Le forum a migré sur https://forum.skirandonneenordique.com/ :) ! On se retrouve là bas.

Tous les messages créés par anonymous

:-D ^^
Modifié il y a 12 ans
mat a écrit :
Bonne Année a toute la famille du SNR,Je ne suis pas le seul a penser au ski toute l'année.
Bravo pour le site!!!! A+

Tiens un savoyard sur SRN.com S^i o^k
Salut mat, je suis preneur d'idées de randos en SRN sur le Revard et le Bauges… quelques idées de parcours réalisables avec une pulka aussi. Merci de ton aide et des tes suggestions ^^
Je met le lien de ton site: http://foyerskirevard.com/default.aspx
Modifié il y a 12 ans
Titre Original : Evaluation of the thermal insulation of clothing of infants sleeping outdoors in Northern winter.
Paru dans : European Journal of Applied Physiology

Avant propos

L’hiver dans les pays nordiques, il arrive fréquemment que les enfants âgés de 2 semaines à 2 ans se plongent dans une phase de sommeil diurne dans leur poussette.

Objectif

L’objectif était d’évaluer l’isolation thermique des vêtements de nourrissons qui “dorment dehors” en hiver.

Outils et Méthodes

Les informations des vêtements des nourrissons âgés de 3,5 mois ont été recueillis ainsi que la durée du sommeil, la température de la peau, l’humidité à l’intérieur de la couche de vêtement intermédiaire, la température et la vitesse de l’air. L’ensemble de ces données a été collecté durant le sommeil en extérieur (n = 34) et en intérieur (n = 33) dans les maisons des familles. L’isolation de l’ensemble des vêtements a été mesurée en utilisant un mannequin thermique et les valeurs ont été utilisées pour définir l’isolation thermique des vêtements des bébés observés. L’isolation des vêtements requise pour chaque condition a été estimée selon la norme ISO 11079.


Résultats

L’isolation thermique des vêtements n’est pas corrélée avec la température de l’air ambiant. L’isolation observée et requise étaient égales à environ -5 ° C. Cependant, même à -5 ° C, un refroidissement lent (environ 0.012 ° C / min) de la température cutanée moyenne (T (sk)) a été observé. Lorsque la différence entre l’isolation observée et l’isolation requise augmentait, le taux de refroidissement de T (SK) a augmenté de façon linéaire (r (s) 0,605, p <0,001) et les nourrissons dormaient pendant une période plus courte (r (s) 0,524, p = 0,001).

Conclusion

Les résultats de cette étude montrent la difficulté d’ajuster systématiquement l’isolation thermique optimale pour les nourrissons qui dorment en plein air pendant l’hiver. Par conséquent, la nécessité de mettre en place des normes est évidente. L’étude fournit des informations pour une protection thermique adéquate des nourrissons qui dorment dans des conditions froides.

Article de Louis Douls le 2011/08/01 sur le site: http://docmmont.wordpress.com/2011/08/01/evaluation-de-lisolation-thermique-des-vtements-de-nourrissons-destins-les-protger-du-froid-durant-leur-sommeil/
Plus d'infos en anglais ici: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20949360?dopt=Abstract
Modifié il y a 12 ans
Article de larepubliquedespyrenees.fr:
Malgré la diversité de l'offre, la montagne a du mal à attirer les touristes, qui recherchent des activités ludiques et familiales. Mais les choses pourraient évoluer.

La montagne ne fait plus rêver alors que c'est le paradis sur terre. » Ce constat fait par Laure Angla-Grée, à l'office de tourisme des Eaux-Bonnes, est, depuis trente ans, bien réel. La montagne est cette année la dernière destination de vacances en France après la mer, la campagne et la ville ! « Toutes les études le montrent : en vacances, on veut du farniente », poursuit Laure Angla-Grée. Loin de la montagne héroïque des débuts, loin des valeurs montagnardes faites de liberté, goût de l'effort gratuit, école de vie, maîtrise de soi, etc. « Le vacancier montagnard est un consommateur qui cherche du ludique, de l'immédiat, qui zappe facilement les activités ».

« Partir à l'aventure, ça n'existe plus », constate Yves Caliot, président départemental des accompagnateurs en montagne. « Dans les années 80, on remplissait des groupes facilement pour des randos de plus de 1 000 mètres de dénivelé. Maintenant, il faut une raison à la balade, on revient à quelque chose de plus familial, plus ludique », constate-t-il.

« C'est le siècle du zapping »

Outre les nouvelles pratiques développées depuis 30 ans comme le canyoning, on multiplie les équipements tels les vias ferratas, les murs d'escalade et on constate un fort attrait pour l'eau. « Pour les enfants, on diversifie l'offre : escalade, VTT, canyoning car ils veulent tout essayer », explique Laure Angla-Grée. « L'eau reste un gros attrait, on fait facilement une rando familiale vers les lacs. Pour motiver, on a mis en place les passeports tamponnés au bout de quatre balades. C'est une récompense palpable », poursuit-elle. « Pour la rando, il faut quelque chose d'exotique, de personnalisé, de thématique ; les gens demandent des explications sur la faune, la flore, l'histoire », développe Yves Caliot. « Il faut que ce soit moins dur, moins long et qu'on apprenne quelque chose », résume-t-il.

« C'est le siècle du zapping » constate Pierre Hourcade, du Club alpin français (CAF). « Pour l'escalade, on préfère grimper dans les salles ou les vias ferratas plutôt qu'en milieu naturel. En s'inscrivant au CAF, les gens accèdent à un droit à des activités, mais le collectif n'existe plus. On zappe sans s'impliquer », remarque-t-il. « Pareil pour les secours, c'est gratuit, on en profite ». Bernard Pez, guide depuis des décennies, fait les mêmes constats : « L'effort pour l'effort a diminué dans notre société. »

Une nouvelle génération en quête de valeurs arrive

Face à une clientèle de plus en plus urbaine et coupée de la nature, il y a pourtant moyen d'inverser les tendances. « La diversité d'activités est là, ça ne changera pas. Proposer en montagne les mêmes activités qu'ailleurs ne marchera pas. On peut l'utiliser pour faire connaître autre chose. Une nuit en refuge c'est bien », assure Bernard Pez. « Le retour aux sources et aux valeurs commence à se faire ressentir chez les quadras », anticipe Pierre Hourcade.

Car la demande nature est là. On le voit l'hiver avec l'engouement pour les raquettes et le ski de randonnée. On le constate aussi l'été avec le succès des rencontres avec les bergers, des sorties à thème (météo, flore, étoiles…smile. « On ne marche plus mais ça reviendra. Je crois aux valeurs de la montagne », insiste Laure Angla-Grée. Alors à l'image des Espagnols, jeunes comme vieux, qui arpentent nos sentiers, les Français vont-ils retrouver le goût pour l'ivresse des sommets ? « Je ne sais pas comment faire venir les gens. Mais ce que je sais, c'est qu'après la balade, ils ont envie de revenir », assure Yves Caliot. Allez, encore un effort, le paradis est au bout !


===> Avoir le pied montagnard, ça se gagne !


Autrefois acteur incontournable de la découverte en montagne, le guide de haute montagne devient un homme rare.

« Peut-être qu'avec le développement des topo-guides, moins de gens passent par les bureaux des guides », suppose Yves Caliot. « On ne veut pas payer pour marcher », avance Pierre Hourcade. Mais pour Bernard Pez, il y a aussi « la façon de présenter la montagne ». Seulement 80 guides arpentent aujourd'hui les pics pyrénéens. Et encore, ils vont souvent dans les Alpes ou ailleurs pour compléter leur emploi du temps.

« La façon de présenter est importante. L'escalade donne le vertige, le canyon c'est de la glisse ludique… On peut rester dans ces clichés mais on peut aussi expliquer que c'est différent », développe Bernard Pez. « Par exemple, si je propose une initiation à l'escalade, je ne vois personne. Si je propose l'acquisition du pied montagnard, j'ai 40 personnes », poursuit-il. « Le pied montagnard ? C'est essentiel : savoir s'équilibrer, s'adapter au terrain, doser son effort. Si on tremble, il faut baisser le talon, savoir doser sa respiration… On peut être un excellent grimpeur en salle et un mauvais montagnard », poursuit-il. « Pour l'escalade, on propose de petits circuits à deux mètres du sol, avec petite montée, traversée… On prend déjà une heure pour apprendre à s'équilibrer. »

« Quand les gens viennent au bureau des guides pour faire l'Ossau ou du canyoning, on leur parle d'abord du pied montagnard », poursuit Bernard Pez. « Si on a un bon contact au départ, on peut faire plein d'activités. Et pour éviter le zapping, on essaie de suivre au moins deux fois le client pour maintenir l'envie. La montagne est un milieu très varié, passionnant à découvrir. L'escalade est juste un outil pour mieux profiter. La montagne, c'est aussi des sensations », rappelle-t-il.

Article de Laurent Vissuzaine
Publié le 18 août 2011
http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2011/08/18/les-touristes-boudent-la-montagne-trop-sportive,207220.php
Modifié il y a 12 ans
Fini le régime unique soupe-boeuf bourguignon, les dortoirs spartiates aux couvertures urticantes et la promiscuité repoussante… Avec une fréquentation stagnante voire déclinante depuis les années 90, les refuges sont condamnés au changement. Qu’ils soient sous concession de la Fédération des clubs alpins de montagnes (FFCAM), privés ou dépendants d’une collectivité, ces lieux d’hébergement ont dû adapter leur offre à l’air du temps et à la segmentation des pratiques. “Aujourd’hui, le Club alpin ne construit plus de la même façon qu’ il y a 30 ans. Les normes d’accueil, de sécurité et le niveau de confort n’ont plus rien à voir”, estime Jean-Claude Armand, président du Syndicat national des gardiens de refuge, patron des Souffles dans le Valgaudemar. Et de citer : dortoirs plus spacieux, couettes sur les lits, douches (en moyenne montagne), menus adaptés et variés, mise en réseau par massifs et réservation bientôt systématique sur Internet…

Selon un rapport d’ODIT France, c’est en Espagne et en Italie que les normes de confort sont les plus exigeantes. “En France, la politique de rénovation engagée pour la décennie 2000 par notre plan de relance a porté les efforts sur les nouvelles normes sanitaires, les conditions du gardien et le confort de la clientèle”, explique Raymond Courtial, vice-président en charge du patrimoine bâti à la FFCAM.

Ainsi, 22 refuges ont été rénovés sur le territoire national pour 24 M€ dont la moitié à la charge de la fédération. Et la décennie 2010 est placée sous le signe de l’insertion environnementale. Plus question de construire des refuges de 150 places et plus, on rationnalise l’espace. Les collectivités territoriales entendent réaliser des diagnostics pour mieux insérer ces bâtiments dans leur offre touristique. La FFCAM projette d’ici à 2020 17,5 M€ de travaux avec des dossiers phares comme la reconstruction du Goûter sous le mont Blanc mais aussi l’Aigle, à la Meije, Félix-Faure en Vanoise et les deux grands refuges du Vénéon en Oisans. Avec le déclin de l’alpinisme, certains établissements choient le randonneur avec des horaires plus adaptés (réveil, petit-déjeuner) ou la synergie promotionnelle entre établissements comme sur le tour des Fiz en Haute-Savoie.

Si les statistiques montrent une érosion de leur fréquentation, Jean-Claude Armand préfère parler d’évolutions diverses selon les massifs. “L’approche de la clientèle a évolué. Aujourd’hui, les séjours sont plus courts et le refuge arrive parfois au second plan dans le programme des sorties. Et puis, le déclin de l’alpinisme est compensé par la randonnée. Certains refuges axés sur la haute montagne, comme l’Olan, sont plus touchés car aujourd’hui l’activité a scindé en deux ses pratiquants entre ceux qui grimpent en falaise et ceux qui vont en montagne.”

Article du Dauphiné Libéré par Antoine CHANDELLIER le 11/08/2011
http://www.ledauphine.com/isere-sud/2011/08/10/les-refuges-d-altitude
Modifié il y a 12 ans
sylva a écrit :
Le titre; Suède; Un Arctique accessible.
http://www.espaces.ca/categorie/destinations/voyages/article/531-suede-un-arctique-accessible
Sympa le raid avec chien… surtout quand c'est lui qui tracte la pulka :-D
Modifié il y a 12 ans


article: Juin 2011 par Edwige Poret (ESPACES)

François-Guy Thivierge ne se décrit pas comme un explorateur : plutôt comme un aventurier moderne. L’homme réalise ses quêtes d’aventure en prenant le temps d’y mettre les moyens. Son rêve d’enfant, c’était de devenir guide. En 2008, il voit le soleil se lever sur le sommet de l’Everest, après deux mois et demi d’efforts. Il sait alors qu’il ne saura pas s’arrêter là. Il grimpe ensuite le mont Vinson la même année. Il termine ensuite sa course des sept sommets sur les sept continents et vient d’y ajouter l’atteinte des deux pôles. Aujourd’hui, c’est un aventurier comblé (mais pas encore assouvi!) qui raconte la dernière aventure de son odyssée, celle où il a atteint le pôle Nord.

Alors, le pôle Nord, c’était comment?

C’était une expérience totalement à part! C’est 1 500 km de glace qui dérive sur l’océan, une banquise craquée, fracturée, un monde en mouvement perpétuel, qui nous fait nous rappeler que si la nature est fragile, l’homme l’est plus encore. Chaque 100 mètres donne un nouveau paysage et le danger de tomber dans l’eau avec les traîneaux est bien réel. On a aussi dû lutter sept jours contre le froid. Notre routine était bien réglée : à 6 h du matin on se réveille, à 7 h on déjeune, à 8 h on plie bagage et à 9 h on part. On skie entre 8 h et 10 h par jour avant de monter le camp pour la nuit et de faire fondre la neige pour s’hydrater. On se couche vers 21 h pour recommencer le lendemain. J’ai arrêté de penser à mes sept sommets et à tout mon passé dès la deuxième journée. J’ai plutôt commencé à tripersur le moment présent : on pense à son corps, on pense au bonheur qu’on est en train de vivre.

Est-ce que vous avez senti que la banquise était fragile?

Non. On dérive tout le temps et on ne voit que de la glace. Mais j’ai parlé avec les gens du village de Lomgyearbyne, où l’on est arrivé en avion, et les habitants observent que les saisons son plus courtes, que la chasse au phoque diminue et qu’il y a moins d’ours polaires.

Sept sommets, deux pôles, quelle était votre motivation à faire tout cela?
Vous savez, au sommet de l’Everest, sur le toit du monde, il n’y a pas de médailles. Il faut redescendre vivant. Quand je réalise ces défis, c’est uniquement contre moi-même que je suis en compétition. Je demande humblement à Dame Nature de me laisser la chance d’accomplir mes défis et elle me l’a bien rendu. Certains aventuriers se font la vie dure pour devenir meilleurs que d’autres, mais pour moi, aller au pôle Nord pour un record de vitesse, ce n’est pas une belle valeur. Je n’ai pas fait tout ça pour battre des records. On dit que j’utilise les médias pour parler de moi, mais ce n’est pas forcément pour faire la promotion de mon école d’escalade! Je le fais pour inspirer les gens : on ne parle que de hockey et de baseball et pas assez de plein air et d’aventure. Moi, ma passion, c’est de faire connaître l’aventure à travers les miennes. Je suis un ambassadeur, au fond!

Mais l’aventure, ça veut dire quoi pour vous?

L’aventure, c’est partir sur le terrain ou à l’intérieur de soi. C‘est explorer une émotion, continuer à rêver et à y croire, car la vie est courte et fragile, alors il faut en profiter.

C’est aussi prendre des risques non?

J’avoue qu’à mon âge, je suis moins téméraire qu’à 20 ans. Désormais, ma principale préoccupation c’est la sécurité. Le plaisir vient après cela, ce qui ne m’empêche pas de continuer d’avancer.

Après avoir réalisé tout ça, qu’est-ce qui vous motive encore?
Après avoir atteint le septième ciel en finissant avec le pôle Nord, je me suis dit pourquoi ne pas essayer le pôle intérieur, humanitaire. Avec ma fondation, on est allé à Haïti pour aider à reconstruire et pour apporter des médicaments. Maintenant, je veux aider nos jeunes qui ont des problèmes de drogue, d’obésité et qui ont du mal à faire des efforts. Avec l’escalade, on essaie de les accrocher et de les faire se dépasser. Je veux continuer à partager, à transmettre les valeurs du plein air et du sport. Tellement de gens vivent comme des animaux en cage aujourd’hui, à ne penser qu’à travailler pour se payer une vie. Mais la vie, ce n’est pas ça.

Quelle sera votre prochaine aventure?

Je pense faire le tour du monde à vélo en trois étapes : Europe, Asie et Amérique du Nord. J’ai envie de changer de sport pour découvrir la planète et l’environnement d’une autre façon. En attendant, je m’en vais faire de l’escalade à Yosemite cet été… j’ai toujours voulu y aller! Et puis en novembre prochain, je remettrai ma casquette de guide pour amener un groupe au camp de base du mont Everest. Je vais pouvoir partager mes expériences, raconter mes aventures. Bref, faire ce qui me passionne!

A lire sur ESPACES: http://www.espaces.ca/categorie/actualites/entrevues/article/790-entrevue-francois-guy-thivierge
Modifié il y a 12 ans
Tu cherches quoi? duvet ou synthétique?
Tu as une annonce du Defence 4 de Carinthia (-15C°) sur le forum: SRN
Et en duvet tu as une promo intéressante du SirJoseph Looping 1200 (-26C°) ici: Looping 1200
Modifié il y a 12 ans
Régis Cahn a écrit :
Mais j'accorde que la Riva 3 est sans doute la meilleure fixation de randonnée nordique… Mais je crois que CyrilleM avait trouvé des G3 ressemblant à des Riva 3 de Rotefella…
C'est pas des G3, mais des Black Diamond Riva Z:

Malheureusement elles non plus ne sont plus fabriquées :-(
Modifié il y a 12 ans
Salut, tu es sur un site de Ski de Randonnée Nordique, dont tu trouveras beaucoup de renseignements sur le site et le forum.
C'est des skis de piste que tu cherches me semble t'il?
Passes voir plutot sur skipass ;-)
Modifié il y a 12 ans