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Ils faut surtout en cas de passage ''douteux'', laisser de la distance entre chaque skieur. Le but étant qu'en cas de coulée, un seul soit pris dedans. Comme cela les autres sont opérationnels pour porter secours… Alors que si tout le monde est dessous :-( :-( :oops:
Modifié il y a 13 ans
Robert a écrit:
Merci Cyrille de m'avoir fait découvrir ce
lien : je commence a mieux cerner les raisons pour
lesquelles j'ai abandonné la rando alpine ..
Ca veut dire quoi " envoyer du gros " , c'est une
nouvelle technique ? On envoie le plus gros de
la bande en premier dans la descente pour voir
si il y a des plaques qui risquent de partir ?
:-D :-D j'aime bien l'idée :-D :-D pour etre honnête j'ai pas lu les 5 ou 6 pages de C2C, c'était plutot un lien à potasser pour Christian :oops: :oops: ;-) .
C'est vrai aussi que l'intérêt du SRN c'est justement son talon toujours libre. Donc pas de manipulations (pénibles) montée/descente que se soit sur la fixation ou la chaussure o^k S^i
Mais je comprend bien la problématique de Christian et je trouve de toute facon super cette effervescence autour du bricolage du matériel de ski de randonnée nordique, ''bricolage'' qui fait toujours évoluer un sport, et c'est souvent de là que naissent les meilleures idées ^^ :roll:
Modifié il y a 13 ans
Salut Christian, sur ce lien chaussure Dynafit en 3D tu peux faire un zoom sur l'arrière de talon et voir à quoi ressemble la plaque Low Tech. C'est une simple plaque métallique visée et souvent collée en plus, pour que les deux ergos de la fix dont tu nous parle viennent en appuis dedans…
Et sur ce post Ajouter des insets Low Tech, tu trouveras peu etre quelques explications, meme si ca parle surtout des inserts avant sur les chaussures, pour l'arrière c'est beaucoup, beaucoup plus facile!!!
Les plaques arrières Low Tech, tu peux les avoirs dans n'importe quel magasin qui vent des skis de rando, ils en ont toujours en stock, car parfois elles se dévissent des chaussures!
Bon bricolage…
Modifié il y a 13 ans
Jacques a écrit:
Le secret des nuages (Emission Arte) :

http://www.dailymotion.com/video/xcteyl_1-5-le-secret-des-nuages_news
http://www.dailymotion.com/video/xctetz_2-5-le-secret-des-nuages_news
http://www.dailymotion.com/video/xctepg_3-5-le-secret-des-nuages_news
http://www.dailymotion.com/video/xctele_4-5-le-secret-des-nuages_news
http://www.dailymotion.com/video/xctehq_5-5-le-secret-des-nuages_news

Henrik Svensmark, Soleil et variations du rayonnement cosmique, selon l'activité magnétique du Soleil, selon notre position dans les bras galactiques, voilà qui détermine la couverture nuageuse basse, celle qui refroidit.
Il leur a fallu seize mois pour être publiés, tant l'opposition politique était forte.

Réponse à une question précédente, en février : la couverture nuageuse est de l'ordre de 60 à 70 %, actuellement.
Svensmark et son équipe ont refait l'expérience de la chambre à brouillard, façon Wilson. D'où il résulte que les rayons cosmiques peuvent faire la différence entre air sursaturé, et air condensant, à valeur en eau égale.

On sait que ce phénomène joue un rôle dans les cirrus de bonne altitude, la preuve par les cirrus de bouts d'ailes des avions.

Mais c'est la nébulosité de basse altitude qui fait le plus gros de l'albedo atmosphérique. Et là, il reste à prouver la fréquence de la sursaturation. En l'état actuel de mes connaissances, les cumulus humilis en provenance de la mer se forment régulièrement. Un aérosol qui ne manquerait pas pour fournir des germes de condensation, est le sel des embruns. La preuve de la rareté des germes à basse altitude me semble manquante. Si quelqu'un a de meilleures références, je prends.

Bref, l'exposé est défaillant sur la circulation générale de l'atmosphère, et les variables sur le cycle de l'eau.

Pourtant quelque part ces connaissances existent. On nous a déjà exposé que la dernière déglaciation aurait entraîné une profondeur et une ampleur de la Mousson telles que les plaines du Tigre et de l'Euphrate auraient été inondées. D'où une des deux explications principales du souvenir transformé en mythe, le Déluge.

L'autre source proposée est le retour de l'eau de mer sur l'actuelle Mer Noire, par le Bosphore. Epoque comparable dans la déglaciation.
Modifié il y a 13 ans
christian8 a écrit:
j'ai trouvé ca et je me demande si ca ne pourrai pas faire l'affaire
http://www.fixation-plum.com/detail-article-fixations.php?idproduit=6
c'est du leger mais est ce que ca va s'adapter sur les chaussures de rando nordique(norme 75)

Salut Christian, en faite la fixation que tu montres est une Low Tech (Dynafit), mais comme le brevet est tombé, chaque fabricants y va va de sa petite production :roll:
Donc le problème c'est que si tu veux pouvoir bloquer le talon à la descente avec cette fix, il te faudra des chaussures avec inserts Low Tech (au moins à l'arrière des chaussures). Et ce type d'insert ce trouve aujourd'hui que sur les chaussures de ski de rando alpin, et à ma connaissance aucunes chaussures avec la norme 75mm n'a ce type d'insert à l'arrière :-? :oops: .
Par contre question sécurité, il doit pas y avoir de problème, car tu as quand meme un seuil de déclenchement, donc pas de risques…
Modifié il y a 13 ans
Le secret des nuages (Emission Arte) :

http://www.dailymotion.com/video/xcteyl_1-5-le-secret-des-nuages_news
http://www.dailymotion.com/video/xctetz_2-5-le-secret-des-nuages_news
http://www.dailymotion.com/video/xctepg_3-5-le-secret-des-nuages_news
http://www.dailymotion.com/video/xctele_4-5-le-secret-des-nuages_news
http://www.dailymotion.com/video/xctehq_5-5-le-secret-des-nuages_news

Henrik Svensmark, Soleil et variations du rayonnement cosmique, selon l'activité magnétique du Soleil, selon notre position dans les bras galactiques, voilà qui détermine la couverture nuageuse basse, celle qui refroidit.
Il leur a fallu seize mois pour être publiés, tant l'opposition politique était forte.

Réponse à une question précédente, en février : la couverture nuageuse est de l'ordre de 60 à 70 %, actuellement.
Modifié il y a 13 ans
Salut lesca, bienvenue sur skirandonnenordique.com, et en faite c'est avec plaisir qu'on aimerait te revoir sur le site pour parler de SRN, et échanger sur le Sancy et le ski ^^
Pour la restriction, j'ai du mal à comprendre la différence de statut entre la raquette et le ski de randonnée nordique, c'est à quelque chose près les même terrains et les même lieux :roll: . C'est à dire du hors piste en foret et montagne… donc je vois pas pourquoi un serait interdit et l'autre autorisé :-? :oops: :roll:
Modifié il y a 13 ans
Article du Nouvel Observateur du 01/04/10:
Patagonia est une icône. Avec sa société californienne d'équipements de sport, Yvon Chouinard a su construire une marque mondiale synonyme d'éthique et de respect de l'environnement.

On a patienté. Des mois. On a plaidé, cajolé, supplié… Et puis le jour J est arrivé. Sous un beau soleil de Californie, on s'est garé sur le parking de la société à côté de 4x4 gloutons (personne n'est parfait). On avait rendez-vous avec un mythe : un alpiniste devenu l'un des entrepreneurs les plus admirés de tout le pays. On s'attendait à tomber sur une diva. On s'est trompé sur toute la ligne : Yvon Chouinard est un petit bonhomme au visage rond sans prétention. Il vous tend une main franche, se fend d'un sourire précis et s'assied à une table posée là, au beau milieu de la pièce, pour vous parler. Ou vous écouter. En un coup d'oeil, il vous a jaugé.
Patagonia. Un seul mot et la machine à rêves s'emballe : les montagnes, les immenses prairies d'Argentine et du Chili. La nature inviolée… Dans un plan marketing idéal, un cadre génial aurait trouvé ce nom pour une entreprise de fringues au parfum écolo. Mais il s'agit d'Yvon Chouinard et Patagonia ne doit rien au marketing.
Ce fils de Québécois, débarqué en Californie à l'âge de 7 ans, est devenu un alpiniste chevronné grâce à sa passion pour l'observation des faucons. Ce pionnier des à-pics de Yosemite et spécialiste de l'escalade sur glace était tout sauf un entrepreneur… Sauf qu'à 18 ans il emprunte 825 dollars à son maréchal-ferrant de père et achète du matériel de forge, histoire de fabriquer des pitons plus solides qu'il vend ici ou là aux copains et aux copains de copains pour financer sa grimpe.
Nous sommes en 1968 quand il s'embarque pour un voyage de six mois de Ventura, au nord de Los Angeles, jusqu'à la pointe sud de l'Amérique latine. Chouinard Equipment n'est alors qu'une petite boîte de matériel d'alpinisme. Pas grand-chose, vraiment. Mais ce voyage le marquera pour la vie. Parti aventurier, il revient écolo. Yvon surfe tout le long de la côte pacifique jusqu'à Lima, descend à ski des volcans au Chili, escalade le mont Fitz-Roy en Patagonie. Il n'oubliera ni le nom ni l'endroit. Deux ans plus tard, il rapporte d'une expédition en Ecosse des polos de rubgy bariolés et costauds, parfaits pour l'alpinisme. Ses amis se les arrachent, le malin Chouinard prend bonne note. En 1973, il fonde Patagonia…

Une entreprise verte modèle
Trente-sept ans ont passé. Aux Etats-Unis, Patagonia est devenue une marque presque aussi connue que Coca-Cola, mais avec une éthique aux antipodes. Des vêtements outdoor bien coupés, aux couleurs vives, d'excellente qualité. Plus chers que la moyenne, mais aussi plus durables… Mis à part un flirt avec la faillite en 1991-1992, quand la Mafia propose à Chouinard de le dépanner («Ils voulaient me prêter à 28% d'intérêt, j'ai dit non. Quand on y pense, c'est ce que chargent aujourd'hui les cartes de crédit !»), Patagonia est une success story sans faille : 240 millions d'euros de chiffre d'affaires, une cinquantaine de magasins en nom propre, 1250 salariés qui en font rêver des dizaines de milliers d'autres (plus de 900 candidats pour un job), et surtout une réputation écologique modèle. Car si Patagonia a évolué, Chouinard, lui, est resté fidèle à ses convictions. Très pessimiste sur l'état de la planète (voir encadré), il a depuis le début décidé de faire de Patagonia une entreprise verte modèle. Une slow company.
Dès 1993, la marque lance sa fameuse ligne de vêtements en Synchilla, une matière synthétique faite de bouteilles en plastique recyclées. Depuis, près de 100 millions de bouteilles ont fini en pulls polaires. En 1994, horrifié par l'impact environnemental de la culture du coton, Chouinard est le premier à lancer les vêtements en coton bio à grande échelle, quitte à sacrifier au passage une partie de son chiffre d'affaires. «J'ai dû me porter cogarant d'emprunts pour les agriculteurs, trouver des fournisseurs capables de filer le coton, raconte-t-il. Personne ne voulait se prendre la tête avec ça !»
Pionnier du business vert, Patagonia semble toujours avoir un coup d'avance. Pendant qu'elle conseille le géant Wal-Mart sur sa stratégie pour « verdir », elle pousse toujours plus loin sa philosophie. Chez Patagonia, vous n'entendrez pas souvent parler de client roi, mais plutôt d'acheteurs qu'il faut « éduquer». «Nous tâchons, dit le PDG, de guider les gens en leur disant : «Essayez de ne pas acheter nos produits, à moins d'en avoir vraiment besoin. Et si vous achetez quelque chose qui casse ou se déchire, nous le réparerons. Si vous vous lassez du produit, ou de la couleur, ne le jetez pas, si vous ne savez qu'en faire, nous vous aiderons à trouver un nouveau propriétaire. Et si le produit est vraiment en fin de course, redonnez-le-nous Si c'est du polyester, nous le recyclerons pour fabriquer d'autres vêtements ; si c'est du coton, de la laine ou du chanvre, nous le réutiliserons.» »
Chouinard le frugal qui achète ses jeans à 8 dollars chez Wal-Mart n'a pas tout inventé. Esprit, la marque fondée par son vieux complice Doug Tompkins, avait lancé en 1990 la campagne « N'achetez que ce dont vous avez besoin ». Mais personne n'est allé aussi loin, en pratique, dans cette voie. Et peu de patrons ont autant contribué à la cause de l'environnement : Chouinard a cofondé en 2001 le mouvement 1% pour la Planète, qui regroupe 1242 entreprises s'engageant à verser aux causes environnementales 1 % de leur chiffre d'affaires.

Une marque très mode
Le paradoxe est que l'aura écolo de Patagonia en a fait une marque très mode dans les beaux quartiers : les golden boys, que Chouinard abhorre, se précipitent dans ses magasins, que certains ont ironiquement rebaptisés « Patagucci » ou « Pradagonia ». Le PDG reconnaît la contradiction, mais se défend d'être un hypocrite : ««Vogue» m'appelle, ils me disent : «Oh, my God ! vous ne le croirez pas : Naomi, Kate… elles portent toutes votre gilet noir en duvet. Quel est votre secret ?» Je n'en ai aucune idée ! On ne donne pas nos produits aux mannequins, on dépense seulement 0,5% de notre chiffre d'affaires en pub… et sûrement pas dans «Vogue» !» Il se marre, ravi de son coup. Chouinard, en fait, est resté un artisan qui se fout du «niveau de prix souhaitable» mais reste obsédé par la qualité. Il a le chic pour regarder n'importe quel produit et trouver le moyen de l'améliorer. Il n'aime pas gérer les hommes - il passe des mois à barouder dans le monde, loin du siège de Ventura -, mais cela ne l'empêche pas d'être exigeant. Il déteste les excuses bidon des paresseux.
Tout succès d'entreprise repose, in fine, sur une originalité. C'est ce qui fait la force de cet homme pour qui l'aventure ne commence que lorsque les emmerdes apparaissent. Il veut que Patagonia reste en « yarak », un terme de fauconnerie qui décrit le poids idéal d'un oiseau : assez élevé pour qu'il ne meure pas, mais suffisamment léger pour rester alerte. Affamé sans être affaibli. Il veut avant tout que son entreprise reste imaginative, créative. «Les sociétés cotées, esclaves de leurs actionnaires, sont extraordinairement conservatrices », dit-il. Lui n'a pas ce souci-là. Il fait ce qu'il veut, quand il veut, comme il veut. Sur les cimes de Patagonia, à 71 ans, Yvon Chouinard respire à pleins poumons. C'est beau, la liberté.

Philippe Boulet-Gercourt
Parlez-vous le Chouinard ?

Capitaliste iconoclaste. « Certains aspects du capitalisme sont bons. Le mal, ce sont les sociétés cotées en Bourse : parce qu'elles ont vendu leurs actions à un prix insensé, elles sont forcées de croître, croître, croître. Si je vendais Patagonia demain dans une transaction privée, je pourrais en tirer peut-être 8, voire 1 0 fois le montant des bénéfices. Mais si j'introduisais Patagonia en Bourse, je pourrais la vendre 40 fois ses bénéfices ! Les boursiers regarderaient ma société et diraient : «Oh, mais cette boîte est très sous-évaluée, nous pouvons la développer exponentiellement !» Mais vous savez quoi ? Mon entreprise ne vaut pas 40 fois ses bénéfices. Ou alors il faudrait qu'elle croisse de 15 % à 20 % par an, et qu'au passage elle perde son âme.»

Libertaire. « Les gouvernements sont incapables de résoudre nos problèmes : voyez le désastre absolu qu'a été Copenhague. Je préfère cette idée américaine qu'est la philanthropie : ma femme et moi donnons près de la moitié de notre salaire aux ONG. Tout ce qui s'est fait de bon en Amérique est parti de la société civile. C'est comme cela que nous accomplissons des choses. »

Pessimiste optimiste. « Nous sommes en train de détruire la planète : toutes les indications vont dans ce sens. Mais pourquoi me jeter par la fenêtre ? Nous savons tous que nous allons mourir mais nous ne nous suicidons pas. Je suis quelqu'un d'heureux : j'essaie de faire ce que je peux sans être trop optimiste ni fanatique. Cela fait des années que je n'ai pas acheté de viande, mais si quelqu'un m'invite à dîner et m'offre un steak, je le mange ! Je ne veux pas être l'emmerdeur de service. »

Manager. «Je suis un gestionnaire épouvantable. Je n'aime pas que l'on me dise ce qu'il faut faire, et je n'aime pas dire à quelqu'un ce qu'il doit faire. Je préfère être le philosophe de la compagnie. La chose la plus importante dans le management, c'est d'embaucher les bonnes personnes aux bons postes. Chez Patagonia, les salariés sont très indépendants. »

Récessions. « J'adore les récessions. Le client devient très conservateur : il n'achète plus la mode mais un produit un peu plus cher qui lui durera longtemps. Nous venons de connaître les deux meilleures années de notre histoire, c'est dingue ! »

Zen. « J'essaie de simplifier ma vie. Mais c'est si dur ! Je me sépare de ce dont je n'ai plus besoin, par exemple je suis en train de donner ce qui reste de ma bibliothèque de livres d'alpinisme. Je me prépare doucement : dans l'idéal, j'aimerais mourir avec rien. Le pire est de claquer avec 5 000 bouteilles entreposées dans votre cave. Quel gâchis ! »

Philippe Boulet-Gercourt
Fletcher le surfeur

Gone surfing. Fletcher n'est pas là, il est encore parti tester ses planches de surf. Dur métier… Le voilà qui finalement gare son van, la combinaison dégoulinante, devant le bâtiment de Fletcher Chouinard Designs. Derrière son sourire de doux rêveur, le fils Chouinard est un artisan passionné, comme son père. Son truc, ce sont les planches de surf qu'il «met en forme» : deux bonnes douzaines qu'il taille chaque semaine avec un oeil incomparable. Avec huit employés, Fletcher Chouinard Designs n'est que l'ombre de la maison mère, de l'autre côté du parking. Mais elle rend Patagonia crédible dans le petit monde du surf, qui représente déjà plus de 10 % de ses ventes avec, entre autres, des combinaisons plus chaudes, plus écolos et plus solides.
Les planches de Fletcher sont elles aussi «plus «vertes» et plus durables», dit-il. Durables ? « Vous achetez une planche. Vous l'aimez. Elle se brise. Vous pleurez !» Fletcher est plus poète que manager. «Le business, ce n'est pas trop mon truc», avoue-t-il. Caire, sa petite soeur, aurait plus la tripe entrepreneuse. Mais chut ! La succession chez Patagonia est un sujet tabou.

Lien article du NOUVEL OBSERVATEUR
Modifié il y a 13 ans
Salut Sylva, c'est toujours super intéressant de te lire sur le Québec, de connaitre l'histoire de cette région…
Je remet ton premier lien qui ne marche pas dans ton poste:
Laurentian: histoire du Grand Nord
Et Laurentian: index des articles ;-)
Modifié il y a 13 ans
Décidément J.C c'est vrai que t'es vraiment partout, mais je trouve que les vidéos que tu as mis sur ton blog, montre bien le pas du télémark. La vidéo de l'Aiguille de l'épaisseur est marrante car c'est presque avec le meme matos que celui du ski de randonnée nordique d'aujourd'hui (mais sans les écailles, quoique les faut il vraiment, et sans le cambre des skis de SRN..)
Rando à l'Aiguille de l'Epaisseur
Bon la deuxième est vraiment axé télémark de rando, mais l'état d'esprit est sympa. A voir pour les amateurs de grosses pentes!
télémark de rando

Lien vers le blog de talon libre pour les explications sur les vidéos.
Modifié il y a 13 ans