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Cerfs en Pyrénées, à l'époque du brame : http://www.beneluxnaturephoto.net/forumf/index.php/topic,90327.25.html Le grand cerf a approché le photographe jusqu'à sept mètres, sans vraiment le détecter. Camouflage 3D + patience + efforts + chance. Je me pose juste la question de l'odeur de sueur, si la montée a été si bavante que cela. |
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Merci, plus qu'à voir si je réussis aussi le démontage de fix Rossignol, mais il n'y a pas urgence. M'Amie a déjà la paire de fond à écailles de 160 cm, et la paire de skis paraboliques larges équipés Telemark en 148 cm. |
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Si on règle les Chili molles, pour obtenir un bon débattement, le problème de la sécurité du verrou de talon n'est pas négligeable. Voici comment je dispose le lacet de sauvegarde, en assurance des verrous : La méthode a fait ses preuves. Il reste à gorger ce lacet de silicone, pour qu'il ne retienne plus ni eau ni neige. |
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christian8 a écrit :Grosse amélioration dans les résultats, pour le perçage pour fix Rottefella Telemark, si après tous les repérages crayonnés pour avoir l'axe et les distances entre trous, la distance au bord, etc, le premier coup de pointeau, puis le trou-pilote puis à diamètre réel, est un des trous latéraux arrières. On pose alors la vis, puis on met la chaussure, et on maintient le talon exactement dans l'axe du ski. En maintenant la chaussure dans cette position parfaite, on largue précautionneusement la fourchette, ce qui dégage l'accès au trou avant. On peut alors donner le coup de pointeau au centre du trou avant de la fix. De là, la chaussure dégagée et la fix pivotée pour dégager, on fait le trou-pilote à la mini-perceuse, puis le trou définitif. On pose la seconde vis, sur cette position avant. Maintenant on peut recommencer la procédure en confiance pour le troisième trou, l'autre arrière latéral. Le pointeau que je trouve pratique est une simple vis à agglomérés. On obtiendrait aussi de bons résultats avec une pointe style épissoir, que l'on trouve sur certains tournevis à lames interchangeables. |
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Niko a écrit :Réponse ici: http://www.skitour.fr/blog/talonlibre/1320-bien-monter-ses-fixations-de-telemark |
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Du refuge du Ricou à la crête des Muandes, il m'avait fallu les couteaux. Mais ça dépend de l'enneigement. |
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talonlibre a écrit :Solution partielle, mais non nulle pour les Chili noires : desserrer le tendeur avant de partir, pour donner un plus grand débattement. Juste ajouter une courroie qui bride le débattement du câble hors de la gorge du talon, en rappelant sur le dessus de la chaussure. Exactement comme étaient les courroies cuir du câble des fix Silvretta Saas Fee. Ainsi on évite de perdre le câble par le bas, et le ski avec. On peut aussi plaquer à la chaussure le levier tendeur de talon, soit par la guêtre, soit par la même courroie faisant un trajet plus long. Inconvénient réel : il faudra resserrer avant une descente engagée. Et re-desserrer pour les nouveaux plats et les nouvelles montées. Mmmh… Il faudrait pouvoir ajouter une gorge postiche sur la gorge de son talon, afin de n'avoir pas à modifier la longueur du câble. Variante : quatre petites languettes (2 par fix) en thermoplastique, d'épaisseur proche de 0,5 à 1 mm, à glisser entre les étriers et le bec de canard pour les descentes où l'on a besoin que la fix soit plus raide, sans changer le réglage de longueur du câble. |
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Bilan de janvier 2011 Dans les vallées soumises au foehn du sud ainsi que sur le Plateau, les températures du mois de janvier 2011 ont été de 1.5 à 2 degrés plus douces que la norme 1961-90. Sur une vaste partie du pays, on n'enregistra moins de deux tiers des précipitations habituelles ; dans certaines régions il n'en tomba qu'un tiers. L'ensoleillement par contre, a été excédentaire par rapport à la norme dans la plupart des régions… Suite à lire ici: http://www.meteosuisse.admin.ch/web/fr/climat/climat_aujourdhui/retrospective_mensuelle/bilan_de_janvier_2011.html |
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Niko a écrit :Si tu as déjà ce matériel, n'hésite pas à t'en servir. Il te fera un excellent usage. Quels sont tes moyens anti-recul ? Un fameux intervenant ici précise que les farts de retenue suffisent presque toujours, juste ajouter les peaux dans les raidillons les plus durs. Le seul réel inconvénient des fix Telemark simple, ces Rottefella notamment, est que si par malheur tu es sur une neige assez dure en surface et en pente raide à gravir ou traverser, tu ne peux avoir de couteaux. J'ignore les pentes que tu vas avoir à franchir, j'ignore donc si cet inconvénient compte ou ne compte pas pour toi. En ski de printemps en Queyras et Briançonnais (Clarée), ou hiver en Belledone, il y a des passages que je n'ai pu franchir qu'avec les couteaux : les peaux ne suffisaient pas. J'ai une solution perso à finir de bricoler, mais elle ne vaut que pour des fix basses à 3 pinuches : en solde à D4, j'avais trouvé des couteaux pour une fix discontinuée, qui se clipsent par une bande d'acier à ressort souple. On peut sangler ces couteaux à la chaussure, en coinçant le bout de la bande sous la semelle, juste derrière les trois pinuches. Indispensable de réussir et maintenir le centrage de la grolle et du crampon, sinon ils mordillent les skis. |
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Brefle, si rien ne change, et qu'on veut quand même faire le parcours prévu, laisser la pulka dans le véshicule, laisser les skis dans le dit véshicule, garder les cannes, laisser le petit sac qui aurait complété la pulka, prendre le 80 litres à la place, et prendre une paire de raquettes légères, pour le cas où la neige tomberait durant le parcours, mais légères en tubes, pas des TSL, parce que ça fait du poids en plus sur le sac à dos ? J'ai tout compris ? Ah si, les chaussures changent, et les tendons d'Achille sont encore plus exposés aux blessures… Oui, et pour l'abri d'urgence, ne plus compter sur les skis fichés dans la neige pour le tenir au dessus de nos têtes, le tipi léger convient mieux. |
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