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Dernières conditions (29/05/10)de la Combe de la Neuva vu sur C2C
Et topo + photos: ICI
Modifié il y a 13 ans
Belle idée de sortie en Ski de Randonnée Nordique: la Combe de la Neuva en partant du Cormet de Roselend (route entre Beaufort et Boug St Maurice).
En faite le mieux est de se garer un peu en dessous du Cormet de Roselend, au Chalet du Chapieux Derrière (env.1850m).
De la remonter la combe de la Neuva, jusqu'au point 2442m (lac sur la carte). Devant se ressaut rocher choisir de monter à sa gauche par la col du Petit Fond 2622m, col que l'on voit qu'au dernier moment, car il est cacher derrière se ressaut…
Le Col du Grand Fond est plus raide… donc moins adapté au SRN.
(pour info du Col du Petit Fond 2622m, la descente sur le refuge de Presset est très simple et peu pentu…smile
Du Col du Petit Fond, retour à la voiture par le meme itinéraire.
(Sur les photos on voit se fameux ressaut rocher, ou il faut le contourner par la pente de gauche, pour atteindre le Col du Petit Fond caché derrière…smile
Modifié il y a 13 ans
Déjà très belle réalisation, le montage et les images sont très beaux et de qualité :-)
Et puis c'est vrai que c'est plus facile de monter tracté par une voile :-D ;-) .
Ca a l'air vraiment sympa S^i
Modifié il y a 13 ans
Mountain wilderness apporte un "soutien moral" à la jeune équipe de savoyards qui nous a contacté avant son départ pour la Laponie. Puisque ces 10 jours de raid à ski devaient peser le moins possible sur l'environnement, ils ont tout simplement pris le train. Fanny Cathala nous explique comment ce qui pouvait paraitre comme une contrainte fut un véritable plaisir.
Interview et article: ICI
Compte rendu: ICI pdf
Modifié il y a 13 ans
Et la sorte de yodl lancé par le vieux Lars à destination de ses rennes, rappelle assez les briolages de nos laboureurs d'antan : chants de labour semi-parlés, destinés aux oreilles des boeufs.

Les études génétiques attribueraient une lointaine parenté de peuplement aux Sami, aux Basques, aux populations les plus occidentales de Bretagne, Pays de Galles, Irlande, Ecosse. Refoulés là, semble-t-il par des envahisseurs aux langues indo-européennes, celtes notamment. Les sources que j'ai trouvées sont toutefois bien imprécises. Visiblement ce domaine d'études est difficile. Toujours selon ces sources, ces premiers peuplements anté-indo-européens, seraient ceux des civilisations mégalithiques. Rappelons que les Magdaléniens de Dordogne dont nous admirons les peintures pariétales, étaient des hommes du renne, comme les Sami résiduels.
Modifié il y a 13 ans
Bilan du secours en montagne de l'hiver 2009/2010
ISERE
Un hiver marqué par les avalanches

Le bilan cet hiver est sensiblement identique à celui de l’hiver dernier, le ski de piste et de randonnée étant toujours les activités les plus meurtrières.

Conformément au plan de secours en montagne du département de l'Isère, le Peloton de Gendarmerie de Haute Montagne (PGHM) et la CRS Alpes réalisent leur mission de secours en alternance, appuyés par les moyens aériens de la Sécurité et les moyens médicaux du SAMU 38.

Si on analyse le bilan de la saison, il ne diffère pas vraiment de celui des années précédentes. On notera un début d'année relativement calme avec très peu d'interventions, principalement du aux mauvaises conditions météorologiques. Curieusement, les semaines les plus sensibles, à savoir les vacances de février, n'ont pas été les plus chargées, au profit des semaines de mars plus ensoleillées.

Reste une curiosité, le lundi de Pâques, avec des départs simultanés de coulées d'envergure qui ont amené à faire travailler conjointement tous les services du département.

Du 1er janvier au 19 avril 2010,
Nombre d'interventions: 243
En caravanes terrestres ( par mauvais temps ou de nuit): 12
En caravanes mixtes (terrestres + hélicoptère): 10
En caravanes héliportées: 221

Répartition des victimes :
Décédés: 13
Disparu: 1
Blessés: 183
Indemnes: 56

Il y a eu 17 avalanches jusqu'au 19 avril 2010.

A noter, l'épisode exceptionnel et rarissime du lundi de Pâques où 7 avalanches se sont déclenchées en moins de 3 heures impliquant au total 11 personnes dont 2 malheureusement ont succombé à leurs blessures. Les causes d'une telle journée « avalanche » sont principalement dues à la combinaison de deux phénomènes : un risque chiffré « 3 » dit « MARQUE » mettant en avant un fort vent en fin de nuit et début de matinée sur l'ensemble du département et une très forte fréquentation due à un jour férié ensoleillé qui fait suite à une longue période de mauvais temps.

Si l'on compare l'année 2009 à l'année 2010, le nombre d'interventions des unités de secours en montagne est relativement identique : 230 interventions en 2009 contre 243 interventions en 2010.

D'une manière générale, l'hiver 2009/2010 s'est caractérisé par une météorologie capricieuse qui n'a pas permis aux jours de beau temps de s'enchaîner. La neige a été abondante mais sans excès. Le vent et le froid persistants ont provoqué des conditions assez délicates.

Les accidents sur pistes représentent toujours la majorité des accidents, la randonnée et l'alpinisme se pratiquant généralement par beau temps.

Analyse des accidents mortels (données cumulées PGHM et CRS au 19 avril 2010)

Sur la même période, l'analyse des accidents mortels permet de dégager les mêmes tendances que celles exposées à l'occasion du Comité Départemental de Prévention des Accidents en Montagne de l'été 2009 qui s'était tenu aux Deux Alpes en juin 2009.

Ainsi, les activités concernées sont le ski de randonnée (6 décès), le ski de piste (5 décès dont 3 arrêts cardio-respiratoires - ACR et 2 collisions), le ski hors piste (1 décès suite à une collision avec un arbre) et la randonnée en raquette (1 décès suite à un ACR).

Avant de focaliser sur l'activité de ski de randonnée, il semble donc fondamental de rappeler que le ski alpin est d'une part, une activité physique et qu'à ce titre, une excellente condition physique est de rigueur pour écarter le risque cardiaque, et d'autre part, un sport à risque nécessitant un comportement raisonné pour soi et pour autrui.

Focus sur le ski de randonnée

Les 6 accidents mortels en ski de randonnée font suite à des avalanches (4 avalanches accidentelles provoquées par les victimes elles-mêmes et 2 avalanches naturelles dites de « fond »).

*
5 sur 6 de ces avalanches se situent à moins de 2000 m d'altitude.
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4 sur 6 sont provoquées lors de la montée des skieurs.
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4 sur 6 sorties se déroulaient en groupe. 2 victimes évoluaient donc seules.
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Tous étaient des pratiquants réguliers.
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5 sur 6 étaient des hommes.
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4 sur 6 avaient plus de 45 ans.
*
Tous étaient de la région dont 4 d'entre eux de l'Isère.

Ces données permettent une nouvelle fois de briser la représentation du touriste inconscient. Nos victimes sont nos proches, nos camarades ou encore nos collègues de travail isérois. Ceux-ci aiment passionnément la montagne ; ils la pratiquent depuis de très nombreuses années sans accident. L'effort physique est leur « drogue » pour s'évader de la pression quotidienne. L'addition de cette passion et de ce besoin fait qu'ils n'ont peut-être plus conscience de prendre des risques dans des courses souvent abordables. Nombreux témoignages de proches nous font état d'un mari prudent, d'un frère réfléchi ou encore d'un jeune adulte raisonnable.

Attention, la beauté de la montagne attire en cachant ses pièges. Le plus dangereux est de les oublier. Pour que la montagne reste un plaisir.

Paru le 20/05/2010
Contact : PGHM/CRS ALPES
La Lettre des Services de l'Etat en Isère
Modifié il y a 13 ans
J'ai mis longtemps à localiser ce Muddus qui ne figure pas sur ma vieille carte automobile.
A l'Ouest de la ville de Gällivare et de la ligne de chemin de fer qui relie Gällivare à Kiruna, à l'Est du Kebnekaïse et de la Kungsleden, au Nord du lac Stora Lullevatten, au Sud de la Kalixälven et de ses lacs qui n'ont pas de nom sur ma carte.

Il m'a bien semblé que le vieux sami est suédophone, ou au moins parlait là en suédois. Les langues Sami sont en grande difficulté.
Modifié il y a 13 ans
Le secours en montagne divise pompiers et gendarmes

Le torchon brûle entre les pompiers et les gendarmes sur le secours en montagne, les soldats du feu exprimant ouvertement leur ras-le-bol d'être "ravalés au rang de simples supplétifs des secours" par les gendarmes spécialisés, dans leur mensuel Le sapeur-pompier magazine.

"Les dysfonctionnements (avec la gendarmerie, ndlr) se multiplient avec des conséquences dramatiques", écrit dans l'éditorial du magazine daté de mai le colonel Jacques Perrin, citant "le décès en février, d'une randonneuse dans les Vosges".

Sans l'affirmer nettement, l'officier laisse entendre que la mort de cette randonneuse le 14 février aurait pu être évitée si les pompiers avaient été mobilisés.

Dans le même magazine, envoyé à toutes les casernes de France, le patron des pompiers de Haute-Savoie le lieutenant-colonel Guy Morand, "observe que les gendarmes du peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de Chamonix diffusent un numéro d'appel des secours à 10 chiffres, dans des endroits comme des refuges, certaines stations de sport d'hiver, ou sur des panneaux de randonnées". Selon lui, ce numéro court-circuite les 15, 17, 18, 112, et ces numéros à 10 chiffres "ne sont pas conforme à la réglementation et à la loi de Sécurité civile d'août 2004".

Les pompiers des départements de montagne sont "lassés d'être confrontés à des comportements hégémoniques et méprisants", renchérit le président de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France, le colonel Richard Vignon qui réclame "une initiative forte du ministre de l'Intérieur".

Interrogés par l'AFP, les gendarmes de montagne et le ministère de l'Intérieur n'ont pas souhaité répondre.

Auteur d'un ouvrage juridique de référence sur le secours en montagne, le préfet Marcel Pérès affirme : "Le secours en montagne est une magnifique vitrine que les différents services se disputent, et qui a été attribué aux gendarmes et au CRS de montagne pour des raisons historiques".

Cette attribution remonte à Noël 1956 avec la mort de Jean Vincendon et François Henry, deux jeunes alpinistes qui avaient tenté l'ascension du Mont-Blanc par la Brenva en plein hiver. Ils étaient restés bloqués à 4.000 m d'altitude et leurs agonies avaient été suivie en direct à la jumelle pendant 10 jours par les habitants de Chamonix (Haute-Savoie).

Deux ans après naissait le PGHM de Chamonix, suivis d'autres PGHM et des CRS de montagne.

Selon M. Pérès, il y a déjà eu des frictions entre gendarmes de montagne et pompiers, notamment lors de l'avalanche meurtrière (12 décès) du hameau de Montroc à Chamonix, le 9 février 1999. Les pompiers avaient estimé qu'ils auraient pu évacuer les habitants du hameau, mais les gendarmes du PGHM avaient répondu que le risque d'avalanche sur la route en cas d'évacuation était plus fort que dans les chalets. Les tensions augmentent actuellement, reconnaît le préfet sans vouloir s'immiscer dans ce débat.

Le colonel Perrin concède "le PGHM est un corps d'élite, nous ne contestons pas, mais nous aussi avons des compétences en montagne, nous avons des guides de montagne qui sont pompiers".

"Pour la gendarmerie, dont l'image est lié à la répression, le secours en montagne redore leur blason, mais nous aussi, au moment où nous voulons redynamiser le volontariat, nous souhaitons mettre en valeur notre savoir et il faut que le gouvernement reconnaisse que tous les acteurs du secours sont complémentaires", ajoute le colonel Perrin.

De Jacques GUILLON (AFP)le 20/05/10
Article AFP
Modifié il y a 13 ans
Une veste ''Softshell'' est la veste qu'on utilise le plus souvent, car elle est vraiment coupe vent et suffisamment réspirante… je conseille d'ailleurs de la prendre avec une capuche bien protectrice, car elle permettra de sortir la ''GoreTex'' quand dernier recours!
La softshell n'est pas imperméable m'est déperlante, déperlance qu'il faut d'ailleurs raviver de temps en temps…
Elle résiste doc à une petite pluie, mais pas à un orage!
Par son effet coupe vent elle est assez chaude, penses à regarder qu'elle soit équipée d'aération sous les bras!
En faite en pratique ont se rend compte qu'on sort pratiquement plus la ''GoreTex'', à remplacer donc en fond de sac par une veste en membrane imper/réspi très légère type MP+ et E-Vent…, une veste de 300-400g suffit souvent amplement comme protection, la membrane type GoreTex 3couches apporte seulement plus de résistance à l'usure…
Modifié il y a 13 ans
Nicolas Masson a écrit:
Je réponds ici, mais c'est valable pour les deux :
Quand on copie du texte il est de bon ton de citer sa source et de le faire apparaître d'un manière ou d'une autre (gras, italique, balises
Sur mon post c'est marqué: ARTE +7 :-x ;-)(et en première ligne en plus!) , j'y suis pour rien moi si Mr Régis est pas sérieux, sérieux :-D :-? :-D ;-)
Et puis sur le lien de Régis y'a que la deuxième partie, bref on rate le début :-? :oops: . Voilà ce que c'est que de vouloir poster plus vite que moi :-D ;-)
Modifié il y a 13 ans