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Tous les messages créés par anonymous

Ah! ca doit se porter torse nu?
Modifié il y a 13 ans
Et sur le porteur :
Les noeuds peuvent rester à demeure, on décapelle et recapelle facilement, le couvre-sac assure le maintien.Comparé aux chasubles précédemment élaborées, l'ergonomie est très améliorée.En revanche rien cette fois n'a été fait pour la protection des jumelles ou de l'appareil photo ; on ne protège que les épaules.
Modifié il y a 13 ans
Salut Jacques, peux tu nous mettre une ou deux photos de ton couvre-sac + camail, une fois porté pour que l'on se rende compte de ce que ca donne
Modifié il y a 13 ans
Le second camail est achevé ( sauf les siliconages, qui sont renvoyés à un jour moins chaud) et cette fois il est cousu sur un couvre-sac grand format.
 
Face avant, lacets noués :

 
Profil, lacets noués :
 

 
Et le voici par l'intérieur, montrant les coutures des lacets en paracord :

On comparera le progrès depuis le premier camail, dont la fermeture avant était plus tourmentée :

Dans le premier camail, la profondeur entre le haut de la jonction avec le couvre-sac, et l'avant du capuchon, était un peu courte. Cette profondeur pourrait être excessive sur le second camail.
Modifié il y a 13 ans
Régis Cahn a écrit :
Jacques a écrit :
 Dans tous les cas, ce que la majorité des vendeurs oublie, est que la faiblesse au long cours de toutes les solutions très chères, très marketinges, c'est la jonction entre le sac à dos et le porteur du sac.
Totalement d'accord mais ça s'arrange.
De toute façon, il n'y a pas de mystère, tu peux passer une journée sous la pluie avec une membrane 3 couches tu seras mouillé. La pluie passe par le cou, les manches… La condensation t'humidifie aussi. Le meilleur système c'est encore le poncho !
Début de réalisation, pourtant annoncée depuis environ un an.
Le randonneur est intéressé surtout sous des bruines de temps chaud ou doux, où la pluie n'est pas plaquée sur le vêtement avec violence, et où l'aération des muscles en plein effort est demandée. Le randonneur à skis peut avoir les mêmes besoins sous une neige mouillée, qui se révèle péniblement pénétrante dans le matériel, là derrière.
Plusieurs photos de randonneurs dans des circonstances où il pleut montrent qu'ils avaient adopté un couvre-sac de chez D4, pour abriter leurs sacs à dos, pas ultra-léger, mais pas trop cher. Ceux-ci ont même été soldés par la filiale K**dz*, et ça devenait des affaires à saisir, puis à tester. Deux versions ; 55 à 80 litres, 30 à 50 litres.
Une face est enduite d'un jaune fort visible, l'autre face côté textile est d'un vert raisonnablement discret.
La mission consistait à concevoir, couper et coudre la partie à ajouter, un camail qui protège les épaules et la tête du porteur, donc la jonction dorsale et les bretelles. La conception en 3 D était peu évidente, et voici la première réalisation sur un couvre-sac moyen format (on voit que pour pouvoir fermer devant les clavicules, j'ai recousu et réemployé les chutes que je n'aurais pas dû chuter !) :

Ce choix de tissu n'a jamais été optimisé, c'est juste que comme je tâtonne complètement pour ce genre de pièce, je prends du tissu qui n'a plus rien à perdre, en largeur de 110 cm. Son enduction trop âgée partira à la première pluie d'orage, mais je vais pré-corriger à l'enduction silicone.
Après cette expérience, voici la nouvelle coupe :
 

Le poids de ce tissu à ajouter est de 90 g.
Il est clair que quand la coupe sera maîtrisée, cela vaudra le coup de choisir un tissu plus fin et léger.
A suivre.
Modifié il y a 13 ans
En parlant des couches, je m'étais fiée au livre de Marc BREUIL,qui conseillait une veste coupe vent large pour pouvoir l'enfiler sur la doudoune, et je l'ai regretté : lorsque la tempête est là, et qu'on s'arrête le soir le temps de quitter la veste coupe vent pour mettre la veste chaude, puis remettre le coupe vent dessus, on a vite fait de resssentir un froid intense qui perturbe le début de la mise en place du camp . Depuis , j'ai changé , et récupéré une veste synthétique beaucoup plus large, à capuche bien sûr, ainsi qu'un sac à vent mieux dimensionné ,qui peut faire sac à WC aussi. smile
Je serais intéressé, et sans doute d'autres aussi, par la description de ton équipement corrigé.
Modifié il y a 13 ans
Se présenter ?
Mais je randonne si peu à skis, par les temps qui courent…
Deux cancers, deux embolies, et une compagne qui ne veut plus jamais skier (mais elle accepte encore les raquettes)…
Moralement, voilà :  http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php?topic=3.0
Les comptes-rendus de mes plus grandes expéditions pédestres sont à
Norvège 1968 et
Norvège 1969
Et à ski ? C'est dispersé dans Opéré de la Gette
Non, je n'ai rien fait pour séparer les dits comptes-rendus. Pas encore.
Le dernier raid, fort modeste, fut en Margeride en mars 1973.
Une photo a pu être sauvée.

 
Depuis ce temps lointain, la peau de mon ventre s'est un peu éloignée des rognons, hélas.
La tignasse au contraire a moins de présence…Tandis que depuis ce temps là, les appareils photo à prix abordable par un couple aux moyens réduits, se sont grandement améliorés.
Les peaux Trima et les skis Majalp sont encore là, ils ont servi encore en station en mars 1999. Les fix Silvretta ont souffert.
 
Des projets, oh si, il en reste, un peu.
Par exemple sortir mon kayak dès qu'il fera un peu moins torride. Son montage est assez long, et même à l'ombre…
 
Sinon je prends des photos, ce héron juvénile par exemple :

 
Ou en montagne ce lys martagon :

Modifié il y a 13 ans
Nicolas Masson a écrit :
Un recours en Conseil d'Etat a également été envisagé puisque l'enquête publique a été bafouée par le vote de l'Assemblée. Mais il y a peu de chance pour que cette action soit efficace, comme nous l'a confirmé M. Repentin. Merci quand même à ceux qui se sont déplacés pour inscrire ou exprimer leurs positions dans les registres d'enquêtes ou auprès du Commissaire enquêteur.
A lire, la brève de Cipra France publiée dans la dernière édition d'alpMedia : « Loi Grenelle II : un rendez-vous manqué pour les Alpes du Nord françaises » : http://www.cipra.org/fr/alpmedia/nouveautes/3979
C'était bien la peine de faire une enquete publique
Dommage encore une fois, car une réelle réflexion sur la sur-urbanisation de nos montagnes était vraiment justifier et indispensable
Merci pour le glossaire nicolas
Modifié il y a 13 ans
jda a écrit :Merci à Cyril pour son excellent commentaire,
personellement j'utilise un duvet américain le Puma de Western Montaineering. j'en suis vraiment très satifait,campé jusqu'à -30 sans frisson.le modèle bison est prévu jusqu'à -40 degrés celsius
Merci, et c'est vrai que Western Montaineering est avec Marmot, une des belles marques de duvet américaines… Peux tu nous mettre quelques photos de ton sac, photo du gonflant et des détails? et surtout nous en faire un p'tit déscripitif: poids (mesuré par tes soins si possible!), volume rangé dans sa housse,cu.in américain ou européen, poids du remplissage en duvet, prix… et ce que tu en penses en général… ca serait sympa, car il existe peu de retours sur cette marque!
Modifié il y a 13 ans
Un mot à ajouter sur la première couche, à même la peau :
Je suis très favorablement surpris par les maillots sportifs en 50% coton, 50 % polyamide.
Ça ne prend pas d'odeur, ça sèche vite comparé à du coton pur, c'est fort robuste, pratiquement increvable, ça n'irrite nulle part.
Alors que j'ai été cruellement déçu par l'odeur prise par des sous-vêtements en polyester technique vendus par D4 dix fois plus cher. Sans parler de l'irritation par les étiquettes raides et gigantesques.
Ceux-là, je les ai eus à plus ou moins 1 euro pièce, en surplus. Les inconvénients réels sont la couleur peu discrète : ils sont obligatoirement bleu ciel dans cette livraison. Ils ont obligatoirement un écusson imprimé avec aigle noir et l'inscription "Bundeswehr", parfois barrée d'un A noir.
Autre avantage de cette livraison : le tissage (ou maillage ?) est à texture aérée. L'usage est donc très large, toujours à la couleur et à l'écusson militaire près.
Dernièrement 4 jours en forêt de Tronçais : ce sous-vêtement, plus un maillot mince et aéré en polyester, qui cachait entièrement le bleu ciel. Durant plusieurs heures de la journée, c'était juste ça qui convenait à la température.
 
La question reste posée : où trouver l'équivalent en qualité (mi-coton, mi-polyamide, maillage texturé à trous), mais sans le marquage militaire ? Car là je dois constater que les concepteurs ont mis dans le mille.
Marquage d'origine : Sporett V 0200.
 
Au temps pour moi : au moins deux fournisseurs. Voici le second : Wundsch & Rudolph.

Modifié il y a 13 ans