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Merci pour les liens. Ça ne me rajeunit pas, l'évocation de la Marne, quand je naviguais à Bry sur Marne avec le CKCF… 1963.
Depuis l'été dernier, j'ai un kayak pliant qui peut aller en mer. C'est moi qui n'ai plus l'endurance indispensable pour la mer.
Modifié il y a 13 ans
Quelques explications sur les duvets:
Deux critères principaux pour comprendre les diifèrences de prix et de qualités thermique: le cu.in du duvet, et le mode de construction de l'enveloppe, le mode de cloisonnement du duvet, quoi!
Le duvet n’est pas de la plume. Il s’agit d’un flocon pouvant atteindre plusieurs centimètres de diamètre. On utilise le duvet de canard et d’oie. C’est un gain en poids et en confort. Le principe de base est le suivant : plus l’animal est gros, meilleure est la qualité du duvet. La qualité de la nourriture intervient aussi. Il semble que, contrairement à ce qui est dit souvent, le climat n’intervient pas de façon significative.  Vous venez de comprendre pourquoi le duvet français est l’un des meilleurs du monde… En France, on n’élève pas les palmipèdes gras pour les manger ou pour le duvet mais pour le foie gras. Les bêtes sont bien nourries (sur le plan quantitatif) et vivent longtemps : elles deviennent grosses et ont le temps de faire du duvet. Celui-ci est ramassé dans les exploitations quand il tombe naturellement… Les autres pays producteurs de foie gras sont la Hongrie, la Tchéquie (République Tchéque) et la Pologne… pas la Chine. Dans ce dernier pays ce sont principalement des oies plus jeunes qui sont abattues d’où une qualité de duvet moindre. L’intégration de la chaîne de production allant du producteur au fabricant de sac de couchage en passant par le transformateur, c’est le secret de la qualité d’une maison comme Pinel. Tout est basé sur la connaissance des sources et la confiance. Ce n’est pas le genre de chose qu'il est possible de développer à distance.
Identifier sa qualité:
Le duvet doit être préparé selon des normes sanitaires strictes : vérifiez les étiquettes. En France, la qualité du duvet était appréciée par l’obligation de mentionner l’origine (canard ou oie) et la composition respective de plumules et de plumettes (70/30 par exemple). Un duvet doit avoir au moins 80% de plumules (duvet). De nos jours, pour être compétitif vis-à-vis du synthétique, c’est souvent 90 à 95%.
Depuis quelques années, la mesure du gonflant (Loft) d’origine américaine s’est imposée sur le marché. Initialement, il s’agissait de mesurer l’épaisseur totale du sac de couchage une fois étendue. Puisque la capacité isolante est très fortement corrélée à l’épaisseur de duvet, il s’agissait d’une bonne indication. De nos jours, on mesure le volume d’un échantillon de duvet (une once) soumis à un poids donné. En mesurant le volume en « pouce cube » (cupo) ou CUIN (cubic inches) on obtient un chiffre.
Il existe deux méthodes pour estimer le « filling power » des échantillons de duvet : l’européenne d’origine allemande et l’américaine (IDFL : http://www.idfl.com/). La différence se trouve dans le volume des éprouvettes de test et dans le poids utilisé pour la compression. En Europe, méthode Lorch, le diamètre est de 284 mm (soit une base de 633,1 cm2) alors qu’il est de 241,3 mm (base de 457,1 cm2). La hauteur du cylindre est de 500 mm. Sur cette éprouvette, un disque perforé est disposé avec un poids sur le dessus. Le poids est de 94,25 g en Europe et de 68,3 g aux États-Unis. Dans les deux cas la pression est de 0,149 g par centimètre carré à la base de l’éprouvette (source:BASK: http://www.bask.info/info/papers/10.html).
Le duvet est préparé en étant fortement remué et en contrôlant le degré d’hygrométrie, plusieurs échantillons sont testés. Les variations peuvent être importantes au cours du test d’un même échantillon. Au final, il faut retirer 100 cu.in au cu.in Américain pour avoir l'équivalent Européen! (exemple 800 cu.in Américain équivaut à  un duvet de 700 cu.in Européen, attention donc au mode de calcul des marques! souvent les marques précisent quand c'est du cu.in Européen, alors quand rien n'est précisé…smile
Fabrication:
Nous ne discuterons pas ici la forme du sac de couchage. Nous ne traiterons que de sacs sarcophages.     Il faut se souvenir que l’objectif d’un sac de couchage c’est de conserver le mieux possible la chaleur du dormeur tout en assurant l’évacuation de l’humidité consécutive à la transpiration. Afin d’obtenir ce résultat, le duvet doit être enfermé entre deux couches de tissu pour le stabiliser. La stabilisation a pour but de répartir de façon harmonieuse le duvet sur l’ensemble du corps du randonneur et d’éviter les points froids. Il s’agit donc de créer des compartiments. Plus il y a de compartiments, plus il y a de coutures, plus on crée d’opportunités de défauts. Si l’on ne fait pas attention, chaque couture est à l’origine d’un pont thermique. La grande supériorité du duvet d’eider, c’est qu’il reste agrégé grâce à la présence de petits crochets sur les flocons de duvet. De ce fait, les compartiments sont moins utiles et peuvent être moins nombreux
Les points de construction à surveiller sont les suivants :
Un détail qui n’en est pas un : vérifiez que le tissu du sac n’est pas bruyant, il n’y a rien de plus agaçant. La fermeture est-elle bien isolée sur toute sa longueur. Le compartiment le long de la fermeture est-il assez volumineux ? Ne coince-t-elle pas trop ? La capuche est-elle confortable, réglable de l’intérieur et alvéolée ? Observez la forme de la capuche. Lorsque le lacet de fermeture est serré, la capuche doit pouvoir conserver du volume. Ici aussi la construction doit être en 3D. La collerette d’épaule est-elle confortable, réglable de l’intérieur et alvéolée ? La collerette d’épaule est-elle construite en trois dimensions (Triple Zéro, gamme supérieure chez Valandré) ou bien est-ce juste un boudin de duvet (gamme classic Valandré). La partie concernant les pieds est-elle ample, confortable et alvéolée ? La fermeture est-elle de marque (YKK, Salmi, Opti…smile ? Vérifiez la qualité des coutures : régularité (5 au cm), si le duvet ne passe pas à travers les coutures, points d’arrêts. Vérifiez attentivement si l’ensemble de la construction est entièrement alvéolé en 3D. Par exemple, à l’endroit où l’isolation rejoint la fermeture du sac. Il doit y avoir une pièce de tissu qui assure un volume 3D afin que le duvet garde son gonflant. Comparez un duvet haut de gamme avec la concurrence. En résumé, la construction doit être pensée pour permettre au duvet de développer son gonflant au mieux tout en évitant les points froids. Observez les compartiments : sont-ils un peu bombés ? Il faut que le duvet mette en tension chaque compartiment pour éviter les points froids. C’est un point délicat qui révèle le savoir-faire des bonnes maisons de tradition. Il ne s’agit pas de fabriquer des enveloppes de sac de couchage et de remplir de 600 g, 800 g ou 1 000 g. Il faut prévoir un volume du sac différent et adapté à chaque poids de garnissage. Cela demande de l’expérience. Duvet:
Vérifier la composition. Un duvet doit comporter au moins 80% de duvet de canard ou d’oie. 90 c’est mieux, 95 c’est très bien. 98 % c’est l’exception qui ne peut être obtenue que par triage manuel. Vérifier qu’il respecte les normes d’hygiène : stérilisation, lavage… Regarder la qualité de gonflant (cuin). MAIS cela ne doit pas être votre seul critère. En effet, selon la méthode de test et les machines employées, il y a de grandes différences. Disons qu’au dessus de 700 c’est bien (si c’est mesuré avec la méthode européenne et que tous les lots font au moins 700 cuin c’est très bien). 85/15 (85% duvet/15% plumettes) duvet de canard européen avec un pouvoir gonflant de au moins 560+ cuin selon norme EU et 610+ cuin selon norme US 90/10 duvet d’oie blanche hongroise avec un pouvoir gonflant de au moins 660+EU/725+US 96/4 duvet d’oie blanche polonaise avec un pouvoir gonflant de au moins 750+EU/850+US Le signe « + » veut dire que tout les échantillons testés font au moins cette valeur. Si c’est indiqué seulement 700 cuin, cela peut être une moyenne.
Il est préférable de choisir du duvet d’oie. Il est plus gros et il est réputé mieux résister à l’humidité que le canard. Comme le gonflant ne dépend pas seulement de la qualité du duvet de départ mais aussi du savoir faire du transformateur (plumassier), et du savoir faire du fabricant sur l'enveloppe du duvet , il n’est pas étonnant qu’un fabricant français qui maîtrise l’ensemble de la chaîne de fabrication comme Pyrenex,  ait une qualité de duvet canard équivalente,  à un duvet d’oie chinois de FP 700. Valandré annonce pour son canard 650+ cuin…
Explications tirées du survival wiki
Modifié il y a 13 ans
stef a écrit :
Je ne connais pas particulièrement le GT II 900 mais je le trouve redoutable pour ce qui est du rapport qualité/prix. En effet, le Shocking Blue est nettement plus cher (269 contre 479 à 499 €).
Perso, en comparant les fiches techniques des 2 sacs, j’accorde l’avantage au Shocking Blue. On peut cependant, sans doute à juste tire, se demander si un tel écart de prix est justifiable entre deux sacs “boxant” en théorie dans la même catégorie…
En faite le Valandré reste bien supérieur, car on passe encore un cap au dessus en terme de gonflant, en passant d'un duvet en 700 cu.in à un 800 cu.in européen…
Mais c'est vrai que le Warmth est bon rapport qualité prix, dommage qu'on se perde entre les gammes Warmth et Yéti, avec des  qualités de textiles et membranes bien diffèrents et des qualités de duvets diffèrents…
Valandré reste un achat sur, pour du très haut de gamme, mais avec le prix qui va avec…
Modifié il y a 13 ans
Super cette idée de parler de nos sac de couchage en duvet
En prenant un cu.in plus élevé comme du 800 cu.in Européen (attention aux marques américaines, ou d'autres qui parlent en cu.in américain et qui vaut 100 cu.in de moins que la valeure du cu.in européen), on obtient encore un rapport poids/isolation encore supèrieur.
Le meilleur duvet aujourd'hui fait 800 cu.in européen (meilleur gonflant), après les marques qui sortent des duvets à plus de 800 cu.in c'est souvent du marketing, à ce niveau y'a plus de diffèrence de gonflant…
Pour le bivouac hivernal, il est intéressant d'avoir une enveloppe extérieure en membrane imper/réspi.Meme si ca rajoute du poids… car le duvet se comporte moins bien lorsqu'il est humide. Bon cela dit l'hiver par grand c'est plutot du givre qui ce retire facilement…
Modifié il y a 13 ans
Robert a écrit :
Cette recette pour siliconer une veste en G-tex est digne de Troisgros …
Faudra que j'essaye : Ca me fait penser a un vieux truc de scouts pour imperméabiliser les cartes de rando : Un grand bol de " nouilles " de polystyrène ( ces trucs qu'on trouve dans les paquets postaux pour caler un contenu fragile ) on verse dessus de l'acétone , on obtiens un liquide pâteux et translucide qu'on étale sur la carte au pinceau.
Pas bon pour la santé , mon truc : il faut opérer au grand air ….J'en cause juste pour l'anecdote, je ne recommande pas !
Le siliconage, ça marche aussi pour les cartes. Là encore, la grosse contrainte est d'avoir assez de place à plat, ventée et sans pluie, pour faire sécher plusieurs heures, sinon gare aux collages.
Pour la sortie en kayak sur la Loire de l'an dernier, j'avais commencé la tâche trop tard, et avais juste siliconé simple face. Alain, dit "Cariacou", plus expérimenté, avait siliconé en deux couches sur chaque face. Là le résultait était impeccable sur le terrain.
Modifié il y a 13 ans
Mes manips génèrent une pollution certaine au solvant pétrolier.
Il y aurait peut-être la place pour un artisanat, qui s'équiperait de machines à condensation de solvant comme en pressing, pour récupérer et recycler le solvant que je disperse généreusement au voisinage, du haut de mon balcon venté.
 
Le premier risque commercial pour ces éventuels artisans, est celui des efflorescences blanches qui surviennent parfois. Il me semble que c'est surtout si le mastic en cartouche était acétique. Ça ne me dérange guère si le vêtement d'origine était camouflé : le motif est juste un peu plus compliqué, ce qui ne dérange guère la faune. Mais cela indigne ma compagne, si je lui étanche ainsi les coutures de la pélerine rouge que je lui ai achetée. Coquetterie et narcissisme féminins obligent…
 
Sous ces deux réserves, j'estime que le siliconage de vêtements qui auraient dû être imperméables, et qui ne le sont pas ou qui ne le sont plus, ou de toiles de tentes, ponchos ou "bashas" qui ont vieilli, pontages de kayaks pliants, est une solution qui permet d'éviter bien du gaspillage, double ou triple la durée de vie utile d'un textile à prétentions techniques de plein air.
 
Le pseudo belge "Bison" avait diffusé une photo de sa compagne dans un chemin boueux, rapidement vêtue puis dévêtue, au fil des averses, d'une pélerine à prix modique de chez D4. Il en précisait les deux défauts d'origine :
 
Etanchéité = 0,5. Mais cela se corrige au silicone.Respirabilité = 0. Mais cela se gère.Selon lui, l'avantage certain, est que c'est assez petit pour tenir dans une sacoche banane devant le marcheur, qui n'a pas à toucher à son sac à dos ni pour mettre, ni pour enlever la pélerine.
 
 
Modifié il y a 13 ans
Pour la question des passages en dévers, j'ai vu proposer d'ajouter des petits rails en cornière, à l'arrière des patins. Je n'ai jamais testé.
Il est clair que ça dépend de la neige. La taille de rails qui convient à une neige, ne convient pas à une autre, et ça freine dans tous les cas.
Modifié il y a 13 ans
Bon, comme on dévie vers les solutions maison, autant y rester. Mais je persiste à penser qu'il faut scinder le fil en deux parties.
J'ai essayé plusieurs solutions.
J'avais toujours ici des vestes en forte toile coton, datant des années soixante-septante. C'était ce qu'on préconisait à l'époque en alpinisme. Jamais bien convainquantes en imperméabilité.
D4 approvisionnait encore de la graisse à coton, style Barbour, au rayon chasse. C'est moi qui ai épuisé le stock, jamais réapprovisionné depuis. C'est nettement mieux que rien, mais pas encore ça. Pas trop mal pour les averses éparses. OK pour des guêtres en coton, qui conservent leur perméabilité à l'air.
Le cirage imperméabilisant et incolore pour chaussures, fait sensiblement aussi bien, ou aussi mal, et est toujours réapprovisionné. La graisse à chaussures qualité OTAN, n'est pas mal non plus. Mais on n'en trouve déjà plus dans les surplus. Pas trop mal pour les semi-moufles à pouce et index séparés (pour tireur : ce qu'il faut au Svalbard, question ours blancs et arme à manier par grand froid).
La cire d'ameublement ou à parquets, et heureusement on peut en trouver de l'incolore, mérite à peu près le même commentaire. Pas bien bon, pas bien cher, et garde longtemps son odeur, qui prévient d'un peu trop loin le gibier qu'on ambitionnait d'approcher pour la photo.
J'ai tenté le mélange graisse à contacts (minérale) avec la graisse Solognac première citée : garde trop d'odeur pénible, et peut souiller les vêtements en dessous. Mais du moins la veste d'escalade ainsi traitée ne double jamais de poids sous la pluie, si elle n'est toujours pas parfaitement imper.
J'ai aussi essayé les émulsions classiques, dont je demeure aussi déçu qu'il y a quarante ans.
La seule solution vraiment satisfaisante, et qui reste parmi les plus économiques, la seule que je conserve, est bien la dissolution de mastic silicone (translucide, pas blanc, encore moins gris !) dans le white. Il faut touiller longuement, en ajoutant le white peu à peu. J'ai cru gagner du temps en commençant par dissoudre au début dans l'essence F. Ce gain de temps reste trop faible pour mériter le surcoût.
C'est valide aussi pour le cuir des moufles fourrées. C'est valide aussi pour le cuir de chaussures encore propre et neuf, s'il est retourné. J'ai traité ainsi des chaussures d'approche, basses à semelle Vibram rigide. Mais pas encore de tests en conditions réelles. Idem pour des Galibier Super-Guide, trouvées au Trocathlon, haut de gamme d'une autre époque. Mais hélas il n'est pas évident que je retourne un jour faire une course glaciaire…
 
Combien faut-il de couches ?
Tout ce qui est nylon fin n'en supporte qu'une couche. Gore-Tex idem. Moufles, et parties cuir des chaussures d'approche. Auvents de tente, ou "basha" un peu trop fatigué. Elargissements maison de sursacs de couchage trop étroits d'origine.
Deux couches sur un smock britannique en mixte 50% polyester, 50 % coton, tissé serré. Idem pour les grosses Galibier. Un dessus et un fond de sac à dos, soit ce qui est le plus exposé, est dans le même ordre de besoins.
Il a fallu monter à trois couches pour les parkas camouflées de la Bundeswehr. 80% coton, 20% polyester, tissées moins serrées, coupe bien faite, très solides, mais des éponges sous la pluie. A l'oeil, je préfère de beaucoup le camouflage steppe, plus dur à trouver, au camouflage vert Europe : on est déguisé en rocher, et non plus en buisson. A trois couches, la tenue à la pluie est très bonne, alors qu'à l'origine ces smock et parkas n'étaient que de bons coupe-vent. La perméabilité à l'air n'a pas disparu, mais est fortement amoindrie. Un bain imprévu dans un torrent continue à présenter le même danger d'alourdissement des vêtements, et de difficulté à se hisser à la rive : seule la face externe du tissu est traitée. Qualité locale uniquement, pas d'hydrofugation globale.
 
Pour ceux qui font des feux, par exemple en exercices de survie hivernale, je déconseille toutes les premières solutions, qui augmentent l'inflammabilité de votre vêtement. Je n'ai pas d'infos sur la tenue aux escarbilles et étincelles du traitement silicone sur mixte coton-polyester. A priori j'ai confiance.
Depuis le coup d'Exocet dans le Sheffield, les militaires font gaffe à cette question de tenue des vêtements au feu. Il nous arrive d'avoir les mêmes besoins.
 
Tous ces bricolages, dont l'abondance défie la rationalité, visaient le camouflage du photographe. Ce qui est bien peu rationnel, est que je n'ai toujours pas emporté sur le terrain, de filet pour camoufler le trépied ni la tête, et pas de filet de camouflage pour l'ensemble du photographe… Et on peut critiquer de plusieurs autres façons l'irrationnalité du bonhomme.
 
Modifié il y a 13 ans
Toujours aussi bien les sujets de MW, et merci à eux pour leurs actions…
Modifié il y a 13 ans
Pas mal vos astuces, à tester
Modifié il y a 13 ans