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Régis Cahn a écrit :Tel était le défaut des ponchos courts Cham, que le VxCmpr a vendu quelque temps. Un poncho très court, en ripstop fin noir ou rouge, intérieur aluminisé. Il se refermait devant par velcro. En pratique nous ne les avons jamais emmenés… Sur le mien, j'ai réduit les défauts en cousant deux élastiques à passer sous les aisselles pour limiter les envolées, et deux petits cordons pour mieux refermer le capuchon. Ici, la partie épaules de ces camails est fermement tenue par le couvre-sac, bien serré, lui. C'est vrai qu'en découpant la forme du modèle n°2 dans un lé de 140 à 150 au lieu de 110 cm, on gagnerait une protection plus sûre sur les flancs et le devant. Quitte à ajouter un cordon élastique axillaire pour limiter les envols par vent de face-travers. Il reste la possibilité qu'un vent de face m'enlève le capuchon. Simple : je vais coudre deux cordons légers pour resserrer devant le menton, environ 4 ou 5 cm au dessus de la jonction avec la bande pectorale. De toutes façons, ça ne doit s'utiliser qu'avec la veste imper-respi normale. Le but est juste de gagner quelques heures de résistance sur les points les plus exposés par le sac à dos, ou dans le sac à dos. Les solutions à zéro inconvénients, il n'y en a pas. Ici l'inconvénient est que tu laisses le camail sur le sac quand tu poses le sac. Seuls les grandes pélerines, assez larges pour qu'on puisse dépasser (en marine, le contraire de "passer" est "dépasser", comme le contraire d'amarrer est "démarrer" (*)) les bras (voir ma transformation là ) et les grands ponchos permettent de fouiller dans le contenu du sac, en laissant cet intérieur de sac à l'abri de la pluie. Qu'un vent de face enlève capuchon, ou casquette ou bob sans jugulaire n'est pas un cas théorique. En kayak le véquende dernier je n'ai sauvé ma casquette que par la jugulaire (là encore, ajoutée par le couturier fou…. (*) Dans le même style, pour nos enfants et petits-enfants, le contraire d'approcher est "déprocher", et le contraire de ramollir la pâte à modeler est la "démollir", quand elle est devenue trop "moule". |
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3e réalisation, 3e tâtonnement. La base est un couvre-sac plus léger de chez D4, gris clair, toujours made in China, de coupe plus simple. Prévu pour 35 à 55 l, testé sur un 40 l. Un contrainte improvisée fut de réemployer un capuchon déjà fait depuis plusieurs années, et qui depuis avait perdu sa destination prévue. Quelques autres pingreries plus tard, voilà le résultat : De profil à plat : On aura remarqué à de certains détail les ordres et contr'ordres qui ont émaillé cette improvisation. Pas de zips, pas de scratch, pas de boutons ni cordons : on capelle et décapelle depuis le poste sur sac. Pas pesé avant. Poids actuel : 151 g. On montera vers 160 g après siliconage, qui est indispensable vu le choix du tissu. |
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Autre question d'un débutant : peut-on marcher sans les skis aux pieds avec des chaussures de SRN, comme par exemple au bivouac autour de la tente ? Car sinon, je pensais prendre des chaussures grand froid type Sorel en complément. Sauf si ce n'est vraiment nécessaire. Regarde ça : http://cgi.ebay.fr/MUKLUK-OVERBOOT-THERMAL-UBERZIEHSCHUHE-GR-44-46-5-TOP-/360231307033?cmd=ViewItem&pt;=NATO_Shop&hash;=item53df758719 J'ai renforcé l'hydrofugation à ma manière habituelle… y compris à l'intérieur, sur la doublure thermique. Attention, les frais de port sont élevés chez G.U.M. C'est un grossiste. |
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BernardF a écrit : Moi non plus je ne maîtrise pas tout. Bon succès ces jours-ci sur les camails attenants aux couvre-sacs D4, décrits sur un autre fil. Bon succès hier et aujourdhui sur un poncho-pélerine-à-manches-ouvrantes de chez Lidl et un poncho premier prix de chez D4. Dans ces 4 cas, j'ai pris soin de bouchonner chaque nouvelle enduction encore liquide et luisante, avec un autre pan du vêtement, pas encore enduit, pour en enlever l'excédent. Dans ces 4 cas, pas d'efflorescences blanches, bon toucher soyeux. Mais à force d'économiser ainsi, il me restait encore un peu de camelotte dans le pot… Quoi siliconer ? Pourquoi pas le haut d'un anorak hivernal ? Et là si, voilà les déplorables efflorescences blanches ! Non je n'avais pas bouchonné… Je me sentais pressé et affamé, j'ai bâclé. Et avec les efflorescences, le toucher devient rugueux. Avec l'épaisseur du dépôt final, le toucher devient étrange, caoutchouteux. Inconvénient que j'accepte bien sur les parkas camouflées de la BW, mais qu'on peut tenir pour un échec sur les vêtements civils, nettement plus fins et élégants. Il est possible que le tissu contienne des apprêts, il est possible que le papier contienne des colles solubles, qui migrent dans la résine silicone, et en gênent la réticulation. Ce que j'en retiens surtout, c'est qu'il faut faire maigre, et bouchonner immédiatement les excédents d'épaisseur. Et diluer plutôt trop que pas assez, s'assurer que le sirop soit bien fluide et sans grumeaux. Hélas, c'est du côté de la pollution maximale par le solvant. |
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A ce prix c'est soit leur sous-traitant asiatique qui revend des produits via ebay, ou des articles déclassés ''usine'', ou plus embêtant des contrefaçons… |
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C'est qui ''Noc'' ? |
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lynx18 a écrit :Ils ont changé l'éditeur BBcode pour un éditeur Xhtml, et celui-ci a quelques bogues. J'ai comme cela des problèmes avec celui de Joomla. Fréquemment je ne m'en sors qu'en allant éditer le code source html, qui est accessible ici par le bouton "html". Ce qui m'intrigue, et que je voudrais comprendre, est le mode d'entrée de la neige soufflée dans la veste dite "softshell". Par le col ? Par la taille ? J'avais un inconvénient du genre, bien moins dramatique puisque c'étaient deux sorties à la journée depuis un foyer : une parka genre veste de relais, ouatinée à l'intérieur, enduit imper en tissu externe, avait pris bien de l'humidité et de la neige sur le ouatinage, sous la taille. Mais les reponsables étaient mes gadins dans la neige mouillée. Le vent n'était pas tel, et surtout le nuage ne donnait pas de précipitations. Juste assez dense pour faire tout gris, contraste epsilon, et que je voie davantage mes opacités flottantes dans l'humeur vitreuse de l'oeil, que le terrain estompé. La solution trouvée, mais qui n'a pas encore été testée sur le terrain, a été de siliconer légèrement la moitié basse de la doublure. Comme j'ai aussi élargi l'avant du col, pour que cette veste de relais abrite mieux un vêtement précédent, j'ai éventuellement aggravé sa vulnérabilité à la neige soufflée. Problème difficilement soluble par grand froid : la glace due à la respiration condensée, barbe, moustache, vêtements, masque… Que l'entrée de la neige soufflée soit par la taille, le col s'il n'y a pas de capuchon, ou qu'il est rabattu, ou autour du visage, entre visage et capuchon, il me semble que du jersey élastique devrait résoudre le problème, mais j'ignore où on en trouve, ni pour quel prix et quel poids. |
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Ça existe dans le commerce, mais le prix n'est pas le même : http://www.backcountryedge.com/outdoor_research-pack-hoody.aspx 210 g, 59 $ + port. Il y a aussi ça : http://www.exped.com/exped/web/exped_homepage_int.nsf/0/65AED7588D2A40DDC1256F2B00394656?opendocument Mais l'ergonomie au charger-décharger est aussi problématique qu'avec mes chasubles précédemment coupées et montées. |
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Robert a écrit :Ton dico marin ne doit pas être fameux. Capeler, c'est enfiler par la tête. Sur les bittes d'amarrage, on passe deux demi-clés à capeler. Du moins avec une amarre textile. Jamais avec une chaîne. Avec une chaîne, juste des tours morts. Trois tours. Une fois, sans doute fatigué par la navigation par jolie brise, j'ai fait, et soigneusement encore, deux demi-clés avec la chaîne du corps mort. Qu'est-ce que je me suis fait engueuler par l'équipage suivant ! Ils avaient souffert à décoincer mes deux demi-clés en chaîne. |
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Gros malins ! Je voudrais bien vous y voir, avec 30 ° à l'intérieur, et 38° sur le balcon… |
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