la Molière (vue ***), et descente sur le Stade de Neige d'Autrans par les pistes (de fond pour les prudents, d'alpin pour les telemarkeurs aguerris) - ou éventuellement retour à la Croix Perrin par la route forestière en balcon (où tu as toutes tes chances de croiser des traineaux à chiens).
Modifié il y a 16 ans
Christophe a écrit:
(…smile
Si j'en prends une qui fait la longueur du ski, j'ai pas besoin d'anneau et j'utilise juste de la colle, NON ?

NON !
Très mauvaise idée.
Si la peau n'est pas mécaniquement (étrier, tendeur…smile liée à l'avant du ski, la neige va rapidement s'insinuer entre la peau et la semelle du ski, et se décoller irrémédiablement (une fois qu'il y a de la neige sur la face encollée…smile.

Je les laisse à demeure quite à les enlever pendant l'inter saison.

Autre mauvaise idée.
Si tu as les peaux en permanence tu ne vas pas glisser dans les faux-plats et les descentes : Plus d'efforts et moins de plaisir.
Modifié il y a 16 ans