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Tous les messages créés par anonymous

Salut moonker, le Ski de Randonnée Nordique est bien un ski tout terrains, qui te permettra de sortir partout et en toutes neiges S^i
Pour toi deux solutions en SRN, soit tu reste sur du ski étroit mais typé rando nordique avec le Asnes Amundsen qui se fait en 1,94m ou 2,01m.
Ou bien tu t'oriente vers un ski un peu plus large, plus court, qui sera plus joueur, passe partout et skiable: avec le Madshus Eon en 1,95m, voir 1,85m (tu as aussi le Fischer Outtbounds, mais qui a des carres en plastique au niveau des écailles :-( :-? :-o )
Les deux skis que tu propose sont des pures skis de fond et non de SRN, pas top du tout pour se faire plaisir en pleine nature :-( :-?
Modifié il y a 13 ans
GOOSE421 a écrit :
Il existe aussi des petites caméras à fixer sur l'épaule, voire même sur la tête un peu comme une frontale, je suppose que cela doit exister aussi en modèle appareil photo, il suffit alors de bidouiller un système de déclenchement qui peut s'utiliser avec des gants et le tour est joué.
Bien sur cela ne sera peut-être pas comparable au niveau de la qualité d'image, tout dépend du prix, mais une photo de qualité moyenne, par rapport à pas de photo du tout, à vous de voir… :-)
En ce qui me concerne, j'ai d'excellentes raisons pour resserrer les écrous : plus d'autres grosses dépenses.
Les photos de jeudi 1er décembre ont été prises avec un appareil étanche. C'est lui la dernière dépense autorisée.
Les photos de samedi avec le Fuji S8000, nettement plus performant en zoom, mais qui ne supportera jamais l'eau.
Je ne ferai qu'avec le matériel déjà présent.

La question du fil, c'est la gestion des cannes pour qu'elles ne gênent plus les mouvements de bras MAIS ne tombent pas, et la gestion des gants pour qu'il leur soit interdit de tomber, et des gains de vitesse à réaliser dans ces mouvements.

En en ce qui concerne les cormorans méfiants, il est clair que j'ai fait moins mal avec la lunette de 1200 mm sur un trépied de 5200 g, depuis un poste terrestre, qu'avec l'appareil étanche depuis le kayak. C'est que ça bouge, un kayak !
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php?topic=987.0
Les photos prises à skis le 4 décembre ne s'en sortent pas si mal.


http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php?topic=1371.msg2750#msg2750



Elles auraient pu être améliorées encore en netteté si une des cannes avait pu servir de monopode, voire les deux en bipode. Là, il y a à creuser.
Modifié il y a 13 ans
C'est sur que si tu veux faire du bon SRN, en terrain bien vallonné, la chaussure rigide est un plus indéniable, en terme de skiabilité et de plaisir!

Pour ce qui est du plat, c'est sur que si t'es sur un terrain plat pendant des heures et des heures, là aucun intérêts aux chaussures rigides.

Mais pour du SRN en terrain ''Alpin'' les Garmont Excursion ou Scarpa T4 sont la meilleure solution. Les Fischer BX875 peuvent etre un bon intermédiaire, selon le terrain que tu veux pratiquer…

De plus le confort sur ce type de chaussures est je trouve vraiment excellent. Pour ma part je ski avec les Garmont.
Très bon modèle, très confortable, et parfaitement adapté au SRN. Je dois avoir le pied Garmont car je ski aussi avec des Garmont en ski de rando ''alpin''!

Les Libero et les T3 sont simplement les modèles existant avant les Excursion et T4. Ce sont de bons modèles, dont certain trainent encore par ci par là… mais dure de trouver sa taille…
Modifié il y a 13 ans
Au bout de la discussion avec ma fille, il appert que les longes pour cannes ne doivent pas être frappées aux manches ni aux aisselles (alors que ce ne serait pas idiot pour les sauvegardes des gants), mais en milieu de poitrine, pour laisser libres les trajets des bretelles de sac à dos : les cannes restent amarrées quand on pose ou qu'on reprend le sac.

Sur le smock d'origine britannique que je portais lors des sorties de la semaine dernière, un point d'amarrage est préexistant : la patte porte-grade, qui est cousue sur le devant du volet couvre-zip, au milieu de la poitrine, et dont le bouton est cousu costaud. Il suffira d'y nouer un cordon élastique de 4 mm (que je n'ai pas encore en stock), avec deux petits mousquetons alu. On croche chaque mousqueton dans une dragonne, et les cannes ne peuvent plus choir. Pas d'interférence avec les bretelles de sac.

Sur des anciens modèles d'anoraks D4, il y a aussi des points d'amarrages possibles pour chaque longe élastique : en tissus qui n'espéraient pas être respirants, ces anoraks avaient une fente d'aération recouvertes par un débord, derrière et devant. A mi-fente, il y a un plot de coutures. On peut passer un noeud de chaise ou une boucle coulante autour de chacun de ces plots cousus. La position en est presque idéale.

Je peux faire une photo illustrative, avec un bout de paracord à la place.

Sur les gilets de pêche à 14 poches, très accessoirisés, il y a deux anneaux cousus au bon endroit, et ça peut servir de même au marcheur avec cannes nordiques qui veut ne pas laisser choir ses cannes le temps d'une manip quelconque, photo inclusivement.

Amarrer sur un gilet à 14 poches :


Amarrer sur la patte porte-grade british :


Amarrer autour du plot cousu dans un volet d'aération :
Modifié il y a 13 ans
Escuelper a écrit :
…nous aussi nous venons de franchir le pas avec Samedi notre première journée de SRN…

En conclusion notre première journée a été que du bonheur, le SRN nous permet d'ajouter une raison de plus de randonnée toute l'année à travers toutes ces régions que nous aimons…

Ca fait vraiment plaisir à lire o^k S^i
Bon ski, et pensez à nous faire découvrir vos randos ;-)
Modifié il y a 13 ans
GdR a écrit :
Et les moufles convertibles en mitaines? Ça fonctionne plutôt bien.



Très pratique, avec en plus le compact dans sa petite saccoche LowePro en bandoulière…
Modifié il y a 13 ans
Comme le soulignait "Talon Libre", les petites sorties permettent de détecter à temps ce qui ne va pas dans le matériel et la technique.

Peu de problèmes en photo jeudi : la température était douce pour les mains, sans vent, et la neige profonde pour les cannes. Samedi, ça s'est bien gâté. Certes il y avait un soleil superbe, mais un vent frisquet. Donc gants nécessaires. Et une neige bien tassée et transformée, donc le planté de cannes pour la pause photo ratait une fois sur deux.

Le gros rassemblement d'oiseaux perchés sur un tronc près de Cusset, dont deux cormorans, il était à contre-jour. Un peu avant, il y avait les cygnes avec l'oie barbue dont l'espèce m'est inconnue, sans doute échappée d'un zoo. Et tout cela a échappé à ma lenteur de photographe à skis. Il faut planter les cannes pour pas qu'elles tombent, et le plantage rate une fois sur deux. Retirer les gants et les poser. Où ça ? Ou les accrocher. A quoi ? Ouvrir la veste et le gilet ouatiné pour en tirer l'appareil photo, enlever le capuchon d'objectif, pousser l'allumage, zoomer… Ils sont déjà tous partis au loin, à toutes palmes. Un premier problème sérieux du photographe à skis, c'est vraiment ce qu'on fait des cannes. Il faudrait pouvoir les crocher dans des longes à la poitrine ou aux aisselles. Si on porte un sac à dos, ce doit être soluble avec un mousqueton dans chaque bretelle. Mais je n'avais pas de sac à dos. Et il reste encore le sort des gants.

Dans le Vercors, janvier 2010, j'avais de même raté les plus beaux éclairages dorés sur les épicéas, qui ne durent qu'une minute ou deux, tant le passage des cumulus était rapide.

Avez-vous trouvé des astuces pour crocher vite et sûr gants et cannes sur vous ? D'autant plus que perdre un gant dans la poudreuse profonde, est un incident grave…

Précédemment, j'avais tenté le truc que font des mamans de babies à la neige : une cordelette cousue à chaque gant, qui passe par les manches et dans le dos, dans l'anorak. Longueur difficile à mesurer, et beaucoup d'inconvénients.
Moins lourde pourrait être la solution que chaque gant peut être croché dans une petite longe cousue, ou nouée dans un anneau en bout de manche.

Pour les dragonnes des cannes, le moins bête, et qui n'est accessible que sur des parkas et smocks d'origine militaire, me semble d'utiliser les pattes porte-grade.
Les plus pratiques sont les british, uniques, devant le rabat protège-zip. Il faut y avoir une boucle en paracord de 4 mm, avec un ou deux petits mousquetons d'aluminium, que l'on peut crocher dans les dragonnes.
Moins pratiques, les pattes d'épaules, en usage dans les autres armées : ce n'est guère à portée de la main, et la longe peut être derrière, inaccessible.

On peut aussi utiliser les bretelles du sac à dos pour y frapper les longes pour cannes (mais samedi je n'avais pas de sac à dos, juste la housse à skis).

Autres pratiques ?
Merci d'avance !
Modifié il y a 13 ans
topolino a écrit :
Ca glisse, c'est leger, vraiment pas fatiguant, je crois que mes raquettes vont prendre la poussiere :-)

Conclusion:
Ca me plait et c'est vraiment adapté a la découverte. J'aurais pu faire cette ballade en ski de rando , en raquette ou en fond mais surement pas avec la meme facilité. J'ai fait une quinzaine de km et du plaisir a la montée comme a la descente, j'ai pu aller la ou je voulais et jamais hésité a sortir de la voie la plus logique pour aller faire une photo.
Alex

Voilà un bien beau résumé de l'esprit du Ski de Randonnée Nordique o^k S^i
Modifié il y a 13 ans
talonlibre a écrit :
Une sortie idéale pour mes skis de SRN
Je prépare un topo pour SRN sur ce joli secteur du massif des Aravis et très adapté au SRN. Et quel régal sur le long chemin du retour où il faut pousser.

Très beau coin c'est vrai :-) Faut vraiment que je vienne y skier ;-) Belles photos…
Ce topo sur les Aravis est une TRES bonne idée car sur les deux Savoie, ca manque cruellement…
Après les Aravis, le Beaufortain?
Modifié il y a 13 ans
Article du DL du sur les risques ce weekend:
[…]les randonneurs à raquettes et de SRN sont tout autant exposés dans les zones instables que les skieurs de rando ''alpin''. Les massifs qu’ils fréquentent plus particulièrement (Chartreuse et Vercors) sont d’ailleurs très chargés ce week-end.[…]

Alors que les amateurs de poudreuse sont dans les starting blocks depuis des semaines, le cocktail “plaques à vent/beau temps” prévu pour ce samedi par Météo France s’annonce explosif : à tel point que l’ensemble des spécialistes appellent les skieurs hors-piste à la plus grande prudence pour ce week-end. “Il existe chaque hiver trois ou quatre épisodes particulièrement sensibles en montagne. Celui-ci en fait partie, tout simplement parce que nous craignons que le beau temps et la neige fraîchement tombée poussent les skieurs à se ruer en altitude alors que les risques de plaques sont vraiment importants”, explique Dominique Létang, directeur de l’Anena (Agence nationale pour l’étude de la neige et des avalanches), basée à Grenoble.

De fait, l’historique des épisodes neigeux et de la météo des derniers jours, exposé par Météo France sur son site web, devrait être de nature à freiner le plus téméraire des mangeurs de poudre : en une semaine, quatre épisodes neigeux se sont succédés. Une première chute de 30 à 50 centimètres vendredi dernier, une deuxième d’une vingtaine de centimètres dimanche soir, une nouvelle chute importante mercredi, puis les précipitations de la journée d’hier. A 1000 mètres, le cumul est donc très supérieur à un mètre. A ce phénomène s’est ajouté un premier épisode de foehn qui a provoqué d’importantes accumulations, tout particulièrement sur les versants nord, à proximité des crêtes. Le troisième composant du cocktail -le froid très intense et un vent de nouveau orienté nord pour aujourd’hui- devrait ralentir la cohésion du manteau. L’isotherme -10 C° est en effet prévu à 1500 m ce matin. “Nous nous trouvons dans une configuration où une extrême prudence est requise en hors-piste, dans les pentes supérieures à 30°, et plus particulièrement sous les crêtes”, confirme le capitaine Jean-Pierre Mirabail, commandant en second du PGHM de l’Isère. D’après Dominique Létang de l’Anena, le risque d’avalanche pourrait être de 3 à 4 (”marqué” à “fort” selon les secteurs) pour cette journée de samedi. Autant dire que les conseils de prudence des gendarmes du secours en montagne sont à respecter scrupuleusement pour les candidats au hors-piste :

Détecteur de victimes d’avalanches (DVA), pelle et sonde sont indispensables. Respecter les distances de sécurité au sein d’un groupe peut s’avérer vital et se renseigner auprès des pisteurs sur les conditions locales en hors-piste peut être très utile…

Enfin, les randonneurs à raquettes sont tout autant exposés dans les zones instables que les skieurs. Les massifs qu’ils fréquentent plus particulièrement (Chartreuse et Vercors) sont d’ailleurs très chargés ce week-end.
DL le 04/12/2010
http://www.ledauphine.com/isere-sud/2010/12/03/avalanches-ce-week-end-la-montagne-est-piegee
Modifié il y a 13 ans