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Le fraisage donne des résultats inquiétants, la mince couche de roving de verre est entamée, voire percée par endroits :












Par ailleurs la courte focale donne de grosses déformations en barillet.

Le vernis suffira-t-il à panser des plaies si béantes ?
La conclusion générale de la manip demeure : Ne le faites pas ! De nos jours les semelles sont trop minces pour qu'on joue à les fraiser.
Modifié il y a 13 ans
Robert a écrit :
J'ai commencé à bricoler une contrebasse électrique il y a bientôt 15 ans … Elle n'est toujours pas terminée.
Les mauvaises langues assurent que le journal du bosco est un objet complètement inutile à bord, puisque d'une saison à l'autre, d'une année à l'autre, on n'y lit qu'une seule mention :
"Continué les travaux en cours"…
Modifié il y a 13 ans
Jacques a écrit :
… Il sera de bon sens de ne pas laisser ces fibres à nu, juste sous la peluche autocollante. Idéalement une mince couche de vernis polyuréthane ? Des gouttes de cyanoacrylate aux endroits les plus entamés ?
Décision prise : un vernis brillant en bombe.
Marque Baufix (vendu dans les Lidl), composition inconnue, peut-être bien du cellulosique comme autrefois ?
Laisser durcir 48 h.



P.S.
L'année suivante, Baufix documente la composition du vernis : glycérophtalique.
Modifié il y a 13 ans
topolino a écrit :
( voir www.randonnerleger.com )
Hé bien non, je ne peux pas voir ce site depuis chez moi.
Hé oui, elles sont comme cela, les sectes : déchaînées dans leur violence contre les incroyants, contre ceux qui ne croivent pas aux mythes de la meute.
Echantillon :
<a href="http://deonto-ethics.org/impostures/index.php/topic,193.0.html">http://deonto-ethics.org/impostures/index.php/topic,193.0.html</a>
Modifié il y a 13 ans
Nicolas Masson a écrit :

Nous disons donc :
- Aucune expérience,
- Randonnée solitaire en autonomie de plusieurs jours préparée sur une carte routière à petite échelle,
A vrai dire, c'est ce que j'ai fait, il y a 42 ans, mais c'était en été.
Ma carte était au 1/325 000.
J'avais l'expérience de quelques bivouacs en forêt de Fontainebleau, le plus souvent abrités en grotte.
J'avais au moins appris que venus les nuages et la pluie, sans boussole on peut se tromper de route de 90°.
Mon sac était beaucoup trop lourd, ma tente n'était pas imper, mes deux pantalons n'étaient pas superposables, mes chaussures étaient bien mal testées…
Mais c'était en été.

Mais neuf ans plus tard sur le tour d'Oisans, j'ai vu encore plus mal préparé que moi, un "baba cool" avec un sac Freetime, qui a continué de monter au dessus de la bergerie, vers le col de l'Aup Martin et le pas de la Cavale, alors qu'arrivait un orage carabiné. Il a dû beaucoup souffrir, le malheureux, et mettre ses jours en danger.
Et pourtant c'était en été.
Modifié il y a 13 ans
Robert a écrit :
Méthode russe années 40 , c'est ici :


http://fleguevellou.blogspot.com/2011/01/ski.html
Motivation et contexte sont clairs, ici : il s'agit de bouter l'occupant dehors.

La branche centrale du Cha étant effacée, j'ai eu du mal à déchiffrer l'avant-dernier mot : "fachistskikh" dans
"fachistskikh okkoupantov".
Modifié il y a 13 ans
forez a écrit :

La lune a changé, … Faudra encore attendre une quizaine à la prochaine bascule de la lune.
L'étude statistique a été faite, pour tester la valeur de chacun de ces proverbes météorologiques locaux et régionaux, véhiculés par les folklores. On en a chargé un thésard.
Résultat : zéro partout. Aucun de ces proverbes n'a la moindre valeur prédictive, ils font exactement aussi bien que le hasard.

Mézalors ? Mézalors ? Pourquoi donc nos ancêtres ont-ils élaboré tous ces proverbes, tous faux ?
Parce que ces bluffs sont socialement payants, ils donnent au bluffeur l'apparence d'une personne expérimentée, qui sait ce qu'elle dit. Tout comme les airs avantageux et entendus de mon jeune collègue qui assurait "Oui ! Ça va revenir avec la marée !" en parlant du vent. Ce bluff impressionnait les jeunes filles autant que les pectoraux, donc ce bluff lui était utile.

Mais pour revenir au coeur du sujet, je souffre autant que toi de l'enneigement déficitaire.
Modifié il y a 13 ans
Et encore un magnifique vallon de la Vanoise en péril face à l'extension des stations:
http://www.camptocamp.org/forums/viewtopic.php?id=189769&action=new
Modifié il y a 13 ans
Je reviens de Grand Naves dans le Beaufortain (Savoie).
http://www.naves-savoie.com/spip.php?rubrique1
http://www.savoienordique.fr/chapitre2_fr_12_47.html
Et bien meme plein sud (versant du soleil en Tarentaise), ca n'a jamais décaillé de la journée :-? :-(
Par contre sur les pentes bien exposées au soleil s'était pas trop mal, car la neige est dure et portante… par contre au nord c'est une croute horrible :-( :-o
De Grand Naves tu peux pas mal rayonner sur l'intérieur du massif du Beaufortain, et beaucoup de combe sont propices au SRN. Tu peux par exemple rejoindre le Cormet d'Areches et son refuge de la Coire. C'est pas les randos qui manque et la neige est bien présente.
On le trouve skiable vers 1500m, et jusque fin février une navette gratuite te monte et de redescend du village au départ du ski de fond.
Ce qui permet d'attaquer sur de la bonne neige, et de s'éviter la descente galère complétement verglacée :-(
Le domaine de fond n'empiète pas sur l'espace naturel et skiable, il reste assez confiné.

Tu as aussi les Aravis encore bien enneigé au dessus de 1500m, mais là c'est plutot le domaine de TalonLibre pour les idées de rando :-D
Modifié il y a 13 ans
Nouveau fraisage terminé, le second ski, celui qui avait eu des surépaisseurs de mastic élastomère noir à base polyuréthane.

Il était prévu une largeur fraisée de 36 mm (ancienne largeur 25 mm), mais une erreur dans la prise de référence a fait que cette largeur n'est respectée qu'à l'avant. 41,5 mm au patin, 39 mm à l'arrière. J'avais pris mes mesures hors carres, mais le guide de la défonceuse n'appuie que plus bas, sur la muraille au dessus des carres (au dessus quand le ski est à l'endroit). Comme précédemment, la carre de référence est la carre lointaine (la plus loin de la fraise, la plus proche du corps de l'opérateur). Ainsi une erreur d'appui respecte trop de semelle, au lieu d'en entamer trop.

D'essais en erreurs sur la profondeur de fraisage, la profondeur typique est 1,29 mm, mais localement c'est monté à 1,32 mm. C'est trop partout : la structure en fibres de verre est entamée. Il aurait fallu pouvoir régler vers 110/100 mm. Il sera de bon sens de ne pas laisser ces fibres à nu, juste sous la peluche autocollante. Idéalement une mince couche de vernis polyuréthane ? Des gouttes de cyanoacrylate aux endroits les plus entamés ?

Les photos :
Avant


Milieu


Arrière


La longueur prévue était de 69 cm (c'est une longueur plus érotique), finalement c'est 70,5 cm, et plus en avant que tracé. La longueur initiale était de 46 cm. La surface anti-recul a plus que doublé, pour des skis de 177 cm.

La fraise est de diamètre 18 mm. Elle sera maintenue pour le second ski pour ne perdre aucun réglage de profondeur. Insistez et rusez pour réussir le raccord de l'aspirateur sur la défonceuse, c'est le jour et la nuit, quant à l'état du chantier. Mes ruses ici ont été d'utiliser la lime pour des débuts côniques à l'emmanchement.

A suivre pour le premier ski, celui qui avait été encollé à l'époxy lente.
Modifié il y a 13 ans