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Je reste sur un échec : mars 1973, on n'a pas su achever notre traversée de Margeride : perdu les repères, mauvais temps, bivouac mouillant pour les duvets. On est redescendus le troisième jour, peut-être par le Pas de l'âne vers Couffours. Pour reprendre le train à Saint-Chély d'Apcher.

Avant de faire mieux en janvier prochain, j'estime raisonnable de commencer par une reconnaissance sans neige, en septembre. Peut-être au départ de Paulhac en Margeride, un coup vers le Nord, un coup vers le Sud.
Alternative : point central à Sainte-Eulalie, près du parc à bisons.

A votre avis, la reconnaissance la plus efficace, c'est à pieds ou en VTT ?
Photos prises par des VTTistes :
http://www.cafchambery.com/article.php3?id_article=3030
Modifié il y a 14 ans
Jacques a écrit:
On trouve aussi des roues similaires, même moyeu de 20 mm, mais avec roulements. Je les attends. Cela devrait permettre de renoncer à ma généreuse graisse, et retourner aux habitudes de démontage du chariot dès qu'il ne sert plus. J'espère.

Bien reçu les roues aujourd'hui.
Les roues Eckla pèsent 820 g chaque, les rechanges, avec ou sans roulement, pèsent 1050 g. Le tout à l'approximation de la balance de ménage mécanique. Les pneus et jantes semblent plus forts.
La tolérance est aussi large avec les roulements à rouleaux, que sans roulements du tout. Ça passe bien même sur mes cartons huilés, qui adhèrent au moyeu alu. Les joues protectrices en plastique noir ne sont pas étanches. Entretien périodique indispensable.
Modifié il y a 14 ans
Merci.
Modifié il y a 14 ans
lynx18 a écrit:
Pourquoi avoir choisi des fixations STUBAI, réputées fragiles??,
Je m'y serais facilement laissé prendre moi aussi. Si simples et si dépouillées…
D'autant qu'à la réflexion, le fabricant n'a qu'à prévoir une feuille de métal plus épais, et avec plus de métal autour des trous, et un rayon de courbure plus ample. Avec éventuellement l'inconvénient qu'il faudrait recuire l'alliage avant de le plier, sinon gare aux criques ! A cette limite près, on comprend mal comment Stubai n'a pas rectifié le dessin très vite.

Autres fixations de mauvaise réputation ?
Modifié il y a 14 ans
J'en retiens qu'au final, le chariot de [d]Christophe[/d], Oups, de Lynx18, rajoute 2700 g à sa pulka.
Comparer avec un chariot à kayak :
Mon Eckla pèse 3090 g avec sa housse agrandie, autour de ses roues de 260 x 85. Ajouter deux sangles textiles.
Prix : acheté par eBay en Allemagne, ce qui revient au même prix que le prix D4, quand toutefois D4 est approvisionné (c'est rare).

Pourquoi agrandir le sac ?
J'ai vite eu des inquiétudes en voyant le système de moyeu : jante en polyéthylène, large de 75 mm, sur un tube alu de 20 mm.
J'ai voulu limiter l'usure, en insérant un coussinet graissé (et réserve de graisse) entre les deux.
Première idée : un gros tissu de nylon très aéré.
Premier ennui, au roulage le tissu graissé est extrudé hors du palier.
Il fallait donc une rigidité intrinsèque du palier. Donc un carton à huiler. Selon le jeu, le carton de rouleau de PQ fait l'affaire, ou un carton plus mince et plus dur. A découper soigneusement à la bonne largeur, à la bonne circonférence. Au 3e ou 4 essai, ça rentre bien, ça reste en place. Bien gorger d'huile pour que l'eau ensuite ne pénètre pas la cellulose.

Bon, du coup, on ne démonte plus les roues avant l'hivernage, d'où le besoin d'un sac agrandi.

On ne rentre plus non plus le chariot dans le kayak. Pas trop grave, car je m'en suis en réalité servi pour transporter gonflé mon youyou de 40 kg. Et pour le kayak, Wayland m'a livré un chariot d'étrave, qui divise par 2 le poids à porter, et qui rentre bien démonté par le panneau arrière.

On trouve aussi des roues similaires, même moyeu de 20 mm, mais avec roulements. Je les attends. Cela devrait permettre de renoncer à ma généreuse graisse, et retourner aux habitudes de démontage du chariot dès qu'il ne sert plus. J'espère.

Donc voilà : sauf si vous arrivez avec des pneus neige au spot même où vous allez poser la pulka sur la neige, et que vous reviendrez au même point, le chariot est indispensable à la pulka.
Qu'avez-vous contre les chariots à kayaks du commerce ?
Modifié il y a 14 ans
Au vu de la semelle, je maintiens que ce sont des chaussures adaptées à la N75.

Les deux ergots qui débordent de part et d'autres de l'avant du pied, bien visibles sur cette photo :



correspondent aux points de blocage nécessaires et suffisants de l'avant de la chaussure dans une fixation N75 à câbles.

Ces chaussures sont faites pour skier avec ce genre de fixations :

Tu n'as pas mis dans le mille :
La largeur à ces ergots croît de 100 à 110 mm. Ils n'entrent pas du tout dans un étrier N75, ils n'atteindront jamais les deux retenues de bec visibles sur la Riva, et exclusivement sur la Riva. Ces retenues de bec sont bien trop profondes dans l'étrier.

Chez David Manise, il y avait un fil de parcours d'hiver en Finlande, où des questions fusaient sur les bottes des exploitants forestiers.
Avec coques de sécurité sur les orteils.
Certaines étaient skiables, disait le catalogue.
La Naali, la Tuura, la Tuura plus de chez Nokian :
http://www.davidmanise.com/forum/index.php/topic,15608.msg227084.html#msg227084

http://www.nokianfootwear.fi/img/jalkineet/outdoor/isot/tuuraplus.jpg
http://www.nokianfootwear.fi/outdoor/tuuraplus.php
Elles ont le même plan à l'avant, qui n'est PAS la norme 75 mm.
Modifié il y a 14 ans
Nicolas Masson a écrit:

Mais quitte à investir dans du matériel neuf, pourquoi ne pas choisir des chaussures en cohérence avec les autres éléments de ton équipement ?
Elles y sont, chronologiquement en premier.
Je n'ai jamais vu de tiges en cuir éclater.
J'ai vu des Koflach d'alpinisme éclater sur parcours glaciaire sans difficultés particulières. Et les deux grolles…
J'ai vu des semelles quitter de bonnes tiges de cuir d'origine Décathlon : le caoutchouc aggloméré intermédiaire partait en poudre.
Oui, j'ai aussi vu des bases de lanières cuir se déchirer dans des sandales.

Ces chaussures sont bonnes, mes pieds n'ont rien à leur reprocher. Alors ce serait mieux de passer à l'affaire suivante.
Modifié il y a 14 ans
La RIVA 3, sur la photo ?
Modifié il y a 14 ans
Régis Cahn a écrit:
On peut voir le dessous de la semelle ici

On peut consulter un modèle finlandais conçu pour les activités de plein air à -40°C. Rien n'indique que ces bottes sont faites pour le ski.
C'est pourtant écrit en toutes lettres et dans la notice papier, et dans la notice électronique par le lien sur Schneller-Versand :
"Oljebeständig slitsula. Anpassad för skidbindning.
C'est juste que le modèle ad hoc de skidbindning nous est inconnu, à ce jour. Eventuellement abandonné depuis par les armées en question, d'où l'aboutisssement de ces bottes dans les surplus ?
Modifié il y a 14 ans
Nicolas Masson a écrit:
Jacques a écrit:
Le vendeur du VC cherche à me faire peur, en me mettant en garde contre des arrachages de fix sur les Hagan. Avez-vous d'autres échos ?

Non seulement j'ai entendu les mêmes échos chez Space Mountain, mais j'en ai fait l'expérience, deux fois !
Donc selon toi, on peut jeter les Hagan avant usage, c'est cela ?

Ou alors seulement avec des Rottefella Supertelemark de 360 g et des chaussures plus souples, plus touring ?
De toutes façons cela suffirait pour le plus gros d'un parcours Margeride. J'ai plus de doutes sur un parcours Vercors. Ou alors itinéraire spécial douceur ?
Modifié il y a 14 ans