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Jolie vidéo de SRN avec un enfant… et belle poudreuse à skier!!!

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Modifié il y a 13 ans
Très beau retour et belle expérience, merci François ^^ o^k
Dommage pour le problème de fix :-( mais vaut mieux que ca t'arrive là qu'en Laponie :-D :-? ;-)
Modifié il y a 13 ans
Anyway, moi je sors au départ du col de Rousset à partir de mercredi 2 mars. Je verrai si je suis capable d'aller sur Glandasse, et de combien.
Modifié il y a 13 ans
20 à 40cm de poudreuse aujourd'hui sur le Beaufortain/Val d'Arly. S^i S^i S^i
Surtout à partir de 1100m.
Modifié il y a 13 ans
"BISS" Kurzski Tourenaufstiegsski ?
On a des échos là dessus ?
http://cgi.ebay.de/GPO-BISS-Kurzski-Tourenaufstiegsski-incl-Fell-99-cm-/300528583321?pt=Sport_Skisport_Skier&hash=item45f8e64299

C'est moins cher que ce que propose EXPE, mais ça vaut (pas) mieux ?
Modifié il y a 13 ans
gervais a écrit :
1m3 coûte 1€ en énergie(nucléaire),et une dameuse qui peine énormement pour pousser tout ça consomme 40 litres/heure.
Triste réalité d'un hiver sans neige…


Tout et son contraire se dit sur la neige de culture…

Neige de culture : technicité en hausse pour impact environnemental en baisse

Qu'elle se développe pour des raisons économiques ou qu'elle s'impose pour des raisons climatiques, la nivoculture – c'est-à-dire la production de neige artificielle – s'est généralisée dans toutes les stations de montagne. Décryptage.

Depuis plusieurs années les chutes de neige se font plus rares et le climat plus capricieux, alternant période de froid intense et de redoux. Bruno Muffat, responsable QSE de la Société d'Exploitation des Remontées Mécaniques d'Avoriaz (SERMA), remarque qu'« en 20 ans, on est passé d'un enneigement cumulé de 12 mètres en moyenne sur toute une saison à seulement 7 mètres ».

Une tendance incompatible avec l'attente des vacanciers pour un tapis neigeux abondant et une bonne qualité de service, par exemple en ce qui concerne les liaisons entre stations. Constituées traditionnellement de pistes à basse altitude ces pistes nécessitent en effet un enneigement permanent sur toute la saison. D'autant que le développement économique des stations passe par des domaines skiables plus vastes et répartis sur plusieurs vallées.

L'âge de raison ?


La nivoculture n'a pas bonne presse. Et pour cause. Pendant des années, les techniques balbutiantes ont été employées induisant - outre le nécessaire usage d'eau – d'importantes consommations électriques et même l'utilisation d'additif !
Désormais, motivées par des raisons économiques ou écologiques, les stations se sont engagées dans des démarches plus responsables et des investissements financiers importants pour accroître l'efficacité de leurs installations. La filière s'est ainsi considérablement professionnalisée à l'instar de la SERMA triplement certifiée QSE. Objectif : produire mieux, moins cher, diminuer les impacts et… le faire savoir.

Exit les additifs ? Officiellement, les stations n'utilisent plus de SnoMax, cet additif d'origine américaine dont le principe actif repose sur une enzyme qui oriente les molécules d'eau et favorise leur cristallisation jusqu'à 4° C ! Produite naturellement au sein de la bactérie naturelle Pseudomonas syringae, l'épandage de cette protéine dans l'environnement a toutefois rapidement soulevé des questions d'impacts sanitaires et environnementaux.
Domaines Skiables de France, la chambre professionnelle des opérateurs de domaines skiables, a imposé à l'ensemble des opérateurs de ne plus utiliser ces additifs.


Consommation d'eau

Si c'est souvent le premier grief établi à l'encontre de la nivo-culture, ce n'est pas forcément le plus justifié. Jean-Claude Morand, directeur adjoint du service des pistes de la SERMA se plaît ainsi à rappeler que l'eau est restituée au milieu. « Si 20 % de l'eau s'évapore, les 80 % restants retournent dans le milieu ». Il faut 1 m3 d'eau pour produire 2 m3 de neige artificielle. En une saison, pour une station comme Avoriaz dont environ 25 % du domaine skiable est couvert par 120 enneigeurs fixes (aussi appelés canon à neige) et une vingtaine d'enneigeurs mobiles, la production s'échelonne entre 160 et 300.000 m3 pour environ 80 à 150.000 m3 d'eau. En comparaison, une piscine olympique affiche un volume de 3.000 m3.

Pour autant, la station bien connue pour son festival du film fantastique, travaille à réduire ses pompages et accroître l'utilisation de l'eau de ruissellement. Alors que le ratio pompage / captage du ruissellement s'élève aujourd'hui à 50 %, la société d'exploitation du domaine projette de construire une retenue collinaire à plus haute altitude. Outre une meilleure gestion de l'eau, un bassin gravitaire permet également d'abaisser la consommation d'énergie en supprimant l'utilisation de pompes par ailleurs.

Maîtriser la consommation d'énergie


L'énergie constitue en effet le point le plus délicat de l'impact économique et environnemental de la production de neige de culture. À Avoriaz par exemple, sur une saison entre 450 et 500.000 kWh sont consommés pour la production de neige. L'électricité compte ainsi pour environ 30 % du prix de revient d'un m3 de neige. Et quand on sait qu'1 m3 coûte entre 80 centimes et 1 euro selon les conditions climatiques et le soin apporté à la gestion du manteau neigeux, on comprend qu'il est vital pour une société d'exploitation de réduire sa consommation énergétique.

L'époque où chaque nuit les canons à neige étaient systématiquement mis en fonctionnement est révolue, ou presque… Désormais, sur une saison, une usine de production tourne l'équivalent de 2 semaines. Le plus souvent en amont de la saison. L'objectif est double. D'une part, la consommation d'énergie n'est pas simultanée avec celle des remontées mécaniques. D'autre part, la neige de culture déposée en amont des chutes de neige naturelle a vocation à consolider la couche neigeuse pour toute la saison. Très humide, la neige de culture préparée dès novembre - quand les températures le permettent - fait office de sous-couche froide sur laquelle la neige naturelle tiendra plus longtemps. Les grains de neige artificielle présentent en effet une meilleure tenue dans le temps que les flocons naturels. La raison : ronds, ils présentent des propriétés mécaniques supérieures à la structure dendritique typique des flocons atmosphériques.

Gestion assistée par ordinateur

Parallèlement à l'évolution rapide des capacités mécaniques des enneigeurs, les outils informatiques de télégestion et de surveillance se sont perfectionnés. Aux côtés d'une surveillance humaine sur site toujours requise, la gestion du parc de canons est désormais assistée par ordinateur pour optimiser la production et abaisser les coûts en fonction des conditions climatiques par exemple. Pour aller plus loin, des appareils automatiques de mesure de l'épaisseur de la couche de neige sont désormais déployés à l'instar de la phase de test engagée sur le domaine skiable géré par la SERMA.

Alors la neige de culture serait-elle toute "blanche" ? Malgré les efforts "d'éco-efficacité", la nivo-culture conserve une part d'impact difficilement mesurable sur l'environnement. Par exemple les effets sur le milieu et la biodiversité, de la construction de retenue collinaire et de l'épandage d'un tapis de neige artificielle persistant tout au long de la saison, restent difficiles à évaluer. Pour autant la filière illustre bien la concomitance des objectifs économiques et écologiques : produire propre revient également à produire mieux et moins cher.

David Ascher
Article du 22/02/11 sur actu-environnement.com
http://www.actu-environnement.com/ae/news/impact-environnemental-neige-artificielle-12000.php4
Modifié il y a 13 ans
Article de enviscope.com du 25/02/11
La FRAPNA Rhône Alpes, Mountain Wilderness et la CIPRA alertent le Préfet Coordonnateur du Massif des Alpes sur les prélèvements d’eau destiné à la neige artificielle alors que les Alpes connaissent une période de sécheresse
Patrick LE VAGUERESE, Président de la Délégation française de Commission internationale pour la protection des Alpes ,Eric FERAILLE, Président de la Rhône-Alpes de de la Nature et Frédi MEIGNAN, Président de Mountain Wilderness ont écrit au préfet coordinateur de massif pour les Alpes pour l'alerter sur la situation inquiétante des réserves en eau..
Les chutes de neige ont été faibles sur les Alpes depuis le début de l'année 2010. La sécheresse sévit sur une large moitié Nord des Alpes. Cette anomalie liée à des précipitations très faibles depuis deux mois, s'est amplifiée par des périodes de douceur printanière, entrecoupées de périodes de froid saisonnier. Pour pallier ces aléas les stations ont massivement recours à la neige artificielle. Des gestionnaires de stations se félicitent même de produire d'énormes 420.000 m3 à Villard-de-Lans en Isère.
La Clusaz (Haute-Savoie) ne possède que 8000 m3 d’eau dans ses retenues sur les 200 000 m3 prélevés au total. Le directeur des remontées mécaniques avoue avoir dépassé, explique la lettre des associations, les objectifs de production et avoir eu recours à un remplissage en janvier, en accord avec la préfecture… Le niveau des retenus est bas dans les Alpes du Nord.

La production de neige artificielle exige de grandes quantités d'eau (55 % de cette eau provient des retenues d'altitude, 30 % des cours d’eau, et 15% du réseau d’eau potable. La production de neige consomme aussi beaucoup d'énergie, et des produits adjuvants. Cette situation a des répercussions sur la faune et la flore de montagne, car d'importantes quantités d'eau sont prélevées dans le milieu naturel au risque de provoquer une prise en glace des cours d’eau, malgré l'obligation réglementaire de respecter un débit minimum, dit débit réservé.

L'impact sur la ressource est difficile à appréhender. On sait que près de 20 millions de m3 d'eau sont consommés tous les ans et ce volume s’accroit au rythme de 1 million de m3 supplémentaire chaque hiver. Mais le suivi et le contrôle des volumes prélevés sont déficients, exploque Vincent Neyrinck, de Mountain Wilderness, faute d'effectifs suffisants. Les volumes fournis par les réseaux d'eau potable inconnus. Il faut encore ajouter les pertes par évaporation et suintement, parfois estimées entre 10 et 30 %.
Ni les services de police de l'eau, ni les agences de l'eau ne disposent d'informations suffisantes sur les prélèvements dans la ressource alimentant les enneigeurs ou sur les volumes fournis par les réseaux de distribution d'eau potable. » Les seules données portent sur l'aval -l'eau transformée en neige et non l'amont – les prélèvements sur la ressource ou la fourniture des réseaux d'eau potable. La mission souligne que « les prélèvements peuvent modifier fortement le bilan ressource- usages en eau et devenir très sensibles localement et en période de pointe hivernale. »

http://www.enviscope.com/index.php?option=com_content&view=article&id=10855:a-secheresse-met-en-cause-le-ski-sur-neige-artificielle&catid=57:montagne&Itemid=70
Modifié il y a 13 ans
Les premières propositions de Via Michelin étaient peu sérieuses, soit par l'excès des coûts de péage, soit par les longues petites routes tortueuses entre Bourgoin et St Marcellin. Pittoresque nocturne bien inutile, et 3 h 30 estimés, c'est vraiment trop.
Une fois imposé le passage par Romans-sur-Isère, la proposition est bien plus sérieuse : autoroute du Sud jusque Tain l'Hermitage, Romans, St-Nazaire, Pont-en-Royans, Grands-Goulets, La Chapelle en Vercors, le Rousset…
Estimé à 180 km, 3 h, 34 roros.
Reste le choix entre la rive droite et la rive gauche de l'Isère. Je n'ai jamais essayé la rive droite sous St-Nazaire.
Modifié il y a 13 ans
Ca fait toujours plaisir d'avoir des nouvelles de Slovaquie ^^ o^k
Pour nous la neige devrait etre là dimanche S^i
Bon ski :-D
Modifié il y a 13 ans
Accident en montagne:
ITW très intéressant du gars dont le bras est resté bloqué 127h sous un rocher…
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Modifié il y a 13 ans