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christian8 a écrit :Non plus, car ce n'est pas du tout innocent, en particulier pour les poumons. M'Amie m'engueule copieusement : après un cancer du poumon et deux embolies, elle trouve que je devrais vraiment trouver d'autres jeux. S'il existait une solution non polluante et sans risques de santé, je préférerais de beaucoup. Pour le coeur de ton message, nous ne divergeons que sur un point : même si le respect et la courtoisie ne sont pas réciproques, il faut tenir ferme sur ce principe de respect des autres, et de recherche de solutions sérieuses. A titre personnel, je sais avoir bien plus de risques par des prédateurs bipèdes que quadrupèdes. |
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stef a écrit : Opportuniste, le renard peut aller jusqu'à mordiller les randonneuses :http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2010/08/16/la-route-des-randonneurs-peut-croiser-le-renard,151003.phphttp://www.larepubliquedespyrenees.fr/2010/08/13/la-pierre-une-randonneuse-grignotee-en-pleine-nuit,150729.phpBon, désolé, la transmission de liens est boguée sur cet éditeur, qui fait sauter ce qui vient après la virgule.Là les liens passent correctement :http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php?topic=1294.msg2568#msg2568 |
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Cyrille M a écrit :C'est rigolo, mais c'est inexact : le white s'évapore très correctement, si le tissu est mince.stef a écrit :J'ajoute que ton système d'imperméabilisation des vêtements à base de white siprit et autres produits à la douce odeur, te met à coup sûr à l'abri de toute prédation… Là où j'étais très très embêté pour deux mois, c'est quand je tentais de le remplacer par le pétrole lampant, qui est affreusement tenace. Un expérimentateur, ça expérimente, sacrebleu ! La méthode des essais et erreurs produit immanquablement quelques erreurs. Pour ma prochaine virée de reconnaissance pré-hivernale en Margeride, je m'inquiète surtout de l'ouverture de la chasse. |
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stef a écrit :J'ajoute que ton système d'imperméabilisation des vêtements à base de white siprit et autres produits à la douce odeur, te met à coup sûr à l'abri de toute prédation… |
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christian8 a écrit :Bonjour Christian. J'ai vérifié sur ton site perso que tu es bien un poète et authentique amoureux de la nature. C'est de ton âge d'être militant. Mais il est de mon âge de mettre en garde contre les excès et les dérives du militantisme. Il n'est pas de bonne politique de partir ainsi en attaque frontale contre les bergers. Eux aussi ont le droit d'avoir leur point de vue et leurs convictions. Ce qui nous manque, ce ne sont pas des hommes de guerre civile, mais des hommes de paix et de conciliation. Pour des solutions créatives. A titre très personnel, je commence à craindre autant les loups et les chiens sauvages, que les chasseurs. J'avais autrefois l'habitude de randos en solitaire, avec bivouacs discrets. Pas sûr que je réussisse à recommencer, mais je persiste à m'imaginer dans ces situations. Et pourtant dans la réalité, autant j'ai été approché par des rennes durant mon sommeil, autant je n'ai jamais vu la queue d'un loup ni l'oreille d'un ours. Juste les traces de l'ours dans la neige du névé. Pas de quoi partir en guerre ni contre les loups, ni contre les éleveurs. |
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christian8 a écrit :Vidéo : http://www.dailymotion.com/video/x27eb1_les-inconnus-les-chasseurs_fun … |
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Les simples contributeurs n'ont pas le pouvoir de scinder un fil qui diverge du titre initial. C'est un pouvoir qui est entre les mains des administrateurs et modérateurs. A deux ou trois reprises je vous ai suggéré de procéder à cette scission, quite à renommer le titre scindé, et à mettre un message de redirection sur l'ancien départ de fil commmun… Sur les sites que je dirige (dont cinq forums actifs), je procède couramment à de telles scissions et entures, pour le bénéfice de la lisibilité et des recherches. Sur SMF, ça marche à merveille, cette fonction. Tiens, tu me fais penser que je devrais scinder le fil consacré aux photos de grèbes huppés, trop lourd à charger en l'état. On ne pense pas toujours du premier coup aux bons remaniements. |
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Pour faire suite au post de Régis sur l'abattage des loups… Article Suisse du Journal 24heures du 03/08/10: Les loups tuent 50 fois moins de moutons que les maladies et accidentsSuisse | Entre 15 et 20 loups déambulent en Suisse cet été. Ils tuent en moyenne 200 moutons par an, soit cinquante fois moins que les maladies, les accidents ou les chutes qui sont fatals à 10 000 ovins. Selon l’Office fédéral de l’environnement (OFEV), il devrait y avoir plus de loups cette année qu’en 2009, car lors du rude hiver 2009-2010, les canidés ont trouvé davantage de gibier mort. L’an dernier, les analyses génétiques ont prouvé la présence de onze de ces prédateurs. Et des indices de passage d’autres individus ont été relevés. Les loups dont la présence est confirmée se répartissent dans toutes les régions alpines: deux en Valais, le même nombre dans les Grisons et six dans les cantons de Vaud, de Fribourg, de Berne et dans la région de Lucerne jusqu’au lac de Zurich. Un autre animal rôde au Tessin. Les moutons fribourgeois ont payé le plus lourd tribut Le programme de suivi des grands carnivores en Suisse (Kora) a recensé 61 animaux de rente déchiquetés par des loups. Il s’agit presque uniquement de moutons, lit-on ce mardi sur le site internet de ce centre de coordination. La plupart des ovins dévorés se trouvaient dans les cantons de Fribourg (2, du Valais (19) et de Berne (10). Ces statistiques, qui remontent à la mi-juillet, ne tiennent pas compte des derniers cas en Valais, où un loup a tué deux jeunes vaches et plusieurs moutons. Selon le Kora, le nombre de moutons tombés sous les crocs des canidés - en moyenne 200 - varie grandement d’une année à l’autre. Depuis 1999, il a oscillé entre une vingtaine et 350. Mais environ 10 000 des 250 000 petits ruminants sur les Alpes suisses meurent de maladies, d’accidents ou de chutes. Eleveurs dédommagés La Confédération et les cantons dédommagent les propriétaires d’animaux tués par les loups. Berne s’engage aussi pour la protection des troupeaux et a dépensé cet année 830 000 francs à cet effet. L’OFEV finance ainsi l’achat d’un chien de berger à hauteur de 500 francs et en alloue 1000 pour son entretien. L’Association suisse du conseil en agriculture (Agridea) coordonne les mesures de protection des troupeaux (chiens, bergers, clôtures ou ânes). Pour leur application, la Confédération dépend de la collaboration avec les cantons. Ces mesures ont prouvé leur efficacité, s’est réjoui en janvier le Conseil d’Etat vaudois. Le nombre de moutons et chèvres tués dans les Alpes vaudoises est passé de 34 en 2008 à 23 l’an dernier. Mais avec ses quelque 6000 têtes, le canton a bien moins de moutons que celui du Valais, qui en compte 52 000. Autorisations de tir Pour pouvoir être abattu, un loup doit avoir tué au moins 25 moutons en un mois ou 35 en quatre mois. Ces dix dernières années, les cantons ou l’OFEV ont délivré à ce jour douze autorisations de tir, selon la Confédération, dont la grande majorité en Valais. Mais près de la moitié des loups, soit cinq animaux, ont échappé aux chasseurs. Ainsi, l’an dernier, les autorités n’ont pas réussi à tirer un loup dans l’Entlebuch (LU) dans le délai de 60 jours. Le prédateur a certainement quitté le périmètre. Réguler la population de loups Durant plus de cent ans, le loup était éteint en Suisse. Il est réapparu en 1995, venu d’Italie. L’animal est protégé par la convention de Berne de 1978. Certains politiciens de droite des cantons concernés, surtout le Valais et Lucerne, remettent cette protection en question, malgré le petit nombre de loups, les dégâts plutôt limités et le soutien pour la protection des troupeaux. Jusqu’à récemment, ils avaient peu de succès. Mais en juin, la commission de l’environnement a adopté une motion du Conseil des Etats selon laquelle le loup devrait pouvoir être chassé en Suisse pour en réguler la population. Elle a chargé le Conseil fédéral d’obtenir une modification de la Convention de Berne de sorte qu’un Etat puisse faire valoir à tout moment des réserves. |
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Sympathique chanson sur le rando (en été), Robert devrait aimer A écouter ici http://les.blaireaux.free.fr/mp3/les_blaireaux.bouquet_d_orties.02.piqures_d_orties.mp3 (extrait) Lien ici pour le blog du groupe: http://www.myspace.com/lesblaireaux la chanson ''Les Piqures d'Orties'' s'écoute aussi sur cette page et en entière! |
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Jacques a écrit :Réglé. Ce n'étaient pas des efflorescences, ni des chromatographies. C'était que du gel de silicone était resté en surface du tissu. Le solvant s'évaporant, il laissait derrière lui une éponge de silicone, poreuse : ce gel était désolvanté. Un peu de physique, niveau Sciences et Vie ou Sciences et Avenir, pas plus : Le blanc vient d'un milieu dispersé, à indices de réfraction très différents, tel que la neige, ou une poudre, telle que la farine de blé par exemple, et des multiples réflexions et diffractions de la lumière. Il faut que les grains et la porosité soient de taille comparable ou modérément supérieure à la longueur d'onde typique de la lumière visible, qui est environ d'un demi micromètre. J'ai toujours eu des difficultés à tout bien mélanger en dissolution. Comme la vie est brève, je commençais à appliquer le dessus de mon pot, de bonne fluidité, tandis que le fond contenait encore des grumeaux, puis je rajoutais du white-spirit et je remélangeais à mesure que je consommais du sirop fluide. En fait, il eût fallu préparer moins de sauce d'un coup, et consacrer plus de temps à touiller ce [censuré] de mélange récalcitrant. Remède : D'abord être certain qu'un en a fini avec les couches de siliconage. Car le remède que je vais proposer est incompatible avec tout siliconage ultérieur. Ensuite avoir laissé durcir à l'air au moins deux jours, durée à moduler peut-être selon la température et la ventilation. Quand visiblement c'est réticulé et que c'est arrivé au bout de la réticulation, appliquer de la graisse à chaussures ou à selle, enfin à cuir épais, sur les zones blanchies. Cela s'applique à la brosse à dents, cela sent, mais il n'y a pas de solvant. C'est tout. Cela pénètre le gel poreux, et le tout devient transparent, pratiquement invisible. Les indices de réfraction du silicone et de ses pores remplis de graisse, sont très proches ; les dioptres deviennent invisibles dans ce milieu optiquement assez homogène. L'hydrophobie est rétablie. La sensibilité au feu est localement aggravée ou rétablie. L'odeur est durable, assez pour prévenir la faune de notre approche, au moins sous le vent à nous. Mais nous émettons tant d'autres odeurs dont nous sommes inconscients, et que eux perçoivent fort bien… Enseignements à en tirer : On peut en déduire la taille des pores de ce gel, donc la taille des micelles et leur pré-organisation en châteaux de cartes, comme une argile floculée. Cela implique des micelles de grande taille, de l'ordre de 1000 à 5000 Å, ce qui est énorme et m'étonne beaucoup. Ou alors ce seraient déjà des micelles de micelles ? Le polyamide se file à partir de 110 Å de grand axe de micelle, mais il faut au moins 400 Å de grand axe pour faire quelque chose avec du polyétyylène ou polypropylène. Dans le polyamide, la résistance au cisaillement et en traction vient des liaisons hydrogène entre micelles, alors qu'un polyoléfine doit se contenter de liaisons de Van der Waals, considérablement plus faibles. Il faut donc des molécules (pelottonées chacune en micelle à la polymérisation en solvant) plus grandes, plus déformables, plus flasques pour avoir de meilleures surfaces de contact entre micelles. Cela pourrait impliquer que notre choix imposé par la structure du commerce, de ces mastics en tube ou en cartouche, n'est pas optimal, et que des préparations de poids moléculaire plus bas, feraient mieux notre affaire en traitement de textiles : meilleure pénétration, moindre gélification en masse. Tiens, justement ce qu'ils proposent en aérosols, mais sacrément coûteux. Graisse utilisée ? Celle que j'ai en stock maintenant est la graisse à cuirs de St*rwax, trouvée à C*sto. Composition annoncée : lanoline et équivalent d'huile de pied de boeuf. Pas encore essayé d'autres sur ce problème. Du cirage incolore pour chaussures, imperméabilisant, devrait convenir aussi. |
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