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stef a écrit:Je ne voyais pas les choses comme cela. Voilà qui est fort déroutant pour moi. Mettez un smilie ici. :-P |
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Christophe a écrit:J'y invoque des connaissances qui ne sont pas diffusées. Allusion récente à l'adresse : http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php?topic=971.0 Aucun des articles de Davidovits auxquels je fais allusion n'est disponible sur le net. J'en ai une photocopie à titre privé. |
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Christophe a écrit:Juste une laque glycéro achetée en supermarché à 3 ou 4 €. Je n'avais pas la patience de rechercher un primaire, qui normalement sert d'intermédiaire entre un polyester-tissu de verre, et une peinture normale. Ma seule précaution a été de prendre une laque brillante, car c'est ce qui contient le plus de résine et le moins de charges. Encore mieux, eût été de prendre le vernis marin (zéro charges), mais il est stocké dans le garage de m'Amie, et je prends mes distances vu son hostilité à chacune de mes initiatives. Le piégeac est la colle thermofusible dans les lamages pour rivets dans les patins : cette colle est un polyamide, donc avec plein de liaisons légèrement pôlaires en attente, en périphérie de micelles. En effet, la résistance remarquable du polyamide en traction, est dû aux liaisons hydrogène entre micelles, entre les radicaux amides et acides. Chaque remplissage de trou est maintenant plutôt adhérent au frottement, au contraire du PE HD, qui n'a aucun caractère pôlaire, et glisse très bien. J'ai donc gagné en lissage de relief, et en rétention de glace, ma pulka sèchera plus vite entre la fin de la sortie, et la rentrée dans le fourgon, mais il faut encore que je paraffine chacun de ces bouchons en polyamide. Sinon, la tendance à saboter se maintiendra. Bon, maintenant il faut que j'arrête les largeurs définitives pour les brancards. La traverse sera à 80 cm du skieur, 120 cm de la pulke. P.S. "pulkor" est juste le pluriel indéfini de "pulka" en suédois = "des pulkas". "Pulkorna" : pluriel défini = "les pulkas". En norvégien, ce serait "pulker" et "pulkerne". |
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Jacques a écrit:Voilà. La seconde couche de laque est sèche. Disons qu'elle sera dure dans trois semaines. |
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stef a écrit:C'est vrai, j'étais resté traumatisé par le chavirage de la petite luge en plastique, contenant ma fille (encore unique à l'époque), derrière mes deux tiges de deux mètres, non solidarisées par une traverse de H. J'en avais conclu que cet assemblage est essentiel pour que les hanches du tracteur obligent la pulka à rester à l'endroit. J'ai donc conçu cette fois un brancard entièrement rigide. Evidemment que je me pose des questions en cas de gadin. Risque de perforation des reins ou du ventre par le brancard ? Le tracteur culbuté fait-il chavirer la pulka ? Et puis me voilà sous anticoagulant à vie, et je n'ai droit à aucun trauma important, interne y compris. Sur l'illustration dans "Mera Ute" de Thorstein Wermelin, qui était ma source, la branche du H de brancard était un osier ployé. Un instant, j'ai pensé à des brancards en bois, mais en cas d'accident, ce ne serait pas réparable sur place. |
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Hélas j'ai commandé ma pulka Snerten à Expe, avant de voir que Hud5 avait peut-être encore à la vente son modèle militaire renforcé, qui m'aurait bien plu. J'ai été choqué par la non-finition de l'intérieur, brut de fibres projetées et encore folâtres. J'ai acheté une laque brillante blanche. J'attends qu'elle durcisse à présent. Je regrette de ne pas avoir commencé les bords au pinceau à rechampir, au lieu de ce pinceau souple à poils longs, d'où débordements sur la housse rivée, qu'il faut ensuite essuyer à l'ouate imprégnée de pétrole. Pour le brancard, j'ai trouvé que c'est d'un prix exagéré. Hop chez L.r..-M.rl.n et 2 tubes carrés de 19,5 mm - 2 m, un tube rond d'un mètre, même diamètre, et ce qu'il faut d'équerres en acier galva pour l'assemblage des quatre tubes. Je présume que je vais enfoncer des bouchons de bois dans les extrémités, avant de commencer les perçages, puis les gorger d'huile de lin ou de lasure. Je n'ai pas encore tranché si je vais monter en vis Parker (autotaraudeuses) ou en boulons. Coût : dans les 40 euros d'achats. Pour la triangulation d'un portant à vêtements, j'avais parié pour les Parker… échec total dans ces tubes acier minces, il a fallu passer aux boulons, bien traversants. Dans l'alu, ce sera sans doute plus facile. Pour le chariot spécial à pulka, je commence à envisager le rectangle plat le plus simple, assemblé par rivets, portant un tube de 20 mm en alu, qui tienne les deux roues de 260 x 85, à l'extérieur de la largeur de l'arrière de la pulka (goupilles et rondelles ad hoc). Il ne restera plus qu'à s'atteler les attaches avant à l'arrière du baudrier ou sous le sac à dos, et on a juste une brouette arrière, à deux roues. On ne porte plus que 40 % du poids de la pulka. Il reste que le brancard, je l'ai prévu non repliable, 2 mètres pleins. Et je n'ai pas encore dessiné les attaches aux mousquetons de baudrier. J'ai aussi acheté les [d]équerres[/d] cornières pour protéger des carres les sangles avant des peluches demi-longueur. |
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L'offre de Gold Eck d'occasion est intégralement épuisée, même à 129 euros. |
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Mauvaise nouvelle : quoique abondant sur les dépliants touristiques, le mot "skigjøring" est absent des mes dictionnaires norsk-fransk et dansk-fransk. Les éditeurs ont sans doute estimé que c'était intraduisible en français. "Skidgöring" aussi est absent du dictionnaire suédois. Je m'explique mal la formation du mot, car "at gjøre" ("at göra", på svenska), c'est "faire", et non pas "diriger un cheval". |
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effectivement…SRN met les bouchées doubles! :-P |
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Robert a écrit:En clair, tu trouves qu'elle n'est pas assez lourde ? |
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