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Bonsoir Sabrina, :-D 8-)

Pas de problème pour ça, mis à part actuellement un ENORME … c'est la neige … :-( :-( :-( :-( :-( :-(

Si par hasard, vu ta profession et ton lieu de résidence, tu viens d'arriver et que tu travailles dans la chimie :roll: , appelle demain au 5539 … laisse sonner si ça ne répond pas le temps que ça bascule sur un portable … et peut-être, tu auras des réponses à tes interrogations existentielles sur le sujet du ski de rando dans les monts du Forez … :lol:

La lune change cette semaine, la météo annonce un peu de neige, alors espérons … :-o :-)
Modifié il y a 10 ans
Je m'invite un peu dans la discussion mais juste pour rappel :

La loi montagne de 1985 a été modifié en 2006 et elle est claire là dessus :

"Accès libre et gratuit
au milieu naturel :
Les pratiquants qui
souhaitent accéder au
milieu naturel non
aménagé doivent
conserver cette
possibilité gratuitement
même s’ils empruntent
en partie un circuit
payant."

J'avais trouvé ça sur le site de montagne massif central et je l'avais posté sur le sujet SRN et paiement de redevance ski de fond, le 9/01/2012.

Malheureusement les deux liens officiels (ci-dessous) sur ce sujet ont été retiré du site de montagne massif Central :roll: ??????


http://www.montagnemassifcentral.com/ … rdique-telechargement.pdf

http://www.montagnemassifcentral.com/ … nt/Communiquedepresse.pdf

Article L2333-81 du code général des collectivités territoriales modifié par la loi 2006-437 2006-04-14 art. 33 II, IV JORF 15 avril 2006.

Ils parlent dans cet article que les collectivités pour pouvoir faire payer une redevance, sont soumises à de nouvelles contraintes et que les services évoqués sont obligatoires et cumulatifs. Ils imposent la présence d'équipements d'accueil et un accès libre et gratuit aux "terrains d'aventures" non aménagés, ce qui n 'était pas le cas pour la redevance ski de fond de 1985.

C'est vrai que le "en partie un circuit payant" est très large, car il ne stipule pas le nombre de kilomètres parcourus sur ce circuit payant.

Mais on peut fort justement se poser la question suivante :

Quand il n'y a que le circuit payant sur un certains nombre de kilomètres pour accéder au milieu naturel, comment faire ????

Exemple d'une route forestière, d'un côté une pente de 20 à 30 %, boisée avec des rochers et de l'autre une autre pente aussi raide et au fond un ruisseau.

La seule possibilité est la route forestière et si cette dernière est damée ??? :-o

Après c'est au jugement du personnel du domaine, mais avec des skis de rando large, les rails de fond sont inaccessible, ça frotte trop, quand au plan lisse pour patiner, on y tient mieux avec des skis étroits possédant un peu de cambre qu'en ski de rando.
Donc mis à part en neige poudreuse, les pistes ne sont pas un réel plaisir en ski de rando, donc faire payer ??? Le problème reste entier et le débat pas prêt de se clore.
Modifié il y a 10 ans
Bonjour la "parenté" de la Belle Province ! :-D :-D

C'est sûr que nous ne sommes pas dans une période très favorable pour la neige.

Si tes pas t'amènent sur l'ouest, à 115 km de Lyon, tu tomberas sur le petit massif du Forez, mais rien à voir avec le Vercors.

A se voir peut-être sur les skis ou plus sûrement sur le forum … :-D

La lune change la semaine prochaine, le temps peut-être, nous verrons si nous pourrons ressortir sans les baskets, pour aller traîner nos planches dans la neige … :-P
Modifié il y a 10 ans
Je n'ai pas la même expérience du grand nord que beaucoup, j'ai juste fait 2 fois le lac Inari en Finlande, mais avec un guide et en couchant dans les refuges d'état disposés un peu partout. :-?

Mais si tu veux dormir dehors, n'oublie surtout pas une bonne scie pliante à élaguer.
:-)

Lorsque je fais un bivouac (juste dans le Forez donc rien à voir, même si parfois les conditions peuvent être dures), je me fais un bon matelas avec des branches de résineux afin de m'isoler du sol (je n'emmène pas de matelas) puis je dispose dessus une couverture de survie type bâche, un peu épaisse et résistante, pas les consommables très fines, puis le duvet et un autre dedans.

Souvent, le problème, c'est la chaleur du corps, qui fait fondre la neige et donc mouille le dessous du sur-sac ou du sac.

Je me mets toujours dans des arbres, j'en choisis un avec des branches qui descendent bien au sol et même qui sont prises dans la neige. Je creuse parfois jusqu'au sol ou presque, puis je taille un peu celle de l'intérieure pour servir d'armature au tarp.

J'ai fait un anneau en corde d'environ Ø 10 cm à chaque oeillet du tarp, puis si besoin je passe un bout de cordelette un peu plus grosse pour relier un peu chaque anneau et je fixe le tout après les branches, non pas par des noeuds, toujours délicats à faire et pire à défaire avec le froid, mais par des petits mousquetons. Je fais un tour de la corde autour d'une branche et je refixe dessus en un clic. Si les branches sont proches et nombreuses, les anneaux suffisent sans la cordelette plus épaisse.

Les mousquetons peuvent servir à plein de chose, c'est pas trop lourd ni encombrant et ça se manœuvre bien, même avec des gants.

Et le tarp sans toutes les ficelles vendues avec et plus facile à manoeuvrer sans s'emmêler les pinceaux. Quant aux tubes d'armature vendus avec, je ne m'en sers pas. J'ai un tarp décathlon à moins de 30 €.

Mais bon, toi tu vas beaucoup plus au Nord, alors attention avec le tarp, le vent arrive toujours à passer. :-(
Et si tu es pour une raison quelconque, obligé à dormir sans arbre, écoute Régis pour la tente … :-(

Ensuite pour protéger l'abri, on peut sur les branches qui "trempent déjà dans la neige, balancer encore de la neige pour couper le vent.

Pour bien dormir dehors, je mets sur les yeux un masque de "sommeil", comme ceux que tu trouves sur les longs courriers, car là aussi, le moindre souffle d'air sur les paupières même fermées et c'est une sensation très très désagréable … à vous gâcher la nuit. :-( :-(

Tu peux faire un essai chez toi : tu fermes les yeux et tu demandes à une autre personne de te souffler tout doucement sur les paupières … :lol:

Et un bon tour de cou épais pour, idem, éviter les "infiltrations" d'air. Sans compter le bonnet ou mieux la cagoule.

Prend aussi des gants fourrés imperméables, les mêmes que ceux qu'utilisent les pécheurs ou pour travailler dans les chambres froides, car pour monter ton campement, ça t'évitera de mouiller tes gants.
Car même les gants les plus chers en super matière prennent l'eau, tu tripotes la neige, elle fond avec la chaleur que dégage ton corps et c'est cuit … :-?

C'est comme les supers godasses de montagne, va marcher ans de l'herbe mouillée avec et ça vaut bien moins qu'une bonne vieille paire de bottes en caoutchouc.

Et les gants que tu te sers, quand tu les quittes, mets-les au plus chaud de ton corps, donc … contre ton ventre, à moitié dans ton slip et même la nuit, comme ça le lendemain ils sont pratiquement secs. :lol:

Une bonne chose aussi s'il fait très froid, ce sont les moufles en laine avec des sur-moufles. Tu pourras sans doute en trouver sur place, en Finlande ils en ont des très bonnes en grosse laine.

Pour la nourriture, un "truc" que je trouve très pratique, c'est la semoule. Facile à stocker et pas chère … :-)

On fait chauffer de l'eau avec un bouillon de cube pour servir de sel et une fois que c'est chaud, il n'y a plus qu'à verser sur la semoule dans laquelle on aura mis des raisons secs pour amener encore d'autres choses.

Si tu prends du sucre et du lait en poudre tu peux te la faire façon dessert.

Par contre, 4 jours à la semoule, c'est vrai que … :-?

Bon, ben si ça peut te servir …

Bonne route ! :-D :-D :-D :-D

Modifié il y a 10 ans
Samedi dernier ballade très humide en raquettes à partir de Chansert. :-(

Beaucoup de manque de neige sur la route et le chemin après la barrière montant sur les rochers de la Pause. Là-haut à 1531 m un grésil/pluie mais toujours pas la neige. :-(

Pour en avoir il fallait rester dans la pente en dévers au-dessus de la vallée du Fossat.

La piste devant la croix était déneigée.

La redescente dans la vallée alternait neige et terre gorgée d’eau.

La vallée était déneigée au 3 quart.

Au retour dans le pré de la Grosse Font, ça avait encore fondu … :-( :-( :-(

Je suis revenu trempé comme un poisson ! :lol:

Samedi vers 16h00 on voyait d’en bas que ça avait regrisé vers 1300 m.
Dimanche il en est revenu un peu et ce matin sur les webcam de Chalmazel et de Prabouré on voit que c’est « un peu blanc » mais 8 à 10 cm doivent y « ramasser », malheureusement …

C’est parti pour du temps doux et humide avec neige ou redoux et vu le changement de lune, j’ai peur que l’on traîne ça jusqu’à la mi-janvier … :-( :-(

Que ces nouvelles ne vous coupent pas l’appétit pour le réveillon ! :lol: :lol: :lol: :lol: :-D :-D :-D
Modifié il y a 10 ans
Je n'ai plu vu de ski casser depuis une vingtaine d'années …

Dans les années 70 alors là oui, mais ils étaient en bois. J'en ai pour ma part, cassé 2 : une spatule dans une chute et un talon à l'arrêt, sur une neige dure, avec le classique "emporté par le poids du sac" … :lol:

Dans les années fin 70 et 80 j'ai cassé 1 Fischer, fendu dans le sens de la longueur et un Karhu au talon, dans une chute en hors piste sur neige dure.
Mais attention c'était des skis de compétition.

Après c'est vrai que si une personne assez lourde s'amuse à franchir un fossé large, en le prenant tout droit et sur une neige dure, la pression sur le milieu du ski est énorme, avec un fléchissement contraire au cambre (même si les skis de rando en ont peu).

Mais je crois qu'un ski de rando est très solide et ça rejoint la mésaventure de Régis, je pense que le point faible est le risque d'arrachement de la fixation, plus que celui de casse du ski.
Modifié il y a 10 ans
Je suis d'accord avec Geoff, c'est rare qu'e ski nordique on se fasse mal aux genoux.

En alpin, la cheville étant bloquée, on joue plus sur les genoux et les hanches. En fond, il y a la cheville en plus qui vient "travailler" en amortissant les torsions.

Malgré tout le ski de rando est bien plus hard que le ski de fond sur piste.

Je m'en aperçois à chaque fois ! 15 bornes en rando c'est autre chose que 30 sur piste. La vitesse n'est pas la même alors c'est rare voire même jamais que l'on se retrouve essoufflé comme sur piste, le cœur monte moins, mais parfois on sent des moments où ça cale …
Pour obtenir le même résultat sur piste, il faut se donner.

C'est un peu comme le vélo de route et la course à pied.

Tu peux faire 50 ou 70 km en route sans trop forcer, alors qu'à pied, même sans vouloir forcer, tu portes le poids de ton corps …

Mais c'est vrai qu'il ne faut pas vouloir avec des skis de rando nordique, faire de la rando alpine, il faut adapter le matériel au relief.

En ski de rando nordique, même sur une faible pente lorsque la neige est bonne, on prend un grand plaisir à tracer des courbes, même à une vitesse peu élevée.

Je connais une personne qui n'est pas un bon skieur et qui s'est démoli un genou en ski de fond, dans une descente anodine.

Je suis d'accord que ce post rejoint celui sur la fragilité des SRN.
Modifié il y a 10 ans
24 h après on repart de sous le Chansert mais plus dans les mêmes conditions … :-?

Les petits manques de hier sur la route ont grandi, et la fine couche de neige humide qui aidait bien à la montée en retenue et assouplissait la descente, a disparu durant l'après-midi de samedi avec le vent du sud, et s'est transformée en croûte de glace par endroit. Une croûte qui parfois tient, parfois ne tient pas … :-?

Sinon retour dans la vallée des Reblats direct par les rochers de la Pause, où j'ai croisé 1 renard et 3 sangliers (une portée de l'année vu la dimension).

Vent de sud, frais, mais de sud, alors … pas bon pour la neige … :-( :-(

La descente du mont Thiallier sur les jasseries du Fossat était bonne. Neige dure mais pas glacée partout, un peu cartonnée bosselée, il suffisait de virer là où la neige ne brillait pas, mais bon, ça virait quand même en dérapant latéralement sur 1 mètre, même en appuyant très fort sur les carres.
Par contre la descente juste avant le ruisseau des Reblats était très mauvaise, toute glacée, il a fallu se laisser aller latéralement.

Dans la vallée c'était correct mis à part sous la ruine dans la grande clairière, où c'était tout glacé.

1 demi-heure de bûcheronnage pour dégager l'accès à la cave et une remontée sur le plateau, avec un soleil qui jouait avec les nuages. très noirs sur le Sancy et le Cantal et les Alpes dans les nuées.

Descente du mont Thiallier sur le vallon de la Jacine en tirant sur la droite mieux enneigée, puis retour par la piste qui part de la jasserie des bergers, sur la pente du Thiallier.

Descente harde, soit gelée dans les vieilles traces de skis, raquettes et piétons, soit un peu molle sur les côtés. Vu la pente il fallait doser le chasse-neige pour ne pas enfoncer. Idem pour le retour sur la Grosse Font où la neige était molle dans le pré mais très rapide.

Sinon on ne peut pas dire que les conditions soient optimum, une neige rapide de printemps, soit glacée soit molle, sale sous les arbres, cartonnée et bosselée en dehors.
Ca fait mal aux adducteurs, aux chevilles et genoux pour tenir les dévers et aux cuisses.

Donc il faut mieux à la limite, partir des Supeyres, plus à plat, pour éviter ces inconvénients.

Et attendons que la neige revienne, si ça change le week-end prochain, sinon … il faudra mieux sortir des raquettes dans des neiges comme çà. :-(


Modifié il y a 10 ans
Première expatriation du sud vers le nord du Forez. :-)

1 cm de neige fraîche à la Grosse Font, ça allait très bien. Puis dans la vallée du Fossat, sur le haut du pré, d'un coup la glisse était moins bonne, la faute à 2 cm de neige humide.
Un saut pour franchir le ruisseau du Fossat puis sous les arbres ça gouttait. Il y avait une telle accroche que le grand mur du fond, avant d'attaquer le sentier, se montait tout droit, mis à part la fin qui est trop raide pour tenir la position.

Des restes de traces de ski bien "avariées" à la montée, sans doute Benbois … ? :-o

Dans le chemin j'ai joué au bûcheron à 2 endroits. D'ailleurs, à un , c'est parti d'un peu plus haut, un glissement de terrain, mais moins important que celui de 99 (il me semble) qui avait emporté un énorme morceau de terrain et traversé le chemin en y creusant un fossé pour rejoindre le ruisseau.
Ensuite il y a 2 ou 3 passages délicats où l'eau qui coule dans le sentier a mangé la neige.

Gros brouillard là-haut alors j'ai basculé sur la vallée des Reblats. La descente était très bonne avec les 3 cm de neige humide. Vent de sud à sud ouest, pas trop froid.
Avant de sauter le ruisseau des Reblats au saut habituel, j'ai encore rejoué au bûcheron pour couper des branches qui gênaient, en vue de futurs passages.

Le long du ruisseau, environ 70 cm de neige à l'endroit du saut.
Un petit tour dans la vallée rive gauche puis rive droite sous la ruine dans la grande clairière orientée nord/est, où ça passait très bien, alors que c'est un endroit humide où l'eau ressort souvent.

A 30 m de la cave paternelle, 2 grosses têtes de sapins sont tombées à moitié sur le chemin. Un passage a été fait sur le côté, mais je n'avais pas le temps de mieux dégager, ce sera pour une autre fois. :-?
Une bonne remontée sur le plateau du Bechou puis au "nez" dans un épais brouillard, en gardant le vent sur la joue gauche, direction les rochers de la Pause.
Au début j'ai longé un peu la lisière des Reblats, mais après pour éviter la combe et un des bras du ruisseau, qui est sous les jasseries du Fossat, j'ai tiré plus à gauche afin de rester à peu près à plat.
Avec le sud, un bon coup de vent indique le passage vers le "col" que forme la piste qui va de la croix du Fossat à la jasserie des Nerses.
Ensuite dans la montée du Mont Thiallier, j'avoue que je ne savais pas trop où j'étais exactement, :-( :-o mis à part que je conservais bien la pente à gauche. Puis j'ai vu des rochers que je ne savais identifier et enfin un replat en arrivant sur le haut, où la bruyère ressortait assez.
En tirant un peu à droite, j'ai retrouvé à nouveau des rochers et un identifiable, :-) qui est juste après le passage de ceux de la Pause, sur le PR.
C'est un rocher partagé en 3 que j'appelle la Sagesse, comme les 3 singes (1 les mains sur les yeux, 1 sur les oreilles et 1 sur la bouche) , soit je n'ai rien vu, rien entendu et je ne dirai donc rien … :-P

Après la descente habituelle sur Chansert par le chemin pas facile à négocier avec les fausses traces de skis, de pieds et de raquettes, avec sous les arbres une neige glacée car les gouttes tombées des branches avaient bouffé la fine couche.

Donc à faire attention car on prend de la vitesse et en arrivant sur les découverts ça freine d'un coup dans la fine couche humide. De plus, le départ du chemin, là où ça pend bien, ça va pas mal, mais après sur les replats il y a des manque de neige.

Sinon, le départ du Chansert reste, à mon sens, le plus sauvage du massif, mais pas le plus facile avec les pentes. :-)
Modifié il y a 10 ans
Benbois je n'ai pas d'appareil photo, j'ai pris 3 photos au portable (j'en ai un maintenant) mais il faut encore que j'arrive à les transvaser et ça, … c'est pas gagné … :lol:

Une sortie hier avec l’ami Jacou, comme il vous l'a indiqué, au départ des Pradeaux. Temps hésitant entre soleil et nuages puis tirant plutôt sur les seconds … :-?
Au vent il faisait assez frais mais malgré tout, la neige était bien revenue, ce qui n’était pas mal sur les plateaux, d’un point de vue accroche et stabilité latérale des skis, par contre les descentes un peu galère.

Nous avons croisé deux fois le même skieur de fond égaré sur la piste vers les jasseries de la Fayolle, sinon, personne d’autre, le grand silence … mis à part à l’alpin de Prabouré où nous avons vu les gamins de l’école de ski sortir du téléski.

Sous les bois la neige était très salies par les aiguilles des résineux, l’enneigement encore « potable » mais … Beaucoup d’endroits où la neige s’est effondrée sous notre poids, ça doit ronger par-dessous. :-?

Le retour par la piste qui va de la Tuile sur le réservoir était mauvais au niveau de la descente, totalement déneigée :-?, qui se situe entre le barrage sur la droite et les jasseries des Mortes sur la gauche; et la suite dans le bois était également peu enneigée. :-?

La descente de la bosse des Ronzières au-dessus de l’auberge était correcte vu "l'ambiance", mis à part que les skis enfonçaient pas mal, alors c’était dur de trouver l’équilibre avant arrière, même en décalant les skis : soit celui de devant plantait et ça amenait vers l’avant, soit celui de derrière enfonçait trop du talon et ça amenait le poids du corps vers l’arrière … DUR, DUR !
Et sur la fin, là où la pente équivaut à une noire, 3 virages et 3 gamelles … :-( le virage se passait bien mais en sortie, les talons des skis enfonçaient dans 20 cm de molle et l’arrière train voulait plus suivre …
Sinon à partir des Pradeaux, ça va être dur, car aujourd’hui c’est la très grande douceur, il faudra chercher plus haut tant qu’il y en a … :-(
Modifié il y a 10 ans