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C'est déjà bien que le SAV considère que c'est une usure anormale. Car oui c'est le cas, c'est anormal que ça s'use aussi rapidement.
Mais intérieur ski, la principale source de frottement ce sont les contacts avec l'autre ski, et extérieur ski ce sont les contacts avec petits grattons de terre, caillou… C'est normal que ça apparaisse en spatule, car elle est aux avants postes et assez large pour tout encaisser.
Après sur les skis de mon stock, je me suis peu préoccupé de leur usure, mais sans les avoir sous les yeux, je suis quasiment certain qu'ils ressemblent tous plus ou moins aux tiens. Certes l'eau peu s’infiltrer un peu, mais une ou deux petite couche de gelcoat par saison et c'est reparti pour un tour. A défaut d'avoir le ski idéal, ce souci est nettement plus simple à résoudre que ceux que j'ai avec les fischer.
Jmc63, ça m'intéresserait, de savoir ce que tu as en fix et chaussures sur les époch, et également d'avoir une précision sur le type de matériel utilisé chez fischer?
Merki

Mikael
Dans le cas précis, cela n'a rien à voir avec la résistance de la sérigraphie, non ?
Alors ce que j'entends par sérigraphie est peut être pas le terme le plus juste. Pour être clair, moi je me fou un peu du dessin sur les planches, mais j'englobe dans le terme sérigraphie, l'éventuelle couche de protection qui protège le dessin.
Mikael
En effet, c'est le résultat après une saison d'utilisation qui a mangé progressivement la partie "collée" et pas un seul coup de carres mal placé.
Si t'es bien en norme 75, tu peux savoir si c'est intérieur,  extérieur ski ou les deux, ça peut apporter des éléments de réponse (cailloux, frottement entre les deux skis), mais je ne pense pas que ce soit le frottement de la neige, ou l'effet du vent, et ça doit pas être super biodégradable.
Mikael
Je me disais, bêtement peut-être, que si Madshus n'avait pas cherché à faire des économies de carres à ce point précis du ski, le métal aurait mieux résister à la torture… tu ne crois pas ?

Mon point de vue, est que l'érosion vient du dessus, pour contaminer à la longue toute l'épaisseur jusqu'à la semelle, (intérieur?extérieur?), avec des carres sur la continuité ce serait mieux quoi qu'il en soit; mais ça n'empècherait pas la possibilité d'ouvrir des voies d'infiltrations.
Désolé pour les fautes et le manque de travail sur la mise en page pour rendre la lecture plus digeste
L'essence du SRN est entre autre à trouver dans l'absence de dichotomie entre la montée et la descente. Cependant il semble concevable que procéder à cette dichotomie peut permettre de proposer une cotation pratique et objective:
- le kilomètrage et les indications sur le dénivelé, permettent de donner un ordre d'idée sur la difficulté physique du parcours
- les problèmes inhérents à la difficulté technique en montée sont éluder par la possibilité d'utiliser les peaux.
- la difficulté technique en descente est abordée dans cette cotation en s'appuyant sur un matériel de référence, qui semble donner du sens au découpage proposé.
En préambule:
La liberté de talon du SRN entraîne un certain nombre de plaisirs ou problèmes en descente qui implique un développement des différentes cotations dans des plages de difficultés de terrain (° de pente, obstacles,..) qui me semble devoir être moins larges que celle du SRA.
La proposition de cotation s'appuie sur une analyse qui prend en compte l'emploi d'un ski dit "polyvalent" (se référer à la description proposer sur le site pour plus de détails), monté en Norme 75. 
Pour autant elle reste valable pour des skieurs sur du matériel plus fin, qui devront aborder les difficultés en descente avec plus de prudence, particulièrement dans les neiges croûtée. Les efforts nécessaire pour descendre avec ce type de matériel peuvent être compensés par des économies d'énergie dans les partie montante surtout si le manteau neigeux est peu profond.
Pour des skieurs qui évoluent sur du matériel plus large, il conviendra d'être plus prudent sur les cotations en descente dès lors que la neige sera dure. Dans toutes les autres neige, ce type de matériel entraîne plutôt des facilités en descente.
La cotation proposée est une cotation globale sur l'ensemble de l'itinéraire. Je propose: que jusqu'à 3 passages incontournables de moins de 100m ou un passage de moins de 300m dans une cotation supérieure, les difficultés seront mentionnés et côtés sans impacter la cotation globale. Cette proposition semble assez arbitraire mais elle repose sur les idées suivantes:
- La qualité de la progression d'un skieur est en grande partie liée à ses dispositions psychologiques. Là dessus personne n'est égal. Cependant quand on a déjà déchausser 3 fois 100m sur de la neige très dure, croûtée ou profonde, on a déjà laisser des plumes, tant sur le plan physique, que sur le plan psychique (même si ça peut être plus ou moins conscient), qui font que le skieur ne sera plus forcément dans les disposition optimales pour se sentir au mieux de sa forme dans du terrain qui correspond à sa zone de confort théorique. (sans doute certains d'entre vous sont très à l'aise avec l'idée de déchausser, et de marcher avec aisance dans tous types de neige, j'aimerais que ce soit le cas de tout le monde, mais ça ne me semble pas si évident pour beaucoup de gens) A vous de me dire ce que vous en pensez.
- la cotation proposée décrit des difficultés de terrain et des dispositions techniques pour aborder l'itinéraire en neige douce (neige fraiche, plus ou moins froide, ou neige transformée qui porte mais reste agréable skier car décaillée en surface par l'action du soleil). Si la neige est dure nous invitons le skieur à étudier une possibilité d'itinéraire dans la cotation inférieure. Si la neige est croûtée ou s'il s'agit d'un manteau neigeux de printemps pourri par le réchauffement (neige qui défonce de manière intempestive), nous invitons le skieur à se reporter sur des itinéraires décrit dans des cotations de deux niveaux inférieurs par rapport à la description.
Proposition de cotation:
D'un point de vue sécurité, il est toujours préférable en montagne d'évoluer en étant bien accompagné que tout seul.
Cependant une personne qui n'aurait jamais pratiqué de ski, peut toute fois sans trop prendre de risques, s'essayé au SRN sur des terrains rigoureusement plat sur neige dure ou croûtée. Et sur une neige douce, il est possible d'aborder sans trop prendre de risque des pentes dépourvues d'obstacles de moins de 7 à 8° pas trop longues et présentant un arrêt naturel au plat ou en montée.
S1: pentes de 0 à 7-8°, terrain large et dépourvu d'obstacles, maîtrise du chasse neige freiné
S2: pentes de 7 à 15° en terrain large et dépourvus d'obstacles, pentes inférieures à 8° dans un espace boisé très peu dense, maîtrise du chasse neige virage.
S3: de 15 à 20° en terrain large et dépourvu d'obstacle, ou pente inférieure à 15° dans un terrain présentant quelques obstacles, maîtrise du stem
S4: de 20 à 25° en terrain large et découvert, ou pente inférieure à 20° présentant quelques obstacles, ou couvert forestier peu dense dans des pentes qui n'excède pas 15°, maîtrise des conduites dérapées.
S5: de 25 à 35° en terrain large et découvert, ou pentes inférieures à 25° présentant quelques obstacles, ou couvert forestier peu dense dans des pentes qui n'excèdent pas 20°: en plus d'une très bonne maîtrise des virages dérapés, d'un bon contrôle de ses skis en dérapage latéral, le skieur dans des pentes plus faible est à l'aise avec des conduites carvées sur neige dure.
S6: un monde qui n'est pas imaginaire, mais au dessus de S5, où le skieur sait où il va, pourquoi, il y va et n'a pas besoin ni de topo, ni de cotations.
Voilou c'était encore blabla sancho, à vous les claviers….
Merci de me rappeler à mon talent pour sortir des traces comme des sujets Talon libresmile
J'avoue avoir un peu pris en otage ton sujet, pour exprimer un certain ras le bol. Je te rassures, l'avoir fait m'a redonné de l'énergie pour plancher sur des cotations.
Sinon, tu peux quand même ouvrir le sujet si tu en as le goût :
talonlibre
Ton dernier post me paraîtrait mieux placé dans un sujet sur la querelle entre anciens et modernes, où la tradition a-t-elle du bon ou sur la propension des insectes rampants (dans la poudreuse) à se transformer en seigneurs de la glisse….

Dans mon dernier post je dis que je n'ai plus trop envie d'en parler avec les gens qui n'ont pas pris le temps d'essayer, maintenant j'en ai tellement écrit,  que je veux encore bien faire des copier coller.smile
gervais
ok, donc, repérer la tache de poudre blanche dans le creux des plaques vitrées grisonnantes, et zaii, patinage artistique accélérant pour s' offrir une belle courbe decelerante dans un mouchoir de poches pour vite gagner un petit vallon bien fourni ou la grosse combe sous le vent remplie à gaver
Là je dois dire que tu me semble avoir vraiment tout compris, ce qui me fait dire qu'après, il ne reste plus beaucoup de travail avant de pouvoir profiter de la liberté de jouer avec ses vectors en svartisen.smile

Mikael
Je confirme l'usure rapide des Madshus après une saison de ski intensive, notamment sur la partie "collée" au niveau de la carre (là où le métal s'arrête, sans doute pour faire des économies) qui n'est pas très résistante. Résultat, le bois de la spatule est au contact de la neige et c'est la part belle aux infiltrations d'eau, de quoi fragiliser le ski.
Disons que les carres ça coupe, car c'est ce qu'on leur demande.
C'est pas l'endroit précis que tu décris qui est spécialement faible, tout le reste du ski est conçu pareil, C'est ce qui me fait dire qu'en apparence le ski vieilli vite, car il est vite marqué, par les rayures en les chargeant sans assez précaution dans la voiture avec d'autres ski, par des pointes de bâton, ou comme dans ton cas par des coups de carres… C'est le principal défaut de ces skis, ils pourraient améliorer la résistance à l'usure de la sérigraphie.
Un bon coup de carres ça marque n'importe quel ski, je ne sais plus lequel des Beaujus qui avait avait sabré ses Vectors, au prix du bijou on est en droit de verser une larme. Après tu peux également torturer n'importe quel ski alpin de la sorte. Une sérigraphie en diamant serait sans doute plus résistante, mais ça serait sans doute lourd, sans doute pas assez souple, et certainement très onéreux.
Sur la photo, peut être que je me trompe, mais ce n'est pas à mon sens le fruit d'un seul coup de carres qui est illustré.
Oui ça fragilise le ski par rapport aux infiltrations d'eau.
Ça n'a rien à voir avec l'absence de carres à cet endroit là. En revanche j'ai dit très tôt que c'était dommage d'avoir chercher à faire des économies de carres à ce point précis du ski. J'ai aussi dit qu'en apparence c'était sans doute une voie ouverte pour réussir à arracher ses carres. Après 4 ans d'utilisation intensives je n'ai pour autant aucun souci de carres à déplorer sur les Madshus.
Les Fischer sont beaucoup moins fragile au marquage des coups de ski et de bâton, mais la sérigraphie se décolle comme une peau de banane juste au lendemain de l'expiration de la garantie. Ce qui correspond également à la période où l'encollage de la semelle commence à donner des signes de faiblesses laissant apparaître des voies d'eau,qui sont beaucoup moins facile à traiter que celle de cette photo. Et pour parachever le tableau les carres sont sujet à  rompre dans le même timing. (deux ans ça sent bon l'obsolescence programmée, dans un délai plus acceptable que leur BCX875 lors de leur mise sur le marché)
Entre autre point négatif, chez fischer comme chez madshus: la qualité des semelles est trop tendre.
sancho
Mais au bout d'un moment, j'aimerais juste une chose, c'est que tu ais essayé un éon, un époch et un annum, pour avoir un point de vue qui sera peut être bien différent du mien, mais au moins le débat pourrait être plus concret.
Çà va faire bientôt 4 ans que j'anime des débats sur ce forum qui a mon sens tourne trop souvent autour des mêmes choses.
Mon sentiment est que j'ai fait partager une partie de mes plaisirs autour d'un ski plus large, à beaucoup plus de touristes qui ne pratiquaient pas le SRN, qu'à des mordus de l'activité de longue date. Je sais que ce n'est pas toujours facile de trouver ce genre de matos pour essayer. Mais c'est vraiment pas ma faute. 
Pendant deux hivers entiers, j'ai consacré une demi journée par semaine à proposer de la découverte gratuite. Je sais que pour beaucoup c'était très loin de leur domicile. Mais ma femme elle a pas tord de me rappeler que je suis bien gentil d'acheter des skis, et d'investir de mon temps pour faire découvrir l'activité à des gens, que je ne vais pour certains, jamais revoir. J'ai aussi des enfants à voir grandir et à nourrir. Mais ce que je veux dire c'est que certains ont la tête beaucoup trop dure pour moi, et que ça en devient plus qu'usant. Les skieurs du CAF de Pontarlier font partie de ce registre de personnes qui avec tout le respect que je leur doit pour la passion commune, que nous avons du partage de la montagne en SRN, finissent par m’excéder.Tous les hivers je les croise et je leur sers la découverte du ski large sur un plateau: la carte avec le N° de tel, la gratuité de l'essai sur une demi journée à définir en fonction de nos planning, jamais ils ne m'ont appelé. En soit ça ne semble pas grave, on se dit qu'ils peuvent essayer tout seul, mais en fait c'est pas le cas. Et je les retrouve tous les hivers avec les même skis fins. Je m'en fou de voir un responsable de course en galère dans des traversées conversions dans des pentes trop raides pour lui, mais ça me donne la nausée de voir loin derrière lui des personnes qui sont nettement plus à la peine que lui. On voit tout de suite le potentiel de cette activité, car la convivialité (???? quand même sur certains groupes), la dynamique de groupe, les plaisirs contemplatifs offerts par la montagne, peuvent indéniablement prendre l'ascendant sur l'intérêt des plaisirs de la glisse. Il s'agit d'un loisir, tout le monde a la liberté de choisir ses plaisirs et ses galères. Chaque pratiquant est un peu un ambassadeur de son activité, et en cela je juge à tord ou à raison, qu'il est quand même délicat de dénigrer ce qu'on a pas essayé. Il y a des responsables de course du CAF de mon quartier, qui me regardent d'un air méfiant en ce demandant ce que je veux leur vendre. La réponse est rien, je ne touche pas un sou, quand un magasin vend une paire de ski. En revanche, j'affirme que certains d'entre eux auraient tout intérêt à prendre des actions chez TSL.
N_75
N_75 : …et ceux qui sillonnent les espaces du Massif Central (peut-être les plus partagés entre skis à bords semi-parallèles et skis larges)
.Sancho : ..dès lors que la neige n'est pas homogénément béton

C'est bien là le problème !
 j'ai déjà vu un Eon (http://www.skirandonneenordique.com/forums/sujet/2512/),  jamais skié dessus, et c'est ce que je classe en semi-parallèle (entre E99 et SB 98 )


N_75 : On se situe en terrain "nordique", donc il n'y a pas de risque lié à la pente

…par opposition au SRA, où une gamelle enverra plus vite en bas car les pentes y sont plus importantes (logiquement) . 
Après, j'ai un copain, skieur de fond chevronné, qui s'est luxé une hanche, sur le plat, et à l'arrêt !
Alors l'appellation skis à bords semi parallèles n'est pas la plus adéquate:
- Les lignes de côtes des éons, époch et annum sont a très peu de chose près proportionnelles.
- Un ski a cotes droites, sera toujours meilleur pour filer droit, bref l'outil idéal pour un skieur pressé, qui n'aspire pas a goûter à l'éventuel plaisir de faire ne serait-ce qu'un virage.
- l'éon est un super ski de neige dure, pour ma part il m'est devenu difficilement concevable de descendre dans des lignes de côtes plus basse, alors que je pense être un très bon fondeur. L'époch est nettement plus polyvalent, mais déjà un peu perturbant en montée, pour un skieur qui aurait un gros vécu de fond en double appui (c'est complexe et je prépare une actu dessus, le rendement d'un bon fondeur ne se juge pas exclusivement à ses qualités de propulsion, il y a des gains d'énergie énorme à prendre en jouant notamment sur du déséquilibre avant. Ces économies d'énergies prennent très vite une importance considérable en SRN, où il ne sert pas à grand chose de pousser fort sur une neige qui n'est pas damée)
Sur l'accidentologie en ski:
On a vite fait de faire des raccourcis entre excès de vitesse et gros bobos.
Une chute à assez forte vitesse est rarement douloureuse, tant que le skieur ne va pas s'encastrer dans un obstacle. On a tous en tête des images de fautes de carres de descendeurs en coupe du monde qui se font très mal. Le commun des skieurs est très loin de ça. Tant que le terrain est dégagé, sur neige dure il vaut mieux tomber avec assez de vitesse ça amorti le choc.
Mes deux plus gros traumas sur des clients (j'en ai eu très peu): 
- tassement de vertèbre sur une chute à l'arrêt
- fracture péroné sur une chute à moins de 2 km/h
La fracture péroné, si la dame avait été à plus de 20 ou 30km/h, elle n'aurait jamais eu le temps de développer des attitudes réflexes de refus de la chute qui lui ont coûté un plâtre.
Sur le tassement de vertèbre, il serait tombé sur les fesses à 10km/h, il aurait pris une sonnée, à 20 il se serait tenu la fesse en se relevant, à 30 tout le monde aurait rigolé, à 50 j'allais prié pour qu'il ne finisse pas avec la tête dans un arbre (mais il était pas du genre à vouloir skier à plus de 20km/h, car pour avoir du plaisir en descente, à moins d'être suicidaire ou inconscient, il faut avoir un sentiment de maîtrise)
Si c'est pour finir dans un arbre, la vitesse est indéniablement un facteur aggravant, mais on peut aussi tomber de sa hauteur sans vitesse initiale pour mourir du coup du lapin, dans mes connaissances assez proches 2 morts et un tétraplégique (1 à pied, un en vélo, le dernier à ski)
SRN et SRA, deux traumatologie différentes, en lien avec le matériel: la chaussure à coque plastique soit ça déchausse à temps, soit ça déchausse après rupture de ligament genou ou rupture tibia. En SRN, c'est plutôt le genou qui craint, les skis déchaussent très très rarement, mais le risque est considérablement atténué par le fait que le talon décolle.
Sinon si l'idée derrière est de dire, qu'un ski plus large permet au skieur d'aller plus vite et donc de prendre plus de risque?????
Je dirais qu'avant d'envisager d'aller plus vite, on élimine déjà beaucoup de chute. On gagne en sentiment de maîtrise, ce qui donne du plaisir et éventuellement l'envie d'aller plus vite. Mais on a toujours vite fait de trouver ses limites, réussir à les repousser c'est plus de boulot et personne ne vous oblige à chercher. Sinon si repousser ses limites est un concept qui vous inspire, ben je peux comprendre, mais on est pas obligé d'être sot, il y a des terrains dégagés plus adaptés que d'autres pour gagner en maîtrise sur ses planches.
N_75
…juste pour recadrer, et te remercier Sancho de t'être relu smile
Après même en ayant retiré une partie clairement injustifiée, je qualifierais le reste de mon post comme indécemment virulent à ton égard.
A ma décharge, t'attaques en disant que tu ne veux pas plomber l'ambiance. Après ça m'a donné l'impression (à tord ou à raison) que tu n'avais pas tout lu ce qui avait été posté, et je ne veux pas le reprocher, car c'était quand même long et j'en suis le premier responsable d'écrire des trucs trop long pour cette époque où tout doit aller vite.
Après voilà je suis passionné, ce que j'aime c'est faire partager ce que j'aime, c'est pas forcément derrière un clavier que je me sens le plus pertinent.
Mais au bout d'un moment, j'aimerais juste une chose, c'est que tu ais essayé un éon, un époch et un annum, pour avoir un point de vue qui sera peut être bien différent du mien, mais au moins le débat pourrait être plus concretsmile.